La Treisième Chandelle

13- La Treizième Chandelle { ©1972 -> « The thirteenth candle »}

 Par TUESDAY LOBSANG RAMPA
                     Monaco :  3e éd. -- Éditions du Rocher, ©1988, 1992, 204 p.
                     Montréal : Éd. de l'Homme, ©1972, 200 p.
                     Paris : Éditions J'ai lu, N°  2593; 249 pages; 11 × 18 cm. 1997
 

(pages 38  à 47)              (Extrait 01)  Le départ d'un mourant.
(pages 50 à 52)               (Extrait 02)  L'homosexualité.    {Voir aussi dans "POUR ENTRETENIR LA FLAMME" AUX PAGES 108 À 111}
(pages 55 à 71)               (Extrait 03)  L'homosexualité -> deux longs témoignages. [Voir dans le livre]
(pages 95 à 117)             (Extrait 04)  Respiration et relaxaion.  [Voir dans le livre]
(pages 122 à 126)           (Extrait 05)  APPAREIL POUR TÉLÉPHONER AUX MORTS.
(pages 148 à 154)           (Extrait 06)  Qu'est-ce que le Sur-moi?
(pages 154 à 160)           (Extrait 07)  Leur Guide, leur Maître, leur Gardien, leur Ange Gardien, etc.
(pages 168 à 174)           (Extrait 08)  Comment les autres nous voieient-ils dans l'Au-Delà? {Purgatoire}
(pages 168 à 174)           (Extrait 09)  Pourquoi un ancien du Tibet nous révèle-t-il la sagesse orientale maintenant?
(pages 168 à 174)           (Extrait 10)  Comment voir le Rapport Akashique, rendu Là-Haut?
(pages 168 à 174)           (Extrait 11)  L'attitude la meilleur pour méditer?
(pages 196 à 198)           (Extrait 12)  Suicide et Vie.
(pages 200 à 202)           (Extrait 13)  Retrouver sa famille après la mort.
(pages 203 à 206)           (Extrait 14)  Récompense et Récolte.
(pages 206 à 208)           (Extrait 15)  Qu-est-ce qui se réincarne de l'Être humain?
(pages 209 et 210)          (Extrait 16)  Pourquoi le Dalaï-Lama ne serait-il pas une femme?
(pages 216 et 217)          (Extrait 17)  EUTHANASIE: endormir un animal pour ensuite le tuer? Est-ce mal?
(pages 217 et 218)          (Extrait 18)  Réincarnation animale.
(page 218)                       (Extrait 19)  AURA ASTRALE.
(page 219)                       (Extrait 20)  L'HISTOIRE VRAIE?
(pages 219 et 220)          (Extrait 21)  AVORTEMENT?
(pages 220 et 221)          (Extrait 22)  Maintien artificiel de la Vie?
(pages 221et 222)           (Extrait 23)  Destruction de l'environnement.
(pages 224et 225)           (Extrait 24)  GUÉRISSEUR !
(pages 225et 226)           (Extrait 25)  De la guérison et du transfert de l'Énergie pranique!
(pages 227 et 228)          (Extrait 26)  Maladie mentale et infirmité.
(pages 228 et 229)          (Extrait 27)  Le Pardon!
(pages 229 à 231)           (Extrait 27)  Shakespeare?
(pages 236 et 237)          (Extrait 30)  La Luminosité Astrale.
(pages 238 à 240)           (Extrait 31)  Intelligence et Conscience Multidimensionnelles.
(pages 241 à 249)           (Extrait 31) CHOIX DE PENSÉES EXTRAITE DES OEUVRES DE LOBSANG RAMPA.

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"La Treizième Chandelle" Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 38 à 47)(Extrait 01)}  Le départ d'un mourant.

    Le lama parla de nouveau : « Ô Esprit, tu as quitté le corps qui est devant nous; le 4e bâton d'encens a été allumé par attirer ton attention et te retenir ici pendant que je te parle, pendant que je t'explique ce que tu vas trouver. Ô esprit, tu es sur le point de t'en aller, tiens compte de mes paroles afin que ta migration soit parfaite. »

    Le lama jeta sur le cadavre un regard triste. Étant initié, il pouvait voir l'aura du corps humain, ce halo étrangement coloré - multicolore - qui tournoyait et serpentait autour d'un être vivant. Or, en regardant le cadavre, il voyait que cette émanation était presque éteinte. Au lieu des couleurs nombreuses, celles de l'arc-enciel et bien d'autres, il n'y avait plus qu'un tourbillonnement gris-bleu virant au noir. S'élevant du corps, ce gris bleuté montait jusqu'à environ deux pieds au-dessus de la dépouille mortelle. Là, une prodigieuse activité avait lieu. On eût dit un essaim de lucioles volant à toute vitesse, des lucioles qui auraient été entraînées comme des soldats et qui cherchaient à retrouver les places qu'on leur avait préalablement assignées. Ces petites particules lumineuses se déplaçaient, tourbillionnaient, s'entremêlaient, et voilà que, sous les yeux du lama, devant son troisième oeil, apparut une réplique de cadavre qui avait l'apparence d'un jeune homme. Imprécise, elle flottait nue à deux pieds environ au-dessus du corps. Elle s'élevait et retombait faiblement de deux ou trois pouces à la fois, peut-être, s'élevait de nouveau pour regagner sa position initiale, et à chaque mouvement les détails devenaient plus nets, le corps d'abord transparent s'étoffait et devenait plus substantiel.

    Le lama s'assit et attendit. La lueur gris bleuté du corps s'effaçait tandis que la lumière multicolore du second corps, qui flottait au-dessus du premier, devenait plus forte, plus vive. En fin le corps « fantôme » se gonfla, eut une secousse et se renversa tête en l'air et pieds en bas. Le lien très mince qui subsistait entre la chair morte et l'esprit vivant se rompit. Désormais l'esprit était une entité complète, vivant en totale indépendance du corps qu'il avait habité. Immédiatement, la pièce fut envahie par l'odeur de mort, l'odeur étrange, pimentée, désagréable, d'un corps qui commence à s'altérer.
 
 
 

    Le corps gisait inerte sur le sol. Il s'en dégageait le gargouillement de liquides interrompus dans leur course et trouvant leurs propres niveaux. On entendait aussi gronder et gémir les organes qui cessaient peu à peu de vivre, car un corps ne meurt pas instantanément, mais par étapes, organe par organe. Les centres supérieurs du cerveau qui meurent d'abord pour entraîner dans une suite ordonnée l'arrêt des autres organes qui, n'étant plus dirigés par le cerveau, cessent de fonctionner, cessent de produire les sécrétions ou de transmettre la substance dont ne peut être privé ce mécanisme compliqué qu'on appelle un corps.

    Lorsque la force vitale se retire, elle quitte les limites du corps et se rassemble au-dehors, constituant une masse amorphe juste au-dessus du corps. Elle plane sous l'effet de l'attraction magnétique tant qu'un flux de particules de vie habite la dépouille. Peu à peu, les organes de plus en plus nombreux perdant leur force de vie, la forme mince qui flotte au-dessus  du corps de chair finit par lui ressembler. Quand la ressemblance et le « corps spirituel » commence, flottant, son voyage dans l'au-delà.

    Désormais, l'esprit, détaché du corps mort, flottait. Il était lui-même bouleversé et terrifié. Naître à la vie sur Terre avait été pour lui une expérience traumatisante. Cela signifiait mourir à une autre forme d'existence. Mourir sur Terre signifiait que le corps-esprit renaissait dans l'autre monde, dans le monde spirituel. Maintenant, la forme planait, plus haut, plus bas, et attendait les instructions de lama initié, dont toute la vie était vouée à aider ceux qui quittaient cette Terre.

    Le lama observait la dépouille et son aura, recourant à ses sens télépathiques pour estimer les aptitudes de l'esprit libéré et s'assurer que le troisième oeil du mort était réellement à même de voir sa forme. Enfin, le lama rompit le silence pour livrer son enseignement. « Esprit libéré, dit-il, écoute mes pensées afin que ton voyage soit facile. Prends garde aux instructions que je vais te donner afin d'aplanir les obstacles qui se dressent sur ton chemin, car des millions ont suivi ce chemin avant toi et des millions le suivront après toi. »

    L'entité flottante qui, peu de temps auparavant, était sur Terre un homme passablement alerte, remua. Une teinte verdâtre se répandait sur tout son être. Une faible ondulation le parcourut d'un bout à l'autre puis il retomba dans son inertie. On avait la sensation, mal définie cependant, que cette entité était sur le point de s'éveiller du coma résultant du passage de la mort sur Terre à la naissance sur le plan de l'esprit.
 
 
 

    « Ô Esprit libéré, psalmodiait-il, ton âme doit devenir active. Tu t'es trop longtemps flétri sous le poids des superstitions des ignorants. Je t'apporte le savoir. Le sixième bâton d'encens est allumé pour t'apporter la connaissance, car tu dois te connaître toi-même avant d'entreprendre ton voyage. »

    ... « Du berceau jusqu'à la tombe, ta vie a été entravée par la superstition et de sottes frayeurs. Sache que beaucoup de tes croyances ne sont pas fondées. Sache que les démons que tu redoutes sont nés de ta propre invention. Le 7e bâton d'encens est allumé pour te retenir ici afin que tu puisses être instruit et préparé comme il convient pour le voyage que tu vas entreprendre. » L'acolyte était prêt, l'encens fut allumé et placé pour se consumer lentement; le lama reprit ses exhortations.

    « Nous ne sommes que les marionnettes de l'Un qui est Très Haut ; nous avons été mis sur Terre pour qu'il puisse expérimenter les choses de la Terre. Nous ne ressentons que faiblement notre droit d'aînesse, nos associations éternelles, et du fait que nous les éprouvons si obscurément, nous avons peur et nous rationalisons. » Le lama cessa de parler et observa la forme nuageuse qui planait silencieuse devant lui. Il l'observait et constatait son réveil graduel, son retour à la conscience. Il comprenait sa panique, son incertitude; il pressentait, dans une certaine mesure, le choc terrible qu'éprouvait cet être arraché à son entourage et aux choses qui lui étaient familières.Il pressentait et il comprenait.

        La forme spirituelle plongeait et oscillait. Le lama poursuivit: « Dis ce que tu penses. Je recevrai ces pensées si tu surmontes la stupeur du choc. PENSE que tu es capable de me parler. » La forme spirituelle palpita et vacilla; des rides ondulèrent sur toute sa longueur. Puis, pareil au premier pépiement d'un oiseau qui vient d'éclore, le gémissement d'une âme effrayée se fit entendre.

    « Je suis perdu dans le désert, disait-il. J'ai peur des démons qui me cernent. Je redoute ceux qui voudraient m'entraîner dans les régions inférieures pour me brûler ou me geler à jamais. » Le lama émit un léger rire de compassion. « Esprit, qui t'effraies pour rien, écoute-moi bien. Accorde-moi ton attention pour que je puisse te guider et te soulager. »

    « Je t'entends, saint lama, fut la réplique de la forme spirituelle, et je vais prêter attention à tes paroles. »
 
 
 

    « Sur Terre, dit le lama, l'homme est une créature absurde, encline à croire ce qui n'est pas, de préférence à ce qui est réellement. L'homme est fortement porté à la superstition et aux croyances mensongères. Toi, Esprit, tu crains que des démons ne s'emparent de toi. Pourtant, les démons n'existent pas en dehors de tes pensées. Ils disparaîtront en fumée, comme sous l'effet d'un grand vent, si tu reconnais ce qui est la vérité. Autour de toi, il y a des esprits élémentaires, des formes indifférentes qui se contentent de réfléchir la terreur comme un étang d'eau calme reflète tes traits si tu t'y penches. Ces esprits élémentaires ne sont pas dangereux, ce ne sont que des créations du moment, semblables aux pensées d'un homme ivre. N'aie aucune crainte, il n'y a là rien qui puisse te causer mal. »

    La forme spirituelle geignit d'effroi et dit, télépathiquement: « Mais je VOIS des démons, je VOIS des monstres qui produisent des sons inarticulés en tenant dans ma direction leurs mains griffues. Ils vont me dévorer. Je vois les traits de ceux à qui j'ai fait du tort dons la vie et qui maintenant viennent réclamer mon châtiment. »

    Le lama éleva les mains en signe de bénédiction et dit: « Esprit, écoute attentivement ce que je te dis. Fixe des yeux le pire de tes tortionnaires imaginaires. Regarde-le avec sévérité et ordonne-lui de s'en aller. Imagine-toi qu'il disparaît comme une bouffée de fumée. Il disparaîtra, car il n'existe que dans ton imagination enfiévrée. Pense MAITENANT. Obéis. »

    La forme spirituelle se souleva et vacilla. Ses couleurs flamboyèrent selon toute la gamme du spectre et alors, s'éleva le cri télépathique du triomphe: « Ils sont partis! » Elle se dilata et se contracta, exactement comme un homme de la Terre essoufflé après avoir fourni un violent effort.

    « Il n'y a rien à craindre sauf la crainte, dit le lama. Si tu n'as pas peur, alors RIEN ne peut te faire du mal. Maintenant, je vais te dire ce qui t'attend et alors, tu entreprendras l'étape suivante de ton voyage vers la Lumière. » La forme spirituelle étincelant de couleurs vives manifestait de la confiance et montrait que toute peur l'avait quittée. Maintenant, elle attendait, sereine.
 
 

    « Maintenant, il est temps pour toi, dit le lama, de continuer ton voyage. Quand je te libérerai, tu ressentiras une forte envie de flotter. N'y résiste pas. Les courants de la vie te porteront à travers des nuages tourbillonnants de brouillard. D'horribles figures te scruteront à travers l'obscurité mais ne les crains pas - sur ton ordre, elles disparaîtront. Garde tes pensées pures, ta mine calme. Tu arriveras bientôt sur une agréable pelouse verte où tu ressentiras la joie de vivre. D'aimables auxiliaires viendront au-devant de toi et te feront bon accueil. Ne crains rien. Réponds-leur, car là, tu ne pourras pas rencontrer ceux qui voudraient te nuire. »

    La forme spirituelle se balançait doucement en méditant sur ces remarques. Le lama reprit: « Ces auxiliaires t'escorteront jusqu'à la Salle des Souvenirs, le lieu qui rassemble toutes les connaissances, le lieu où sont consignées toutes les actions, bonnes ou mauvaises, que n'importe lequel d'entre nous a commises. Tu entreras dans la Salle des Souvenirs, et toi seul verras ta vie telle que tu l'as vécue et telle qu'elle aurait dû être. Toi, et toi seul, jugeras du succès ou non de tes efforts. Il n'existe pas d'autres jugement, pas d'autre enfer que celui que ta conscience coupable créera pour toi. Il n'existe ni damnation éternelle, ni supplices. Si tu as échoué dans la vie, alors toi, et toi seul, peux décider de retourner plus tard sur Terre pour y faire un nouvel essai. »

    Le lama se tut et fit signe à l'acolyte qui prit le dernier bâton d'encens. « Ô Esprit qui es instruit maintenant, dit-il, poursuis ta route. Voyage en paix. Voyage en sachant que tu n'as rien à craindre, sauf la crainte. » Lentement, la forme spirituelle s'éleva, fit une courte pause pour jeter un dernier regard dans la pièce; puis, elle s'échappa par le plafond et disparut. Le lama et son acolyte se levèrent, rassemblèrent leur matériel et quittèrent la cabane.

    Plus tard, alors que le soleil atteignait son zénith, un homme vêtu de haillons entra dans la pièce désertée. Il en ressortit, portant sur son dos une forme enveloppée dans un lincel: la dépouille mortelle du père de Timom. Il avança péniblement sur le sentier pierreux et porta le cadavre à l'endroit où les membres du défunt serait écartelés et fracturés afin que les vautours se nourrissent de cette dépouille. Ainsi, lorsque les temps seraient accomplis, les restes du corps transformés retourneraient à la Terre Mère.

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"La Treizième Chandelle" Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 50 à 52)(Extrait 02)} L'homosexualité.

    « Dans le tohu-bohu des arrivées de l'astral à ce monde que nous appelons Terre, des confusions se produisent. Naître est une épreuve traumatisante qui fait appel à un mécanisme délicat qui peut facilement être perturbé. Prenons l'exemple d'un bébé sur le point de venir au monde. Pendant la grossesse, sa mère a négligé son alimentation et a eu une mauvaise hygiène de vie. L'enfant n'a donc pas reçu ce que nous pourrions appeler un rapport chimique équilibré. Par manque d'un élément chimique, le développement de certaines glandes a pu être arrêté. Disons que le nouveau-né allait être une fille, il nai^t, en fait, garçon, un garçon doté des tendances d'une fille.

    « Les parents, se rendant compte qu'ils ont un malheureux mollasson, pourraient attribuer son tempérament à l'excès de faiblesse dont ils font preuve à son égard. Ils essayent de lui enfoncer dans la tête un peu de bon sens d'une manière ou d'une autre pour le rendre plus viril; c'est peine perdue. Si les glandes sont différentes de ce qu'elles devraient être, le garçon reste une fille dans un corps de garçon.

    « À la puberté, le garçon peut ne pas se développer de façon satisfaisante ou encore il le peut en effet, selon toutes les apparences extérieures. À l'école, il fait partie des poules mouillées; le malheureux n'y peut rien.

    « Quand il atteint l'âge d'homme, il s'aperçoit qu'il est incapable de "faire les choses qui viennent naturellement"; au lieu de cela, il cout après les garçons. Il le fait naturellement parce que tous ses désirs sont ceux d'une femme. Sa psyché est de nature féminine mais, par un malheureux concours de circonstances, son corps est masculin.

    « Il devient alors ce qu'on appelle familièrement  une "tapette", il a des tendances homosexuelles. Plus la psyché est féminine, plus forts sont les penchants homosexuels.
 
 
 

    « Si une femme a une psyché masculine, elle ne s'intéressera pas aux hommes mais aux femmes, parce que sa psyché, qui est plus proche du Sur-Moi que son corps physique, transmet des messages déroutants au Sur-Moi et celui-ci renvoie une sorte de commandement: "Mets-toi à l'oeuvre, montre-nous ce que tu sais faire!" La pauvre malheureuse psyché masculine éprouve de la répulsion à l'idée de "montrer ce qu'elle sait faire" avec un homme. Tout l'intérêt de la femme se concentre donc sur une femme et l'on a ainsi le spectacle d'une femme qui fait l'amour à une femme. Ces relations sont dites lesbiennes du nom d'une île grecque où c'était "la chose qu'on faisait".

    « Il est absolument vain de condamner les homosexuels; ceux-ci ne sont pas des scélérats. On devrait plutôt les classer parmi les malades atteints de trouble glandulaires et si la médecine avait l'intelligence voulue, elle s'efforcerait de remédier à ce mal.

    « Un médecin à l'écoute de ses patients homosexuels pourra prescrire des extraits glandulaires qui amélioreront beaucoup leur état et leur redront la vie supportable. Malheureusement, la génération actuelle de médecins parait se préoccuper uniquement de gagner de l'argent, aussi faudra-t-il chercher longtemps avant de trouver un bon docteur. Les homosexuels sont des gens très malheureux parce qu'ils sont en pleine confusion; ils ignorent ce qui leur est arrivé, ils savent que les gens se moquent d'eux mais ils ne savent pas empêcher ce qui est l'impulsion la plus forte que connait l'être humain, à savoir l'instinct de reproduction.
 
 
 

    « Les psychanalystes ne sont pas d'un grand secours, parce qu'il leur faut des années pour accomplir ce que la moyenne des gens feraient en quelques jours. Il suffirait d'expliquer clairement aux homosexuels qu'ils souffrent d'un déséquilibre glandulaire et, alors, ils sauraient généralement s'adapter à cette situation. De toute façon, on est en train de revoir les lois pour éviter que les homosexuels ne soient exposés à de cruelles persécutions et à l'emprisonnement.

    « Il existe des moyens de venir en aide à ces gens. Il faut leur témoigner une véritable compréhension : une personne beaucoup plus âgée que l'intéressé(e), éprouvant une profonde sympathie pour le (la) malade, lui expliquera avec précision ce qui est arrivé. Les homosexuels peuvent avoir recours soit à des médicaments qui refoulent l'impulsion sexuelle, soit à des injections d'hormones, de testostérone par exemple, qui aideront le corps à s'adapter sexuellement.

    « L'important, c'est de ne jamais, jamais condamner un homosexuel : ce n'est pas sa faute, il est puni pour une faute de la Nature. Peut-être sa mère s'était mal alimentée, peut-être y avait-il une incompatibilité d'ordre chimique entre la mère et l'enfant. Quoi qu'il en soit, de quelque point de vue que l'on se place, les homosexuels ne peuvent être guéris que par une vraie compréhension, une sympathie véritable et, si possible, le recours judicieux à des médicaments. »

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"La Treizième Chandelle" Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 55 à 71)(Extrait 03)} L'homosexualité -> deux longs témoignages. [Voir dans le livre]

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"La Treizième Chandelle" Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 95 à 117)(Extrait 04)} Respiration et relaxaion.  [Voir dans le livre]

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"La Treizième Chandelle" Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 122 à 126)(Extrait 05)} APPAREIL POUR TÉLÉPHONER AUX MORTS.

    « On a dénigré l'écrivain Rampa et on a émis des doutes à propos de ses assertions audacieuses selon lesquelles il suggère ce qui est, en fait, une possibilité scientifique, pontifia Ernest Truman. Rampa a été l'objet de maintes railleries  à cause de ses déclarations. Maintenant - il froissa les pages de son magazine -, maintenant, le plus remarquable magazine anglais de radio, le « Wireless World », daté de juin 1971, contient un article, page 312, sous le titre de : « Communication électronique avec les morts? » Je vais vous en lire des extraits, mais vous pouvez vous reporter à cette publication si vous désirez lire l'article complet. »

    « Les commentaires de Free Grid sur la métamorphose des ondes psi (voir numéro d'avril, page 212) m'ont remis en mémoire un curieux incident qui m'est arrivé il y a quelques années et pour lequel je n'ai jamais été capable de trouver une explication rationnelle. J'avais environ 14 ans lorsque je découvris dans un grenier un vieil appareil de radio du type qui, dans les années 1920, était connu, je crois, sous l'appellation 'det-2 1.f.

    ... j'ai remis à neuf cette pièce de musée et, curieux de connaître ses possibilités DX, j'ai pris l'habitude, durant les vacances, de faire sonner mon réveil à deux heures du matin et de chercher alors à atteindre les postes américains.

    « Mais nous arrivons maintenant au passage curieux. À deux ou trois reprises, sur une période de plusieurs semaines, au moment où j'avais enlevé la bobine aérienne de branchement afin de changer de longueur d'onde [ce qui signifie que l'antenne était virtuellement à circuit ouvert), une voix rauque a rompu le silence et a prononcé quelques mots. C'était évidemment du langage parlé, mais si déformé que son contenu en était inintelligible. Quelques mots seulement arrivaient à un moment donné, et bien que je me rappelle avoir entendu parfois une heure dans l'espoir  d'en entendre davantage, je n'y ai jamais réussi. À cette heure de la nuit, la plupart des postes européens avaient suspendu leurs émissions; d'autre part, je résidais loin de n'importe quel émetteur commercial à grande puissance et enfin, il n'y avait pas d'amateur au travail dans la région où j'habitais.
 
 

    « J'avais tout oublié à ce sujet jusqu'au jour où l'hypothèse de Free Grid m'a rappelé cet incident. Puis, pour vous dire de quelle curieuse façon les choses se passent, j'ai par hasard mis la main sur un livre récemment publié sous le titre « Break-through » (Percée) que je signale avec insistance à votre attention. L'auteur prétend qu'un magnétophone ordinaire qui est ouvert et abandonné à ses propres moyens peut, après que l'on aurait repassé la bande, reproduire des paroles prononcées par un mort.

    « Maintenant, il y a peu de mots qui suscitent plus d'émotion que celui de spiritualisme: il suffit de le prononcer pour que surgissent aussitôt de violentes polémiques entre partisans et adversaires de ce concept. Donc, si vous êtes contre et si, pour le moment, vous êtes en train de grommeler : « Encore du baratin à propos de vibrations et d'ectoplasme! », s'il vous plaît, modérez vos transport et supportez-moi pendant quelques minutes encore.

    « Personnellement, je n'ai pas pris parti, Je me fie seulement à ce que j'ai lu. L'auteur, le Dr Raudive, n'est pas un électronicien, mais il a apparemment enregistré quelque 72 000 de ces paroles de l'au-delà. Une sélection a été repiquée sur disque de phonographe en vente partout. Chose plus importante de notre point de vue, il a sollicité une foule d'opinions indépendantes, entre autres celles de physiciens et d'ingénieurs en électronique hautement qualifiés. Tous ces experts confirment que le magnétophone a réellement enregistré des voix; néanmoins, tous ne sont pas convaincus que ces voix soient celles de personnes décédées. Aucun n'avance de théorie qui concilierait les phénomènes surnaturels en question avec les lois physiques connues. Les ingénieurs ont employé leurs propres appareils pour se livrer à des expériences sur cette mystérieuses production de voix et ont analysé le phénomène avec divers circuits qu'ils ont personnellement élaborés (ce livre donne les diagrammes réalisés) et qui constituent un perfectionnement de l'appareil original de Raudive. Précisons au passage qu'on a émis l'idée que le magnétophone pourrait constituer un moyen de pousser plus loin l'expérience.
 
 
 

    « ... En ce qui concerne le résultat final, les paroles enregistrées sont décrites comme étant des « voix qui déclinent leur identité, prononcent nos noms, nous disent des choses que nous comprenons (ou parfois qui nous intriguent). Ces voix n'ont pas une origine acoustique et les noms qu'elles mentionnent sont ceux de personnes qui ont quitté cette terre. Les voix sont enregistrées sur bande magnétique et chacun peut les écouter. Les physiciens sont incapables d'expliquer le phénomène en question, et les psychologues baissent les bras. Des expériences scientifiques (dans une cage de Faraday par exemple) ont démontré que ces voix ont une origine extérieure à l'expérimentateur et qu'elles ne sont nullement tributaires de l'autosuggestion ou de de la télépathie. Des philologues qui se sont intéressés à ce problème, affirment que, bien qu'audibles et compréhensibles, des voix ne proviennent pas d'éléments acoustiques;  elles  ont deux fois la vitesse du langage humain et s'expriment suivant un rythme particulier qui est identique dans les 72 000 exemples examinés jusqu'ici. »

    « Il semble aussi que les phrases sont de caractère télégraphique, et quand l'expérimentateur est multilingue, les paroles peuvent être polyglottes - un mot peut être en suédois, le suivant en allemand, l'autre en anglais et ainsi de suite. De même que dans les messages émanant de sources psychiques conventionnelles, ces voix semblent chercher à se faire reconnaître comme provenant d'amis ou de parents décédés.

    « La sincérité du livre dont nous parlons semble ne pouvoir être mise en doute : en appendice, une centaine de pages fournissent de nombreux détails techniques sur les appareils utilisés, comme sur les hypothèses visant à élucider ce mystère.

    « Parmi d'autres théories exposées, il en est qui se réfèrent à la relativité et à l'antimatière.

    « ... Une chose est sûre, c'est que le problème de l'origine de ces « voix » demande, de façon pressante, que des recherches soient entreprises poue en trouver la solution. Je sais aussi bien que vous que toute l'affaire paraît impossible. Comment des mots peuvent-ils sortir d'un microphone silencieux? Mais il ne faut pas oublier qu'en 1901, on estimait impossible que des ondes radio traversent l'Atlantique, car on ignorait alors l'existence de l'ionosphère. Il existe, sans aucun doute, dans le domaine de l'électronique, un grand nombre de phénomènes naturels qui nous échappent encore. »
 

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 148 à 154)(Extrait 06)}  Qu'est-ce que le Sur-moi?

    « Qu'est-ce que le Sur-moi? Pourquoi le Sur-moi me fait-il tant souffrir? Comment se PEUT-IL précisément que je doive tant souffrir alors que je ne sais même pas pourquoi je dois souffrir? Je n'arrive pas à comprendre cela; cela détruit ma croyance à toute religion. Cela détruit ma foi en Dieu. Pouvez-vous m'expliquer cela? »

    Oui, bien sûr, on peut répondre à cette question. Mais, avant tout, il faut nous mettre d'accord sur certains termes. Car imaginez que vous essayez de discuter avec un poisson qui vit dans les profondeurs de l'océan, de discuter des idées et des réactions des cosmonautes lorsqu'ils sont en orbite autour de la lune. Comment pourrions-nous faire comprendre à un poisson qui a toujours vécu au fond de l'océan ce qu'est la vie à la surface de l'océan? Comment lui expliquerions-nous la vie qu'on mène à Londres, à Montréal, à Tokio ou à New York où il y a déjà tant de drôles de types? Mais, par-dessus tout, comment expliquerions-nous à un poisson qui séjourne au fond de la mer ce qui se passe quand un vaisseau spatial évolue autour de la lune? Impossible, n'est-ce pas? Faisons donc un hypothèse: imaginons quelque chose de différent.

    Imaginons que le Sur-moi n'est plus le Sur-moi, mais simplement un cerveau. Ainsi, nous aurions une quantité de cerveaux planant quelque part. Et voilà qu'un cerveau décide qu'il a besoin d'expérimenter quelque chose d'autre que la pensée pure. Par pensée « pure », on veut dire que la pensée est une chose non substantielle; il ne faut accorder aucun sens moral à ce terme.

    Ce cerveau particulier est donc dévoré d'ambition. Il désire apprendre, savoir à quoi la vie ressemble sur Terre, se rendre compte si la 13e chandelle est plus chaude que la 12e. Et apprendre ce qu'est le « chaud » et, ensuite, ce qu'est une chandelle. Le cerveau décide de découvrir ces notions; c'est pourquoi il doit trouver un corps. Oubliez pour le moment que le cerveau doit être né d'abord. Ce cerveau s'installe à l'intérieur d'un crâne, une épaisse boîte osseuse dans laquelle il flotte au milieu d'un liquide spécial qui le protège des chocs, le conserve humide et l'aide à se nourrir. Voilà. Nous avons un cerveau dans sa boîte osseuse. Maintenant, cette masse nerveuse n'éprouve absolument aucune sensation, c'est-à-dire que, pour faire une opération sur le cerveau, le chirurgien se contente d'injecter un anesthésique local dans la peau et la chair à l'extérieur du crâne, puis il pratique une incision autour de la tête, et emploie une scie pour scier à travers le sommet du crâne qu'on peut détacher comme on enlève la pointe d'un oeuf dur. Il importe de se rappeler que l'on n'éprouve  de douleur que dans la peau, la chair et les os. Le cerveau n'est pas sensible à la douleur. Aussi, lorsque le chirurgien a enlevé la calotte crânienne, il peut fouiller, sonder et couper le cerveau, sans qu'il soit nécessaire d'anesthésier.
 
 

    Notre cerveau est pareil au Sur-Moi. Il n'a pas de sensation par lui-même. aussi, retournons au cerveau dans sa boîte crânienne, et rappelons-nous qu'il désire acquérir des connaissances. Tenons compte, cependant, du fait que le cerveau est une image utilisée à la place du Sur-moi qu'il est évidemment plus difficile de se représenter puisqu'il s'agit d'une entité à plusieurs dimensions.

    Le cerveau désire connaître des sensations. Or, il est aveugle, sourd, incapable de percevoir une odeur, de toucher. Se créent donc des sortes de marionnettes. Une paire de marionnettes se développe sous la forme d'yeux, les yeux s'ouvrent et le cerveau reçoit les impressions des yeux. Comme nous le savons tous, un nouveau-né ne peut pas comprendre ce que signifient les impressions. Un nouveau-né tâtonne et, manifestement, il ne saisit pas ce qu'il voit, mais avec l'expérience, les impressions reçues des yeux signifient quelque chose pour le cerveau.

    Or cela peut être améliorer. Nous désirons plus qu'une image. Nous pouvons voir une chose, mais quelle sensation produit-elle? A-t-elle une odeur, produit-elle un son ? D'autres marionnettes interviennent et elles s'appellent oreilles. Elles perçoivent des vibrations d'une fréquence moindre que celles que les yeux peuvent percevoir. Ce sont cependant des vibrations exactement comme la vue enregistre des vibrations. La pratique aidant, le cerveau parvient à comprendre ce que ces vibrations signifient: elles signifient musique agréable, musique désagréable, elles peuvent signifier la parole, une forme de communication.

    Bien. Après avoir vu et entendu une chose, nous nous demandons si elle a une odeur. Le meilleur moyen pour le savoir est de mobiliser des marionnettes qui vont créer un organe olfactif. Le pauvre Sur-moi que nous appelons ici « cerveau », doit souhaiter parfois ne pas avoir d'odorat : ...

    Une autre se pose : quelle sorte de sensation produit une chose? Nous ne connaissons pas le sens de termes tels que « dur » et « mou » à moins de les éprouver. Ainsi en va-t-il du Sur-moi. Le cerveau met en action des marionnettes plus nombreuses: bras, mains, doigts. Nous avons un index et un pouce afin de pouvoir saisir un objet de petites dimensions. Nous avons des doigts que nous pouvons mouvoir sur un objet afin de savoir s'il est mou ou s'il est dur. Nous savons s'il est émoussé ou pointu grâce au toucher.
 
 

    Parfois, une chose nous blessera. Nous touchons un objet et cela nous donne une sensation extrêmement désagréable. L'objet pourrait être chaud ou froid., il pourrait être tranchant ou rugueux. Ces sensations créent la douleur et la douleur nous avertit de faire dorénavant attention à ces choses. Mais pourquoi les doigts s'insulteraient-ils eux-mêmes ou injurieraient-ils Dieu puisqu'ils accomplissent simplement la tâche qui leur est dévolue, la fonction de sentir?

    Un maçon peut avoir les doigts endurcis à force de manier des briques. Un chirurgien aura les doigts très sensibles à cause de la délicatesse de toucher qui lui est nécessaire pour exécuter son travail. Exercer le métier de maçon nuirait aux doigts du chirurgien, mais faire une opération chirurgicales serait difficile pour le maçon car ses doigts manqueraient de souplesse.

    Chaque organe doit faire des expériences, doit supporter des désagréments. Les oreilles peuvent être blessées par un grand bruit, le nez offensé par une odeur particulièrement déplaisante; mais ces organes sont créés pour suporter pareilles mésaventures. Vous vous brûlez de doigt - eh bien, le doigt guérit, et désormais vous serez plus prudent à l'avenir.

    Nos cerveaux enregistrent toutes les informations qui leur parviennent. Celles-ci sont, pour les 9 dixièmes, enfermées dans le subconscient. Réagissant sur l,information fournie par le subconscient, notre système nerveux involontaire nous prémunira contre n'importe quel mal. Par exemple, si vous essayez de marcher au bout d'un immeuble de plusieurs étages, vous aurez peur; or, cette peur est le moyen par lequel le subconscient fait savoir au système nerveux involontaire qu'il doit injecter une sécrétion dans le sang et provoquer un saut en arrière.

    Voilà comment agissent les sens physiques. Mais pensez à une dimension bien supérieure, songez que le Sur-moi est incapable d'apprendre sans mettre des marionnettes sur Terre. Ces marionnette, ce sont les humains, les humains qui peuvent être atteints de brûlures, de coups de couteau, qui peuvent être assommés... Et toutes les sensations et impressions sont envoyées au Sur-moi par l'intermédiaire de la Corde d'Argent à peu près de la même façon que les impressions reçues par le doigt et le pouce du corps humain sont relayées par la voie nerveuse jusqu'au cerveau.
 
 

    En ce qui nous concerne, nous avons le droit de nous considérer comme des extensions d'un Sur-moi qui est si hautement raréfié, si hautement isolé, si hautement évolué qu'il doit dépendre de nous pour recueillir des impressions de ce qui se passe sur cette Terre. Si nous agissons mal en quelque domaine, nous recevons un coup de pied métaphorique au derrière. Ce n'est pas un Dieu diabolique qui nous afflige, nous persécute et nous tente. C'est notre grossière stupidité. Ou bien, peut-être que certaines personnes touchent un objet et s'aperçoivent qu'il fait mal; alors elles le tâtent afin de comprendre pourquoi il les a blessées, puis répetent le même geste pour se rendre compte de la façon dont le mal peut être guéri ou surmonté.

    Il se peut qu'une personne bonne soit accablée de nombreux maux, et vous - qui  êtes les témoins de son malheur -, vous pensez qu'il est injuste de subir tant de souffrances. Vous pouvez considérer que la personne, ainsi éprouvée, expie un kharma extrêmement dur, ayant été un véritable monstre au cours d'une existence précédente!

    Pourtant vous commettriez une erreur. Cette personne pourrait endurer douleur et souffrance en vue d'apprendre comment éliminer douleur et souffrance pour ceux qui viendront ultérieurement. Ne vous figurez pas que c'est toujours pour expier le kharma. L'existence actuelle de cette personne est, peut-être, en train de lui gagner un bon kharma.

    Il y a un Dieu, un bon Dieu, un Dieu juste. Mais, évidemment, Dieu n'est pas le semblable de l'homme et il est inutile d'essayer de comprendre ce que Dieu EST  réellement alors que la plupart des gens ne sont même pas capables de comprendre leur propre Sur-moi. De même qu'il vous est impossible de vous rendre compte de ce qu'est votre Sur-moi, vous ne pouvez pas non plus vous rendre compte de ce qu'est Dieu de votre Sur-moi.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 154 à 160)(Extrait 07)}  Leur Guide, leur Maître, leur Gardien, leur Ange Gardien, etc.

    Les gens désirent être renseignés sur Leur Guide, leur Maître, leur Gardien, leur Ange Gardien, etc. Une personne m'écrit ceci: « J'ai comme Guide spirituel un viel Indien Peau-Rouge. Je voudrais le voir. Je sais que c'est un Indien Peau-Rouge parce qu'il est sage. Comment puis-je le voir? »

    Je vais le dire, clairement, une fois pour toutes: les gens n'ont pas comme Guides des Indiens Rouges, Noirs, Blancs ou Tibétains vivants ou morts. En fait, il n'y aurait pas assez de Tibétains, par exemple, pour suffire à la tâche. C'est comme si le premier venu disait: « J'étais Cléopâtre dans ma vie passée! » Il n'y a pas un mot de vrai dans tout cela. En réalité, le prétendu Guide, c'est simplement le Sur-moi. C'est comme lorsque vous conduisez une voiture. VOUS êtes le Sur-moi de la voiture. Vous appuyez du pied sur une pédale; et si vous avez de la chance et si votre voiture n'est pa américaine, elle se mettra en marche. Vous appuyez du pied sur une autre pédale et la voiture s'arrête. Et si vous tirez une certaine chose et si vous faites attention à ce que vous faites, vous n'irez pas vous jeter sur le premier obstacle venu. Mais vous êtes seul à conduire votre voiture. De même, vous vous dirigez vous-même, vous et votre Sur-moi.

    Beaucoup de gens s'imaginent que ceux qui ont quitté cette Terre sont débordants d'enthousiasme à l'idée de s'occuper de quelqu'un, de le guider chaque jour de sa vie, de l'empêcher de tomber dans le fossé, de lui dire ce qu'il doit faire. Mais pensez à votre cas personnel: vous avez des voisins, peut=être vous entendez-vous bien avec eux, peut-être pas, mais, quoi qu'il en soit, le moment est venu, vous déménagez pour vous installer de l'autre côté du monde. Si vous êtes en Angleterre, vous allez vous fixer en Australie. Si vous êtes en Amérique du Nord, vous allez vivre, disons en Sibérie. Bien, vous déménagez, vous vous installez dans votre nouvelle maison, vous vous habituez à votre nouveau travail, vous vous occupez de conclure de nouveaux contrats. Est-ce que vous interrompez votre besogne pour téléphoner à Tom, à Dick, à Henry, et à Marie, à Marthe, à Mathilde? Non, il n'en est pas question. Vous les avez complètement oubliés. Eh bien, c'est ce que font les gens de l'Autre Côté.

    Les gens qui ont quitté cette Terre ne sont pas assis sur des nuages en train de jouer de la harpe. Non. Ils ont une tâche à accomplir. Après avoir quitté cette Terre, il y a pour eux une période de récupération, puis ils s'attellent à une tâche. En toute franchise, ils n'ont pas le temps d'être des Esprits-Guides et de se livrer aux niaiseries dont les gens parlent.
 
 

    Souvent, très souvent, des entités qui ne sont pas des humains seront capables d'intercepter les pensées d'un humain et, dans certaines circonstances, ces entités donneront l'impression d'être des Esprit-Guides.

    Considérons le cas des séances de spiritisme. Il y a là un groupe de personnes qui espèrent communiquer avec ceux qui sont morts. Ces gens forment un groupe dont chacun des membres a la même mentalité. Il ne s'agit nullement du cas d'une personne isolée qui se livrerait paresseusement à quelque chimère. Non, ces gens se réunissent dans un local bien particulier, en vue d'un but bien précis, et tous, dans leur subconscient, veulent qu'un message leur soit communiqué. Or, dans le monde astral, il y a des formes qui planent; on peut les considérer comme des formes, ou bien comme des entités qui n'ont pas été humaines et qui ne le seront jamais. Elles sont, seulement, des masses d'énergie qui réagissent à certaines impulsions.

    Ces entités, quelle que soit leur origine - mais elles ne sont pas humaines -, flotent aux alentours et gravitent autour de n'importe quelle source qui les attire. Si les gens pensent fortement à un message envoyé par les morts, ces entités seront irrésistiblement attirées vers ce groupe; là, elles étendront leurs pseudopodes qui sont des mains et des doigts constitués d'énergie, et toucheront un cerveau ou une partie d'un cerveau ou une joue, et la personne qui sentira ce contact aura la conviction d'avoir été touchéepar un esprit ; en effet, les pseudopodes de ces entités sont pareils au pseudopodes issus d'un ectoplasme.

    Ces entités sont souvent malfaisantes et agiles à la manière des singes. Elles planent alentour, rebondissent de cerveau en cerveau , et quand elles apprennent un fait divers appétissant émis par un cerveau, elles peuvent arriver à faire parler un médium doué d'un fluide, c'est-à-dire un véritable médium.. Elles communiquent ainsi un message, qu'une personne au moins sait être véridique parce qu'il a été « dérobé » à sa conscience. Mais aucun des assistants n'est sensible à la forme spirituelle, à l'entité qui erre parmi leurs pensées. Il faut le dire clairement, ces minifestations ne sont pas toutes authentiques.
 
 
 

    Nous savons tous comment les choses se passent la veille de la Toussaint, quand les enfants circulent, costumés et masqués, et incarnent un personnage qu'ils ne sont pas. Voilà comment se comportent les formes que je viens d'évoquer. Ces entités n'ont qu'une intelligence limitée, et sont de véritables parasites qui se nourrissent de tout ce qui croît en elles.

    Dans certaines circonstances, une personne peut avoir ce qu'elle croit être des apparitions. Elle peut se dire que c'est l'esprit de la cieille tante Fanny qui hante sa maison. Tante Fanny avait dégringolé de trois volées d'escaliers, s'était fracturé la jambe et était morte par la suite. Désormais c'était un revenant qui venait conseiller les vivants parce qu'elle était prise de remords de ne pas s'être souciée d'eux quand elle était sur Terre. En réalité, il ne se passe rien de pareil. La personne assistant à la séance peut avoir inconsciemment  fait circuler des photos de tante Fanny et de sa jambe fracturée, en se rappelant qu'elle vieille grincheuse c'était. L'entité malfaisante va donc se mettre au diapason de la plaignante, modifier quelque peu les données tout en s'assurant de leur vraisemblance. Et voilà comment tante Fanny « revient » comme une personne qui regrette d'avoir été odieuse envers sa brillante nièce ou son distingué neveu et qui, désormais, souhaite rester avec eux et les protéger pour toujours.

    Il est curieux de voir le mépris dont les Occidentaux entourent le Peau-Rouge, l'Idien de l'Inde, le lama tibétain dont ils remettent en question l'authenticité. Dès que ces gens meurent, les railleries cessent et les descendants pensent que ceux dont on a tant médit vont se hâter de revenir, de se mettre sur les épaules des vivants pour les guider à travers l'existence et les préserver des vicissitudes de la vie. Eh bien, c'est faux. Tout ce qui leur arrive, je l'ai déjà déclaré, c'est d'être hantés par des incubes imposteurs en quelque sorte.

    Vos amis de l'autre côté du monde, combien de fois êtes-vous en relation avec eux? Combien de fois les aidez-vous? Combien de fois leur êtes-vous venu en aide quand ils étaient vos voisins? Réfléchissez. Un individu quitte cette vie, et vous ignorez son existence à son passage sur Terre.

    Dans ces conditions, pourquoi penser que cet inconnu va éprouver un immense intérêt à votre égard? Pourquoi imaginer que quelque lama tibétain ou quelque Chef Indien Peau-Rouge va renoncer à ces occupations de l'au-delà pour vous assister jusqu'à la fin de vos jours? Quelqu'un que vous avez méprisé de son vivant ou dont, plus probablement, vous ne soupçonniez même pas l'existence!
 
 

    Il faut être logique. Beaucoup de gens croient avoir un Esprit-Guide, par manque de confiance en eux: ils se sentent isolés et  sont persuadés de ne pouvoir s'en sortir sans être aidés. Et c'est en partie pour cela, qu'ils imaginent un père ou une mère qui les entoure au-delà de la vie, les protège de leur propre sottise et de la malveillance d'autrui.

    Une raison qui pousse un individu à croire à un Esprit-Guide, c'est le fait d'entendre ou de croire entendre une voix mystérieuse qui lui parle. Ce qu'il entend effectivement, c'est une sorte de conversation téléphonique avec son propre Sur-moi. Cette conversation, qui lui parvient par l'intermédiaire de la Corde d'Argent, est amplifiée par l'atmosphère éthérée, et parfois reproduite sous forme de vibrations par l'aura. Parfois aussi, il ressentira une pulsation au front, exactement entre les deux yeux, mais un peu au-dessus. Ce phénomène est provoqué par la conversation qui se déroule entre le subconscient de l'humain et le Sur-moi. Le dixième conscient essaie d'écouter, mais n'y parvient pas. À la place, une pulsation se produit qui peut être assimilée à l'information de la téléphoniste déclarant que le numéro est occupé.

    Nous devons, tous, nous débrouiller par nos propres moyens, tous. C'est une erreur de mêler cultes et groupes et cancans. Quand nous quittons cette Terre, nous devons nous rendre seuls dans la Salle des Souvenirs. Inutile d'aller là où nous nous jugeons nous-mêmes  et de déclarer à notre Sur-moi: « Oh! le secrétaire de la Société des Hot Dogs Plus Chauds m'a dit que je devais faire ceci, ou que je ne devais pas faire cela! » Nous devons nous retrouver seuls. Pour s'améliorer, l'homme doit être seul. Si nous appartenons à un groupe, un club, un culte - eh bien, nous faisons plusieurs pas en arrière. Car, lorsque nous nous affilions à un groupe, à un culte ou à une société, nous sommes contraints de progresser à l'allure de la personne la plus lente qui en fait partie. L'individualiste, celui qui veut progresser, celui qui est évolué, avance seul - toujours.

    J'ai reçu il y a deux jours une lettre intéressante qui disait : « J'ai pendant 44 ans été membre de ... - et j'avoue avoir moins appris durant tout ce temps qu'en lisant un seul de vos livres. »

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 168 à 174)(Extrait 08)} Comment les autres nous voieient-ils dans l'Au-Delà? {Purgatoire}

    « Rio de Janeiro,

    Cher Monsieur le Docteur T. Lobsang Rampa, ....

    1- Si je meurs, je retrouverai beaucoup de personnes que j'ai connues. Je les verrai comme je les voyais sur Terre. Mais quelle sera mon apparence réelle, puisque j'ai déjà vu beaucoup de monde dans mon existence? Comment une personne que j'ai connue auparavant dans un autre milieu me verra-t-elle?

    « Quand vous mourez, vous quittez cette Terre et vous allez dans un lieu que dans beaucoup de religions on appelle « purgatoire ». Le « purgatoire » est simplement un endroit où l'on se purifie. Supposez que vous avez travaillé dans votre jardin et que vous avez de la boue sur le visage et dans les cheveux. Puis, vous décidez de rentrer dîner et peut-être d'écouter la radio. Eh bien, que faites-vous avant toute chose? Vous vous rendez en « purgatoire ». En d'autres termes, vous allez à la salle de bains pour vous laver mains et visage, ôter la boue et la poussière qui vous maculent.

    « Beaucoup de religion font du « purgatoire » un tableau effrayant. Je préfère le considérer comme une « salle de bains » céleste où vous  « lavez » votre astral pour vous présenter devant vos compagnons sans souillure. Voyez-vous, quand vous serez dans l'astral, vous montrerez votre aura, et si trop de « taches de boue » collent à votre aura, tous ceux qui vous regarderont les verront. Le purgatoire est un lieu dans l'astral où vous êtes accueilli par vos amis, jamais par vos ennemis. En effet, dès que vous arrivez de l'Autre Côté, vous ne pouvez rencontrer que ceux qui sont susceptibles de s'accorder avec vous. Quand vous quittez cette Terre, vous pensez à vous en fonction de l'apparence que vous aviez sur cette Terre, et c'est donc ainsi que vous apparaissez dans l'astral - tel que vous étiez sur cette Terre. Comme les gens que vous rencontrez là désirent être reconnus, ils vous apparaîtront, eux aussi, tels que vous les connaissiez sur Terre.

    « il arrive bien des fois qu'on ait la même impression sur Terre. Vous voyez une personne et vous êtes sûr que cette personne a un naevus sur la joue gauche; mais quelqu'un d'autre pourrait vous dire: « Oh! Non, ce naevus lui a été enlevé il y a environ un an. » Vous voyez -- disons-le en d'autres termes --, vous voyez uniquement ce que vous désirez voir, ce que vous vous attendez à voir. Ainsi, klorsque vous arriverez de l'Autre Côté, vous verrez les gens que vous désirez voir et vous les verrez tels que vous vous attendez à les voir. Je prends un exemple simple: vous avez eu un ami un homme de couleur, c'est-à-dire une personne qui était un homme de couleur quand vous le connaissiez sur Terre. Supposons que, de l'Autre Côté, ce soit un Blanc. S'il s'approchait de vous, vous ne le reconnaîtriez pas, n'est-ce pas? Aussi apparaît-il comme un homme de couleur.
 
 
 

    « Au fur et à mesure que vous vous élevez, votre apparence se transforme. Imaginez un sauvage dont le corps est couvert de poils et les dents souillées par les baies dont ils se nourrit. Prenez ce sauvage, lavez-le, rasez-le, coupez-lui les cheveux et habillez-le du costume moderne de l'homme civilisé, il aura un tout autre aspect. Eh bien, une fois de l'Autre Côté, si vous progressez, vous vous apercevrez que votre apparence change -- au mieux.

    « La seconde partie de cette question? Eh bien, naturellement, cette personne à poropos de laquelle vous me consultez vous verra, quand vous serez de l'Autre Côté, tel que vous vous imaginez être. Elle vous verra tel que vous étiez sur Terre et vous la verrez telle qu'elle était sur Terre. Autrement vous ne la reconnaîtriez pas.
 
 

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 168 à 174)(Extrait 09)} Pourquoi un ancien du Tibet nous révèle-t-il la sagesse orientale maintenant?

    2- Pourquoi est-ce précisément maintenant qu'un ancien du Tibet comme vous est venu nous révéler la sagesse orientale? Pourquoi maintenant?

    « Comment un ancien du Tibet, tel que moi, a décidé de communiquer à l'Occident la doctrine bouddhiste? Et pourquoi précisément à notre époque? »

    « Voilà une question claire et nette.

    « Dans le passé, bien des gens ont visité les régions orientales de ce monde, les peuples d'Occident ont l'esprit préoccupé par la matière. Ils s'arrêtent aux choses présentes, vivent dans l'obsession de l'argent, des biens matériels, de la puissance et de la domination sur les autres. C'est là un aspect de la culture occidentale. Aussi, lorsque les Occidentaux vont en Orient, ils s'apperçoivent que les esprits les plus distingués de cette partie du monde s'abritent souvent dans des corps malades ou pauvres  ou vêtus de haillons. Et les Occidentaux ne comprennent pas. Intrigués, ils prennent les préceptes anciens et comme ils ne connaissent ni la langue ni la culture des peuples de l'Orient, ils dénaturent ces préceptes anciens pour en faire ce qu'eux, Occidentaux, pensent qu'ils devraient signifier. Il en résulte que nombre de traducteurs, etc., rendent un mauvais service à l'humanité en proposant des déclarations trompeuses qui ne sont  qu'une déformation de croyances religieuses authentiques.

    «J'ai suivi une longue préparation avant d'entreprendre la tâche qu'on m'a confiée. J'étais apte à comprendre l'Occident alors que je résidais encore en Orient. J'étais doué pour écrire et pour exposer clairement mes idées à ceux qui sont dignes de connaître les réponses qu'ils désirent obtenir. J'ai souffert plus que n'importe qui; mais cela m'a apporté une plus grande finesse psychologique, un plus grand choix d'expressions, une plus grande ouverture d'intelligence et cela m'a permis de me familiariser avec les mentalités occidentales. Ainsi j'ai réussi à adapter mon langage de façon à pouvoir transmettre aux lecteurs occidentaux le véritable message ésotérique.

    « Nous sommes à l'âge de Kali, l'âge de la rupture, l'âge du changement. L'humanité se trouve à la croisée des chemins; elle doit choisir entre déclin et progrès, décider soit de s'élever, soit de s'abaisser au rang des chimpanzés. C'est ainsi qu'à notre époque, en cet âge de Kali, j'ai entrepris de révéler certaines vérités à l'homme et à la femme d'Occident et tenté de démontrer qu'il vaut mieux étudier et s'élever que de croupir dans l'inaction et de sombrer dans l'abîme du désespoir.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 168 à 174)(Extrait 10)} Comment voir le Rapport Akashique, rendu Là-Haut?

    3- Comment pourrai-je voir le Rapport Akashique dans le monde astral?

    « Lorsque vous arriverez au plan astral après avoir quitté cette vie, vous irez dans la Salle des Souvenirs et vous verrez là les événements de votre vie passée et ceux de vos autres vies antérieures. Il faudra ensuite décider, probablement avec l'aide de conseillers, de la direction à prendre afin de continuer à progresser. Vous pouvez décider d'aider les morts arrivant de la Terre. Dans ce cas, et s'il est vraiment avantageux pour vous de voir le Rapport Akashique pour pouvoir aider plus efficacement les autres, vous aurez la faculté de voir ce Rapport. Mais je dois vous dire que personne ne peut le consulter par simple curiosité.

    « Il existe de nos jours, en Occident, des gens qui font de la réclame assurant que, moyennant finance, ils feront le voyage dans l'astral (avec leur valise , je suppose), y consulteront le Rapport Akashique, et reviendront avec les renseignements désirés. Naturellement, cela est un mensonge éhonté! Ils ne consultent pas le RapportAkashique et je doute qu'ils parviennent avec leur conscience dans l'astral. Les seuls esprits qu'ils consultent sont ceux qu'ont met en bouteille. Aussi, je le répète, il est impossible d'accéder au Rapport Akashique d'une personne, à moins qu'il ne doive en résulter un avantage réel pour la personne en question.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 168 à 174)(Extrait 11)} L'attitude la meilleur pour méditer?

    4- Quelle est l'attitude la meilleur pour méditer? Je ne sais pas prendre la position du lotus et je ne sais pas m'asseoir le torse droit. {Vous êtes vraiment une lumière dans les ténèbres et je vous remercie pour tout. -> Fabio Serra, Rio de Janeiro}

    « Permettez-moi de vous dire une chose: pour respirer vous n'êtes pas obligé d'adopter une position spéciale, n'est-ce pas? Si vous avez envie de lire un journal ou un livre, il n'y a pas lieu pour vous d'adopter une position particulière,. Vous avex envie de lire, vous vous installez confortablement dans un fauteuil, ou bien vous vous allongez dans votre lit. Peu importe. Plus vous êtes à l'aise, plus vous avec d'agrément, mieux vous arrivez à assimiler ce que vous allez lire. Les mêmes règles s'appliquent à la méditation. La façon dont vous vous installez n'a pas la moindre importance. Asseyez-vous comme il vous convient. Couchez-vous si vous préférez. Et si vous avez envie de vous coucher roulé en boule, eh bien, pourquoi pas? On se repose dans le seul but de se libérer de toute tension. Pour méditer avec succès, il faut que vous soyez libéré de toute tension, de toute distraction. Dès lors, toute attitude, quell qu'elle soit, convient pour la méditation si elle vous met personnellement à l'aise.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 196 à 198)(Extrait 12)} Suicide et Vie.

    « Vieille maman, dit le lama, ma religion et la vôtre ont des formes différentes, mais toutes les religions conduisent à la même Maison. Peu importe ce que nous croyons, peu importe comment nous croyons, pourvu que nous ayons réellement la foi. Une vraie religion, grâce à la discipline mentale et spirituelle qu'elle impose à ses fidèles, apporte le seul salut valable pour notre peuple et pour le vôtre! » Il se tut, observa son interlocutrice et reprit: « Ainsi, vous avec pensé à vous tuer, n'est-ce pas? Ce n'est pas une réponse, sachez-le. Si vous commettez un suicide, vous ajoutez simplement à vos problèmes, vous ne les résolvez pas. » La vieille femme leva les yeux vers le lama, car celui-ci était très grand et elle était toute petite. Elle regarda le lama, les mains jointes. « Oh oui, dites, parlez-moi. Je suis ignorante. Je ne comprends rien, je ne sais rien. Oui, j'ai pensé à me jeter du haut de la falaise pour être précipitée contre les rochers, là, en bas, comme mon mari et mes fils. »

    « Le suicide n'est pas une réponse, dit le lama. Nous sommes venus sur cette Terre dans le but d'apprendre, dans le but d'épurer notre âme immortelle. Nous sommes venus sur cette Terre pour surmonter des obstacles, les épreuves de la pauvreté, ou les tentations qui assaillent les riches; car, ne croyons pas que l'argent et les biens matériels libèrent l'homme de tout souci. Les riches aussi meurent, les riches aussi tombent malades, les riches aussi souffrent de soucis et de persécutions. Ils se heurtent également à des problèmes que les pauvres ne connaissent pas. Nous arrivons sur cette Terre et nous choisissons notre état suivant la tâche qui nous incombe. Dès lors, si nous commettons un suicide, si nous nous tuons, nous sommes un bol brisé; or, si vous brisez votre bol, vieille, maman, comment allez-vous manger? Si vous brisez votre silex et votre briquet, comment provoquer une étincelle pour allumer la mèche du briquet? Comment survivre dans ce cas-là? »

    La femme fit un signe de tête comme pour marquer son complet accord et le lama continua:

    « Nous arrivons sur cette Terre en sachant d'avance quels seront nos problèmes, en sachant quelles épreuves nous aurons à subir. Si nous nous suicidons, nous manquons aux engagements que nous avons nous-mêmes contractés en vue de notre progrès personnel. »
 
 
 

    « Mais, lama, dit la vieille femme au comble de l'exaspération, nous pouvons savoir -- de l'autre côté -- les engagements que nous prenons, mais pourquoi ne les connaissons-nous pas quand nous sommes sur cette Terre? Si nous ne savons pas pourquoi nous sommes ici, pourquoi nous reprocher de ne pas faire ce que nous sommes censé faire? »

    Le lama sourit avant de répondre. « En voilà une question ordinaire! Tout le monde la pose. Nous ignorons quelle tâche nous attend sur cette Terre; car, si nous le savions, nous consacrerions toute notre énergie à l'accomplir, sans nous occuper du dérangement que nous causerions à autrui. Or, il nous faut accomplir notre tâche sans oublier de venir en aide aux autres. Il faut à tout moment appliquer la règle: « Agis comme tu voudrais que l'on agisse envers toi. » Et si dans notre hâte égoïste à achever une tâche donnée, nous empiétons sur les droits d'autrui, nous nous créons simplement des tâches supplémentaires que nous devrons accomplir. C'est pourquoi il vaut mieux que la majorité des gens igorent la tâche qui leur incombe aussi longtemps qu'ils sont sur Terre! »

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 200 à 202)(Extrait 13)} Retrouver sa famille après la mort.

    « Mais bien sûr, répondit le lama. La source de nombre de malentendus, c'est l'incapacité de l'homme à comprendre que sur Terre, les choses ne sont pas toujours immuables. Les gens n'aiment pas le changement. Or, c'est une loi différente qui régit l'« Autre Côté ». Ici, sur cette Terre, vous aviez votre mari, puis vous avez eu votre fils. Plus tard, vous avez eu un second bébé. Les enfants ont grandi, sont devenus des petits garçons; puis ils sont devenus des jeunes gens. Ils n'étaient plus des enfants, ils avaient grandi. Voilà ce qu'il y avait sur Terre parce que vous êtes venue sur Terre et vos enfants, eux, sont venus sur Terre pour que vous soyez tous ensemble. Mais votre fils sur cette Terre ne peut pas être votre fils dans l'autre vie. On vient sur Terre pour vivre une existence, jouer un certain rôle, accomplir une certaine tâche. Ici, vous êtes venue comme femme; mais de l'Autre Côté, il est possible que vous soyez un homme et que votre mari soit une femme. »

    La vieille femme regardait le lama d'un air hébété. Visiblement, le raisonnement du lama dépassait sa compréhension. Il s'en aperçut et reprit:

    « En Assam, quand vous étiez jeune fille, vous avez probablement vu jouer, au théâtre, des pièces concernant la fertilité du sol, à propos de Mère Nature. Les acteurs étaient des gens que vous connaissiez, et pourtant quand ils entraient en scène pour jouer leur rôle, ils assumaient une autre identité, ils étaient grimés, costumés pour ressembler à d'autres personnes, à des dieux et des déesses et il vous était impossible de les prendre pour ce qu'ils étaient dans la réalité. Sur la petite estrade, ils exécutaient leur pièce, prenaient des poses, mimaient des attitudes, puis quittaient la scène, pour reparaître peu après, parmi vous, tels que vous les connaissiez. Désormais, ils n'étaient plus ni dieux, ni déesses, ni démons. Ils n'étaient plus que des hommes et des femmes qui vous étaient parfaitement connus, vos amis, vos vosins, vos parents. Il en va de même ici sur cette Terre. Vous y jouer un rôle, vous êtes une actrice. Votre mari, vos fils étaient des acteurs. La pièce finie, à la fin de la vie, vous repartirez et vous redeviendrez ce que vous étiez avant votre arrivée sur ce théâtre qu'est la Terre. Les gens de l'Autre Côté sont les gens que vous aimez car vous ne pouvez y rencontrer que ceux qui désirent vous rencontrer et ceux que vous désirez rencontrer. Vous ne pouvez y rencontrer que ceux que vous aimez. Vos fils, vous ne les verrez pas petits bébés; vous les verrez tels qu'ils sont en réalité. Néanmoins, vous serez en famille ca les gens y viennent en groupes et qu'est-ce qu'un groupe sinon une famille? »

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 203 à 206)(Extrait 14)} Récompense et Récolte.

    « Pour moi, la chose la plus importante est de savoir où je vais. Quand un homme naît dans l'au-delà, c'est quelque chose de semblable, affirmez-vous, à l'action d'une mère qui donne le jour à un enfant; mais la Corde d'Argent reste toujours attachée. Vous déclarez que le Sur-moi représente les 9/10e  du subconscient de l'homme, ou, pour ainsi dire, l'homme derrière les décors, en coulisse. Très bien, s'il en est ainsi, venons-en à l'homme. Il commence par être limité à 1/10e de son être, et par conséquent, il va et vient dans le ténèbres pendant la plus grande partie de son existence. l'homme meurt (il a exécuté sa tâche pour le Sur-moi), la Corde d'argent se rompt, et il est réduit à lui-même. QU'EST-CE QUE LE SUR-MOI LUI DONNE EN RÉCOMPENSE DE SES EFFORTS? »

    Bon, très bien, venons-en à cela. Oui, c'est une question à laquelle on peut répondre. Mais il faut vous rappeler que le Sur-moi, c'est VOUS en réalité. Il est, pour parler en termes terrestres, aveugle, sourd et statique, mais bien sûr uniquement en ce bas monde. Le Sur-moi désire savoir à quoi la vie ressemble sur cette Terre, il désire éprouver au plus vite les sensations, car, dans le monde de l'au-delà où le Sur-moi vit normalement, les choses évoluent à la vitesse d'un millier d'années, ou à une allure semblable, au lieu de progresser d'un jour comme sur Terre. Voilà pourquoi dans une hymne chrétienne, il y a ce passage qui compare un millénaire à un clin d'oeil. Néanmoins, on peut comparer le Sur-moi au cerveau d'un homme. Le Sur-moi oblige un être humain à accomplir certaines tâches, à subir certaines épreuves et toutes les sensations ainsi éprouvées sont relayées au « cerveau » Sur-moi qui, par procuration, jouit ou souffre de ces sensations.

    Nous rencontrons des difficultés pour saisir ces nuances, sachez-le, car sur cette Terre, nous vivons dans un monde à 3 dimensions, et dans notre langage nous retrouvons cette représentation en trois dimensions. alors, comment assimiler des concepts qui exigent peut-être 9 dimensions?
 
 

    Vous demandez quelle sorte de récompense le Sur-moi accorde à l'homme pour toutes les expériences qu'il a effectuées; mais, en retour, on peut vous poser un bonne question. La voici: quelle récompense donnez-vous à vos doigts pour avoir tourné un bouton et vous avoir ouvert une porte? Quelle rémunération accordez-vous à vos pieds pour vous avoir transporté dans une autre pièce de la maison ou dans votre voiture, ou pour vous avoir fait monter plusieurs étages? Comment rétribuez-vous vos yeux pour avoir envoyé à votre cerveau ces belles images? Rappelez-vous: si « vous » êtes le cerveau et si vous dépendez de vos mains, de vos pieds, de votre nez et de vos yeux, tous ces organes de leur côté dépendent de vous pour exister. Supposez que vous n'existiez pas, ces mains, ces pieds, ce nez, ces yeux n'existeraient pas davantage. Il s'agit, en fait, d'un effort de complète coopération. Quand vos doigts allumes une cigarette, ils ne jouissent pas de la fumée. Peut-être qu'une autre partie de votre être, de « vous », y trouve un agrément, mais, de toute façon, quand vos doigts allument une cigarette, aucun autre de vos organes ne récompense ces doigts en leur disant des mots aimables ou en leur faisant des cadeaux coûteux en guise de remerciement. D'ailleurs, si « vous » désirez récompenser ces doigts, comment vous y prendriez-vous? Que pourriez-vous donner aux doigts qui leur plaise et les rémunère adéquatement ? Et si le réel « vous » est le cerveau, comment le cerveau, qui dépend de ces doigts, va-t-il agir pour récompenser ces doigts? Faites-vous en sorte que la main gauche offre un cadeau à la main droite et qu'ensuite la main droite offre, en retour, un cadeau à la main gauche? Ne perdez jamais de vue que les doigts dépendent du cerveau qui les dirige, et que les doigts dépendent de « vous ». Dès lors, il n'y a pas de récompense car, de même que les doigts et les orteils font partie de l'ensemble du corps, ainsi VOUS, vous êtes simplement une partie de l'organisme entier qui constitue les extensions du Sur-moi. Ici, sur Terre, vous êtes un simple prolongement comparable à ceci: vous passez un bras par la fenêtre et vous sentez des choses qui sont dans la chambre, une chambre qui est hors de portée de votre vue. Vous travaillez pour vous-même. Tout ce que vous faites profite à votre Sur-moi et, par là, vous profite à vous-même puisque vous êtes la même chose ou une partie de cette chose.
 

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 206 à 208)(Extrait 15)} . Qu-est-ce qui se réincarne de l'Être humain?

    « Si l'homme en question doit être réincarné, retourne-t-il au même Sur-moi ou en reçoit-il un nouveau? Est-il en permanence une sorte de partie du Sur-moi? L'homme est-il soudain doté des autres neuf dixièmes de la conscience? »

    Voici la réponse. Bien votre question est, en fait, celle-ci: est-ce le même corps ou esprit qui vient du Sur-moi? Supposons que vous vous fassiez une coupure à la main. Vous ne recevez pas, pour autant, une main nouvelle, n'est-ce pas? La main, ou plutôt la coupure, guérit parce qu'elle fait partie de votre personne, parce que votre cerveau lui impose la guérison; celle-ci se produit par la jonction des deux lèvres de la blessure. Les gens sont des entités complètes; et c'est ainsi que votre Sur-moi peut envoyer des prolongements de son être sur Terre; et ces prolongements - humains - sont une chose qui peut se comparer aux tentacules d'une pieuvre. Coupez un de ces tentacules et il recommencera à croître. Sapristi, sapristi! Que de confusion à propos de ce Sur-moi! Mais la question aura été quelque peu élucidée dans une partie précédente de ce livre. S'il est possible de jeter quelque lumière supplémentaire sur ce point, supposons qu'il existe une grande entité dotée de pouvoirs qui pour l'instant nous échappent. Cette entité possède la faculté de penser et, par là, de créer des prolongements d'elle-même partout où elle le désire - on les appelle des pseudopodes. De même, notre Sur-moi, tout en restant à une seule place, possède la faculté d'envoyer des extensions de son être principal, extensions qui lui restent attachées. À l'extrémité de ces extensions, il y a un noeud de conscience, conscience susceptible d'avoir connaissance des choses par le toucher, par la vue, ou par l'ouie, noeuds de conscience qui reçoivent simplement les sensations sur des fréquences différentes.

    Nous percevons une chose , qu'elle soit immobile ou en mouvement. Nous la touchons et nous la percevons parce qu'une certaine vibration l'anime, vibration qui peut être reçue et interprétée par un de nos noeuds accordés à ce type de fréquence; en d'autres termes, nous sommes sensibilisés au sens du toucher.

    Un autre objet vibre beaucoup plus rapidement. Nous ne pouvons pas le sentir avec les doigts, mais nos oreilles perçoivent la vibration que nous appelons son. L'objet vibre dans cette gamme de fréquences qu'un noeud capable de recevoir des fréquences plus élevées peut capter comme un son aigu, un son intermédiaire, ou un son grave. Outre ces fréquences, il en existe une gamme beaucoup plus élevée que nous ne pouvons ni toucher ni entendre. Or des noeuds plus sensibles encore que ceux évoqués jusqu'ici, des noeuds{transducteurs en électronique} appelés yeux peuvent percevoir ces fréquences ou vibrations et les résoudre, dans le cerveau, en un type bien déterminé. Ainsi, grâce à cette transformation, nous obtenons une image de la chose perçue.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 209 et 210)(Extrait 16)} . Pourquoi le Dalaï-Lama ne serait-il pas une femme?

    « J'ai un problème et le voici: si une marionnette peut revêtir à sa guise un corps mâle ou un corps femelle, en fonction de ce qu'elle désire apprendre, pourquoi considère-t-on comme acquis le fait que l'entité qui fut le dalaï-lama s'incarnera toujours dans un homme? Pourtant, cette entité devrait certainement se modifier pour être à même d'apprendre d'un point de vue plus vaste que le seul point de vue masculin. Pourquoi la femme ne pourrait-elle aspirer au poste le plus élevé du lamaïste? Au Tibet où, si je ne me trompe, hommes et femmes sont égaux (ou, du moins, l'étaient avant l'arrivée des Chinois), pourquoi avoir établi cette discrimination? »

    Une fois de plus, on peut en partie répondre à une question par une autre question: au cours de l'histoire universelle, a-t-on jamais considéré une femme comme le Dieu Suprême? Pouvez-vous, chers lecteurs, citer un seul cas où une femme ait été Le Dieu Suprême? Oui, sans doute, il y a eu des déesses, mais elles ont toujours été « inférieures », subordonnées aux dieux. Le dalaï-lama a, selon la croyance tibétaine, été un dieu sur terre; par contre, un dieu sur terre qui serait une déesse sur terre ne suffirait pas.

    Il est venu sous la forme d'un homme, parce que les choses qu'il devait accomplir exigeaient qu'il vînt sous une forme masculine. Mais comment savez-vous que le Sur-moi du dalaï-lama n'a pas de marionnettes féminines en train d'apprendre? En fait, il a eu de ces marionnettes. En fait, de nombreuses choses ont été apprises par des intermédiaires féminins.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 216 et 217)(Extrait 17)} . EUTHANASIE: endormir un animal pour ensuite le tuer? Est-ce mal?

    « Est-ce mal d'« endormir » un animal qui souffre et qui est atteint d'une maladie incurable? »

    Un bouddhiste ne doit pas ôter la vie. Cependant il existe des choses plus importantes que les religions établies, qu'il s'agisse du bouddhisme, du christianisme, du judaïsme, de l'Hindouisme, ou de n'importe quel autre culte. Ces choses, on pourrait les nommer d'un terme qui les résume: le devoir envers le Sur-Moi. Le présent auteur, pour sa part, est d'avis qu'on fait une bonne action envers l'animal en le sacrifiant sans douleur au cas où, d'après l'état actuel de la science vétérinaire, il est atteint d'une maladie incurable.

    Si un animal souffre d'un mal de ce genre, et si la science vétérinaire est impuissante à soulager ses douleurs, alors il vaut mieux demander à un vétérinaire de sacrifier la bête par le procédé qui lui inflige le moins de douleur possible et qui la fasse mourir aussi rapidement que possible. Ce geste est un acte de pitié. Le présent auteur a beaucoup, beaucoup d'expérience en ce qui concerne la souffrance, car il en a subi plus que la part qui lui revenait. Il aurait accueilli avec joie une force supérieure à la sienne et capable de le soulager de la douleur, pour toujours.

    Pourtant le suicide pose un problème différent. Se suicider, c'est commettre une mauvaise action et ceux qui envisage cette éventualité souffrent, certainement, d'un déséqilibre mental provoqué par le chagrin, la douleur ou d'autres émotions qui affectent leur jugement. L'euthanasie ne serait pas un suicide parce qu'elle s'inpirerait du jugement porté par des personnes d'esprit mêr qui ne seraient pas directement intéressées par cet acte et qui, de ce fait, ne seraient pas la proie d'émotions douloureuses,  compassion ou chagrin. De l'avis du présent auteur, le suicide est indiscutablement un mal et l'on ne devrait jamais s'y résigner.

    Si un animal est malade, il faut le délivrer de sa détresse. Si un homme est atteint d'une maladie incurable, et s'il a un âge avancé au point d'être une charge pour autrui, alors il faut envisager une forme d'euthanasie en discutant avec ceux qui ne sont pas personnellement affectés par une décision de ce genre.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 217 et 218)(Extrait 18)}. Réincarnation animale.

    « Est-il possible qu'un animal revienne de l'au-delà durant une vie d'homme? »

    Bien sûr, si c'est pour le bien de l'animal! Ainsi donc - et je dis ceci à titre d'exemple purement hypothétique qu'il ne faut donc pas prendre trop au sérieux - si un animal a été délivré de sa détresse sans avoir accompli sa tâche, il est possible que ce même animal choisisse de revenir dans la même famille comme jeune chaton ou jeune chien et vive alors la période de temps dont il a été privé parce qu'on l'a « endormi » pour le soulager de sa douleur. Cela se produit sans aucun doute. Mais, naturellement, si un animal est de l'Autre Côté de la vie et si son « propriétaire » sait faire le voyage astral, alors tous deux peuvent se rencontrer s'ils le désirent.
 

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(page 218)(Extrait 19)}. AURA ASTRALE.

    Question suivante: « Est-ce que la forme astrale a une aura ou est-ce seulement un élément physique? »

    Le physique, forme essentielle ici-bas sur terre, possède un corps éthérique et une aura. Ce ne sont que des reflets de la forme vitale qui caractérise l'homme. Beaucoup de gens ne réussissent pas à voir l'aura - la plupart des gens ne le peuvent pas - parce qu'ils y sont habitués. Comme les gens qui ne peuvent pas voir l'air dans lequel ils vivent. Tout ce qu'ils parviennent à voir, c'est le brouillard enfumé, et l'on peut en voir beaucoup à notre époque!

    Dans le monde astral, l'aura est beaucoup plus brillante autour des figures astrales. Plus grand est le degré d'évolution d'une forme astrale, plus brillante est l'aura, plus scintillante son ondulation. Dès lors, voici la réponse demandée:

    Oui, une aura enveloppe sans doute les formes astrales.

    Toutefois, de même que sur Terre, des gens sont incapables de voir l'aura, de même dans l'astral inférieur certains ne peuvent pas voir l'aura astrale. C'est une situation qui s'améliore à mesure que progresse l'évolution des « non-voyants ».

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(page 219)(Extrait 20)}. L'HISTOIRE VRAIE?

    « Pourrait-il être permis, demande la correspondante, d'utiliser les renseignements trouvés dans le Rapport Akashique pour rédiger l'histoire véridique des civilisations anciennes et la biographie véridique de personnages célèbres? »

    Non, car l'on ne vous croirait pas. L'histoire ancienne ne ressemble qu'accidentellement è l'histoire telle qu'on l'a .crite. L'histoire est écrite ou réécrite ou corrigée suivant les caprices des dictateurs, etc. En veut-on un exemple moderne? L'histoire de l'Allemagne nazie a été quelque peu remaniée pour que Hitler apparaisse très différent de ce qu'il était en réalité. L'histoire de la Russie a été modifiée pour satisfaire les dictateurs communistes. Donc, tout se ramène à ceci: si vous écrivez la vérité en vous fondant sur le Rapport Akashique, on ne vous croirait pas, parce que votre version des faits différerait trop de la version officielle du pays en question.

    Dans le domaine des biographies, etc., eh bien, si quelqu'un écrit la vérité, on ne réussit pas souvent  à la faire publier; et si elle est publiée, il en résulte, après coup, un terrible scandale parce qu'un journaliste rapporte une vague rumeur, puis souffle violemment sur la flamme jusqu'à ce qu'elle devienne une fournaise grondante qui consume la vérité. Si vous désirez la vérité réelle, il faudra attendre votre séjour dans l'astral.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 219 et 220)(Extrait 21)}. AVORTEMENT?

    « Est-ce que l'avortement est toujours une faute? »

    Je dis : non. Il vauut mieux subir un avortement que de mettre au monde, dans un monde déjà surpeuplé, un pauvre petit malheureux qui ne sera pas désiré et qui, peut-être, devra affronter bien des difficultés, alors qu'il n'a commis aucune faute. Après tout, pourquoi devrait-il être puni à cause de quelques instants de négligence de la part de ses parents? Si l'avortement est précoce, l'entité n'a pas encore pris possession du corps.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 220 et 221)(Extrait 22)}. Maintien artificiel de la Vie?

    « Si l'âme quitte une personne qui est devenue semblable à un végétal, à un chou, la science médicale devrait-elle recourir à des moyens purement mécaniques pour la garder en vie? »

    Mon opinion personnelle est : « Non. » Lorsqu'une personne est malade au point que l'entité ne l'habite plus et que la vie de cette personne ne tient que par un des moyens mécaniques, alors, c'est une erreur et une sottise de prolonger cette vie. Il conviendrait de renoncer aux moyens techniques et de laisser mourir le corps. C'est la méthode qui manifeste la plus grande bienveillance. On entend si souvent parler, à notre époquie, de malades incurables qui aspirent à mourir et dont on prolonge la vie en leur enfonçant dans le corps de grands tubes et en les reliant à toutes sortes d'appareils diaboliques... Eh bien, ce n'est pas cela, vivre. Pourquoi ne pas laisser ces mourants « rentrer à la maison » au lieu de les comdamner à une mort vivante?

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 221 et 222)(Extrait 23)}. Destruction de l'environnement.

    L'explosion démographique fait peser une menace croissante sur les bêtes sauvages et sur les régions inhabitées du globe - ces animaux, ces endroits survivront-ils ou bien l'homme détruira-t-il pour toujours son environnement?

    Nombre d'animaux, d'oiseaux et de poissons mourront et leurs espèces seront exterminées pour toujours. L'humanité n'a aucune considération pour les populations des pays savages. Une préoccupation unique l'anime: se remplir les poches. Il existe un projet de déboisement dans la province de Québec. Des millions d'hectares de forêt seront détruit afin de fournir en matière première l'industrie papetière qui permet la fabrication de journaux, de cuir artificiel et de divers objets que, pour une raison ou une autre , l'homme estime aujourd'hui indispensable à son existence.

    Les arbres abattus, il n'y aura plus, dans la région en question, ni insectes, ni oiseaux; plus d'endroits pour construire nids et abris, plus de nourriture. Les animaux, manquant d'abris et de nourriture, mourront.

    L'homme se suicide et détruit rapidement la Terre. Les arbres disparus, les courants thermiques se modifieront. La température des arbres fait monter l'air et tomber la pluie; sans les arbres, il y aura changement de climal. Dans la région de[du] Québec où l'on abat des millions d'arbres, c'est probablement un désert qui naîtra.

    Les racines des arbres s'étendent dans le sol et le fixent en une masse solide. Une fois les arbres abattus et leurs racines arrachées, il n'y aura plus rien pour agglomérer le sol, si bien que les vents s'élèveront et emporteront dans l'air la légère poussière du sol, transformant le pays en une zone déserte rappelant la région désolée d'Amérique qu'on appelle la cuvette de poussière (dust bowl).

    L'humanité détruit le monde à cause de son insatiable cupidité. Si les gens voulaient simplement adopter un genre de vie plus conforme à la nature, et s'ils renonçaient à tous ces produits de synthèse, ils connaîtraient un bonheur plus grand. Dans l'état actuel des choses, par suite des progès de l'humanité, l'air, l'eau et le sol sont de plus en plus pollués. Bientôt, on en arrivera au point de non-retour, de saturation: la Terre deviendra stérile et inhabitable. Nombre de personnes haut placées dans ce monde travaillent d'arrache-pied pour tenter d'arrêter cette destruction insensée des régions sauvages où la vie peut encore s'épanouir, pour permettre à la Nature de restaurer l'écologie et de retrouver le point d'équilibre qui convient à la perpétuation et à l'évolution de l'espèce humaine.
 

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 224 et 225)(Extrait 24)}. GUÉRISSEUR !

    « Maintenant, Lobsang Rampa, j'aimerais connaître votre opinion au sujet du pouvoir des guérisseurs. Au 20e siècle, est-il sage d'y recourir? Je veux dire: les médecins sont si intelligents aujourd'hui, ils savent faire à peu près tout. Dès lors, a-t-on encore besoin de nous? Prenez le commun des mortels, à notre époque. Il ignore de quoi vous parlez si vous lui dites que vous êtes capables de guérir rapidement un mal de tête, sans qu'il doive ingérer un tas de comprimés. L'intéressé vous répondra que vous êtes tout juste bon à enfermer dans un asile psychiatrique. Voilà pourquoi je voudrais connaître votre avis. Est-il sage d'utiliser ses talents de guérisseur? »

    Non, il est absolument imprudent d'utiliser n'importe quel prétendu talent de guérisseur, à moins de posséder de solides connaissances médicales. Il se peut qu'un patient soit atteint d'une maladie redoutable et que par hypnotisme on arrive à en dissimuler les symptômes. Mais déguiser les signes du mal, ce n'est pas le guérir, et si l'intéressé se sent malade ou si son état s'aggrave et qu'il va consulter un médecin, eh bien - les symptômes ont été dissimulés - alors, que peut faire le malheureux dovteur? Si les indices de la maladie n'avaient pas été masqués, le médecin aurait peut-être réussi à diagnostiquer ce dont le malade souffrait exactement et à le guérir.

    Si l'on ne possède pas de sérieuses connaissances médicales, et si l'on ne travaille pas en collaboration avec un praticien diplômé, il ne faut pas se risquer à ces interventions de guérisseur, car celles-ci peuvent être fatales. Il en va de même pour les prières. Quand un groupe de personnes se réunissent pour prier dans une intention particulière, il importe de connaître exactement les conditions et les circonstances de l'affaire en cause; sinon, c'est la loi de l'effort inverse qui risque de se déclencher et les choses seraient pires qu'elles ne l'étaient auparavant. Aussi, le meilleur mot d'ordre à appliquer en l'occurence c'est : « Ne pas se mêler de cela! »

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 225 et 226)(Extrait 25)}.  De la guérison et du transfert de l'Énergie pranique!

    « Prenons le cas de deux personnes qui souffrent du même type de maladie, comment se fait-il que l'une peut être guérie instantanément tandis qu'aucune amélioration n'est apportée à l'autre? »

    La réponse est, comme je l'ai indiqué ci-dessus, que le premier de ces patients est tellement sensible à l'hypnose que les symptômes de son mal se trouvent dissimulés, ce qui vous porte à croire à une guérison instantanée; tandis que chez la seconde personne moins accessible aux suggestions hynoptiques, on ne remarque aucun changement dans son état. Notez que je parle de « suggestions hynoptiques », car les guérisons, la thérapeutique fondée sur la prière, tout cela est, essentiellement, de caractère hypnotique.

    Question: « Pourquoi ai-je chaud aux mains quand je guéris d'autres gens, et pourquoi mes mains sont-elles froides comme de la glace quand je m'impose à moi-même la guérison? »

    Réponse: Quand vous guérissez, ou essayez de guérir, un sujet, vous évoquez en lui, par suggestion hypnotique, l'idée que son état s'améliore, mais vous lui donnez en même temps l'excès de prana dont vous disposez; de la sorte, le passage de ce prana échauffe vos mains. Par contre, il vous est naturellement impossible de vous donnez votre propre prana, car vous le possédez déjà. De ce fait, vous suscitez en réalité la loi de l'effort inverse et épuisez votre propre énergie - c'est pour cela que vos mains se refroidissent.

    Ce prétendu pouvoir de guérir est essentiellement hypnotique. Il suffit de faire admettre une suggestion acceptable à une personne susceptible de se laisser influencer. Mais le pouvoir de guérir implique aussi qu'on pssède une grande quantité d'énergie éthérique que nous appelons prana. Si vous avez cette énergie et si vous êtes versé en ces sortes de choses, vous pouvez réussir à transmettre cette énergie à un autre. L'exemple suivant peut illustrer ce processus d'échange: un matin où il fait froid, on trouve sa voiture en panne parce que la batterie est déchargée. Le moteur refuse de se mettre en marche. Que voit-on alors? Une autre voiture s'approcher de celle qui est en panne, son conducteur en descend et branche sa batterie sur celle de la voiture immobilisée. L'énergie passe alors en grande quantité d'une batterie dans l'autre et la voiture qui ne démarrait pas se met immédiatement en marche. Cela vous donnera, sans doute, une idée de la façon dont s'effectue ce transfert d'énergie. [Ajout personnel: on sait qu'un "boustage" permet essenciellement d'apporter de l'électricité aux bougies d'allumage de l'autre voiture afin de faire démarrer son moteur, qui lui, grâce à son générateur, fournira et la batterie et les bougies pour entretenir le fonctionnement du moteur s'il a un apport suffisant d'essence. Par la suite le conducteur doit laisser marcher assez longtemps son moteur afin de recharger sa batterir. sinon, s'il arrête le moteur quelque minutes plutard, il sera à nouveau en panne car la maladie, la batterie à terre n"a pas été guérie!]

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 227 et 228)(Extrait 26)}. Maladie mentale et infirmité.

    « Quel but un  enfant peut-il avoir dans la vie quand il est arriéré, infirme ou aveugle de naissance? Je sais que jamais rien d'inutile n'arrive, mais je ne vois pas de raison justifiant la présence de tous les enfants en retard dans leur développement mental que nous avons dans notre société. Je vais avoir l'air cruel, mais comment ces pauvres âmes pourraient-elles apprendre quoi que ce soit? Ne vaut-il pas mieux, pour leur bien à eux, qu'ils meurent? »

    Réponse. Certains de ces enfants attardés sont nés dans cet état parce qu'avant de vinir sur Terre, ils ont choisi ce type de vie afin d'acquérir ce type d'expérience. Après tout, comment pourriez-vous vous initier aux sensations d'un enfant arriéré si vous n'avez jamais été arriéré et guéri de cette infirmité, comment pouvez-vous venir en aide aux enfants arriérés?

    Certains cas d'enfants arriérés pourraient être considérablement améliorés. Leur arriération peut provenir de négligence à la naissance ou simplement d'une mauvaise éducation ou encore du fait qu'ils sont nés de parents âgés. Mais la plupart de ceux de cette dernière classe ont une  « relation médiocre » avec le Sur-moi et, de ce fait, les messages qui leur sont destinés ne sont pas convenablement transmis. Naturellement, il y a, dans le monde, bien des gens qu'on devrait renvoyer « à la maison » tout comme on envoie des animaux « à la maison » quand ils souffrent de maladies incurables; mais c'est là une attitude qu'on ne peut pas observer à l'égard des êtres humains parce que l'opinion publique s'y oppose. En théorie, le meilleur parti à prendre serait de faire mourir un arriéré mental - en théorie. En fait, cependant, il serait impossible de distinguer entre ceux qui seraient incurables du point de vue de l'enseignement et ceux qui, effectivement, n'apprennent que l'amertume. Un autre point se pose ici: une personne incurable aujourd'hui et, de ce fait, candidate à l'euthanasie, pourrait être guérie demain ou la semaine prochaine grâce aux progrès de la science.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 228 et 229)(Extrait 27)}. Le Pardon!

    « Dans quelle mesure faut-il pardonner? La Bible dit : « Œil pour œil, dent pour dent », mais cela est inhumain, Jésus, homme, a dit de pardonner 77 fois 7 fois; chose impossible dans la vie contemporaine. Jusqu'à quel point faut-il faire preuve de tolérance? »

    Eh bien, voici un réponse qui risque de faire rougir certaines vieilles personnes de l'un et de l'autre sexe; mais j'ai une règle plutôt sévère à ce sujet. Je sais tout ce qu'il faut savoir à propos de « tendre l'autre joue », mais, en fait, nous n'avons que 4 joues, 2 devant et 2 derrière. Quand toutes les 4 ont été souffletées, le moment est venu de répondre par des gifles, de frapper - beaucoup plus fort - et de cesser une fois pour toutes ces absurdités; car rester toujours doux, humble et supporter toutes les insultes dont on est accablé, c'est simplement démontrer qu'on est un pleurnicheur et un faible qui ne mérite aucune estime. Nous devrions prendre ceci en considération: sommes-nous des hommes ou des souris? Si nous sommes des souris, faisons couic autant que le cœur nous en dit, mais sauvons-nous dans les boiseries! Si vous êtes un homme, alors, vous êtes insensé de tolérer que des gens dépassent certaines bornes.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 229 à 231)(Extrait 28)}. Shakespeare?

    « Dr Rampa, commençait cette lettre, vous avez l'occasion de regarder dans le Rapport Akashique, vous savez donc ce qui se passe. Dites-moi, quelle est la vérité à propos de l'affaire Shakespeare? Shakespeare a-t-il écrit ses livres? »

    Oui, le Rapport akashique est accessible à ceux qui savent comment en faire mauvais usage et à ceux qui savent ne pas en faire mauvais usage. Le Rapport Akashique est accessible, dis-je, à des fins particulières. En principe, cela n'a vraiment aucune importance de savoir qui était Shakespeare ou pourquoi un mystère l'entoure - mais voici quelques faits bien établis.

    Celui qui aillait être plus tard connu sous le nom de Shakespeare, fils de pauvres fermiers, avait une très grande qualité. Il avait une « fréquence » totalement compatible avec une entité qui devait venir sur Terre pour effectuer une tâche spéciale. C'est ainsi que le garçon qui allaitêtre connu sous le nom de Shakespeare fut veillé très attentivement, veillé comme le jardinier soigneux surveille la floraison d'une plante rare et précieuse. Au moment approprié, des dispositions furent prises pour que l'entité qui habitait alors le corps du futur Shakespeare, l'écrivain, soit libérée de ce qui était devenu pour elle une servitude exaspérante. Cette entité ne désirait pas vivre une vie de pauvreté, une vie d'épreuves. Il fut aisé de lui faire quitter Shakespeare, c'est-à-dire de la faire renoncer à l'autorité qu'elle exerçait sur lui - et de l'envoyer ailleurs.

    L'entité chargée de la tâche particulière dont nous avons parlé au début, avait longtemps cherché un sujet qui lui convînt. En effet, c'est un gaspillage considérable pour de pareilles entités supérieures que de devoir descendre sur Terre, renaître et risquer de perdre beaucoup de leur savoir au cours de l'expérience traumatisante qu'est la naissance. Aussi, l'entité a cherché un hôte adulte à sa convenance et, quand les temps ont été mûrs, le corps a été immédiatement évacué par l'une et instantanément réoccupé par l'autre.
 
 

    Il y avait, donc, maintenant, une intelligence géante dans le corps du pauvre paysan, une intelligence géante qui éprouvait une difficulté considérable à s'adapter à l'espace restreint, aux circonvolutions limitées du cerveau. C'est ainsi que pendant quelques temps, il y eut une période de stase durant laquelle aucune œuvre créatrice ne fut réalisée. Puis, l'entité géante qui dirigeait le corps du paysan partit pour Londres, en vue d'explorer le corps nouveau, de s'habituer à lui et de triompher de ses gaucheries.

    Le temps passa et l'entité se familiarisa de plus en plus avec le corps et le cerveau; alors, elle commença son œuvre, composant des classiques immortels. Pourtant ces écrits ne pouvant évidemment pas être l'œuvre d'un auteur dont le corps trahissait une éducation fruste, peu à peu des doutes se sont élevés. On s'est déclaré sceptique et l'on a émis des conjectures insensées à propos de la personnalité de Shakespeare, à propos de l'identité de celui qui aurait composé les œuvres de Shakespeare.

    La réponse à la question posée? L'entité qui a adopté le corps de Shakespeare a écrit ses œuvres parce que telle était sa tâche: celle-ci accomplie, elle est partie, laissant derrière elle ce qui pour beaucoup est une énigme, un problème sans solution. Pourtant, si les gens voulaient écouter ceux qui ont eu des expériences similaires, ils seraient à même, eux aussi, de consulter le Rapport Akashique et d'appréhender quelques-unes des véritables merveilles au sein desquelles nous vivons.
 

{Les Univers Secrets, par Rampa: (pages 197 à 198)(Extraits 70)}Bacon, auteur des pièces de Shakespeare.

Pour en revenir à ce que je disais au paragraphe précédent, il est tout à fait divertissant de regarder des gens se chamailler au sujet de l'identité d'un auteur, sans se soucier le moins du monde de son oeuvre. Ce pauvre vieux Shakespeare doit bien s'amuser, dans sa tombe, de ceux qui savent que c'est Bacon qui a écrit Hamlet et qu'en fait, Shakespeare, c'était Bacon! Et puis, qui donc a écrit la Bible? Les disciples? Leurs descendants? Une bande de moines qui trafiquaient les Écritures? Quelle importance cela peut-il donc avoir? Seule compte la parole écrite et non l'identité de l'auteur!

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages  231 à 236)(Extrait 29)}. Comment voyager dans l'Astral consciemment.

    Voici une autre question qui peut présemter quelque intérêt. Elle est énoncée comme suit: « Quand vous dites qu'il faut de la patience pour accomplir le voyage astral, voulez-vous dire des semaines, des mois, des années? Ou bien, la période nécessaire varie-t-elle considérablement d'après la personne qui exécute ce voyage, le temps durant lequel elle l'a pratiqué et les aptitudes individuelles latentes? »

    En fait, chacun de nous effectue le voyage astral. La plupart des gens ne s'en rendent pas compte. Ils ne retiennent de leur expérience qu'un vague souvenir au petit matin qu'ils attribuent à un rêve ou à leur imagination.

    Le voyage astral, ou plutôt l'initiation au voyage astral, ressemble beaucoup à l'apprentissage d'un enfant qui commence à rouler à byciclette. En réalité, cela paraît tout à fait impossible de pouvoir jamais apprendre à rouler sur deux roues, et que dire des vélos à une roue? Pourtant, les gens en sont capables. Des acrobates apprennent à marcher sur une corde raide, et peu importe le temps mis pour exécuter cet exercice avec brio. C'est simplement un truc à saisir. Si vous vous sentez capable de rouler à monocycle, eh bien, vous pouvez rouler à monocycle. Si vous vous sentez assez souple pour marcher sur une corde raide ou faire de la voltige, croyez-moi, vous pouvez le faire. Il en est de même pour le voyage astral. Dresser une liste d'exercices pour s'initier au voyage astral, c'est une chose impossible. Sauriez-vous expliquer à quelqu'un comment on apprend à rouler à bicyclette, ou comment on apprend à faire du patin à roulettes? En dehors du sage conseil de s'attacher un coussin au derrière? Et encore, comment apprendre à quelqu'un à respirer? La respiration est une chose naturelle, nous respirons simplement, et c'est tout. Nous ne sommes pas toujours conscients de ce processus, n'est-ce pas? Nous ne nous en rendons compte que lorsque nous éprouvons quelque difficulté à respirer. Nous ne sommes donc pas davantage conscients du voyage astral, du moins, c'est le cas de la plupart d'entre nous; mais ce voyage est aussi facile que de respirer, aussi facile que de rouler à bicyclette.
 
 
 

    L'essentiel est de décider de voyager dans l'astral consciemment. L'accent est mis ici sur le mot « consciemment ». Malheureusement, le mot « imagination » a mauvaise réputation. Les gens se figurent qu'imaginer c'est concevoir l'irréel.
 Peut-être vaudrait-il mieux employer, à la place, le mot  « visualiser ». Ainsi donc, pour partir en voyage astral, il faudrait vous mettre au lit - seul, naturellement, et dans une chambre isolée. Adoptez n'importe quelle position, pourvu que vous y soyez à l'aise. Si vous pouvez vous dresser sur la tête, c'est parfait également, à condition que cette position vous paraisse confortable. Mais, si vous désirez vous étendre sur le dos, sur le côté, sur le ventre, c'est tout aussi bien. L'essentiel est de vous sentir à l'aise.

    Ainsi, couché, assurez-vous que votre respiration est complète, c'est-à-dire lente, profonde, égale, naturelle. Restez allongé comme cela pendant quelques instants, la lumière éteinte, en rassemblant vos pensées. Puis, représentez-vous que vous êtes un corps dans un corps, représentez-vous que vous êtes dans un corps qui se retire de votre corps extérieur, à peu près de la même manière que vous retirez votre main du gant qui l'enveloppait.

    Faites-vous une représentation mentale de votre corps tel que vous êtes étendu dans le lit. Avez-vous un pyjama? Si oui, visualisez-le, jusqu'aux rayures ou aux fleurs du tissu, ou au modèle. Avez-vous une chemise de nuit? Représentez-vous avec précision telle qu'elle est. Est-elle ornée de beaux petits nœuds et de dentelles autour du cou? Eh bien, veillez à vous représenter ces détails. Ou bien êtes-vous l'une de ces intrépides créatures qui dorment comme des bananes épluchées? Dans ce cas, représentez-vous comme vous êtes. Puis continuez à promener votre regard intérieur en imaginant (pardon! en visualisant) que votre forme astral est absolument identique à votre forme extérieure. Représentez-vous ce corps astral s'échappant de  votre corps charnel et s'élevant jusqu'à environ un centimètre ou deux au-dessus du corps de chair. Maintenez-le à cette place et concentrez-vous sur cette image mentale. Si vous êtes une fille, vous aurez des cheveux longs; mais ce sera une erreur, car aujourd'hui les gaçons aussi portent les cheveux longs. Peu importe, d'ailleurs. Si vous avez les cheveux longs, représentez-les-vous tombant dans le dos. Le corps astral est-il en contact avec le visage du corps charnel? Alors éloignez-le de quelques centimètres. Visualisez ce corps comme une création vigoureuse. Regardez-le de haut en bas, d'un bout à l'autre, par-dessus et par-dessous  de façon à en avoir une image complète, une image globale. Puis, abandonnez-vous à votre satisfaction. Vous êtes sorti de votre corps. Voyez-vous le corps astral oscilleeant légèrement de haut en bas? Attention! soyez prudent, s'il se balance trop violemment, vous aurez l'impression terrible de tomber, et alors vous rentrerez dans votre corps de chair avec un horrible boum! qui vous secouera, et vous vous retrouverez tout bonnement dans votre lit.
 
 

    Contentez-vous pour le moment de penser à votre corps, votre corps astral qui flotte un tout petit peu au-dessus de votre corps de chair. Puis, progressivement, représentez-vous le corps astral qui glisse dans votre corps de chair, exactement comme vous glisseriez votre main dans un gant.

    Faites cela pendant une nuit ou deux jusqu'à ce que vous puissiez retenir fermement la visualisation. Quand vous en serez là, vous pourrez avancer plus loin.

    Vous avez quitté votre corps. Vous flottez exactement au-dessus de votre corps charnel. Réfléchissez! Où désirez-vous aller?

    Voudriez-vous aller voir le Dr Armand Legge qui vous a fait un si mauvais rapport médical? Très bien, vous savez à quoi il ressemble? Pensez à lui, pensez que vous voyagez, pensez que vous le voyez. Si vous arrivez à faire cela, vous pouvez aussi lui chatouiller la nuque. Il se sentira épouvantablement mal à l'aise! Mais peut-être est-ce un peu méchant de votre part de vous permettre ce genre de farce.

    Désirez-vous penser à votre amie? Eh bien, vous pouvez aller la voir, si vous y tenez. Toutefois, rappelez-vous qu'il ne faut pas avoir de mauvaise pensées à propos de ceux que vous allez voir. Avant de prendre ce risque, en effet, attendez d'avoir une longue pratique; autrement, vous vous retrouverez dans votre corps après avoir essuyé un vigoureux soufflet. Qu'arrive-t-il en pareille occurence? Ceci: vous sortez de votre corps, vous pensez à une amie ou à une personne que vous aimeriez avoir pour amie. Vous savez que c'est l'heure de son bain et vous désirez savoir si elle a des grains de beauté sur son costume de naissance. Vous arrivez auprès d'elle, mais son aura détecte votre présence et alerte son subconscient. Elle se sent mal à l'aise. Elle jette un coup d'œil par-dessus son épaule, se demande si le propriétaire n'est pas en train de l'épier par le trou de la serrure. Elle ne vous verra pas, mais son aura devinera votre présence, son subconscient surgira et vous donnera un tel coup que vous oublierez tout ce que vous avec vu et vous serez renvoyé brutalement dans votre corps, ayant éprouvé un choc plus grand que tout ce que vous croyiez possible. C'est uniquement avec des pensées pures que vous pouvez vous introduire de pareille manière dans l'intimité d'une personne. Aussi voici ce que j'ai à dire à ceux qui m'écrivent avec l'intention de risquer un coup d'œil sur leurs amies au mauvais moment; eh bien, je leur dis: « Dans votre intérêt, n'en faites rien. Vous seriez très durement traité. »
 
 

Pratiquez la visualisation que je vous ai décrite. C'est réellement facile. Quand vous êtes à même de visualiser une chose, vous êtes à même de la faire. Au bout de combien de temps? Cela dépend de vous, de la rapidité avec laquelle vous prenez conscience de la vérité. Or, cette vérité, la voici: vous FAITES réellement le voyage astral. Mais, sous l'empire des conceptions de notre civilisation, etc., vous ne vous en rendez pas toujours compte; vous ne vous en souvenez pas toujours. Et si vous vous en souvenez, vous l'attribuez à un excès d'imagination, à un rêve ou un désir enfin réalisé. Sitôt que vous admettez la réalité du voyage astral, vous pouvez sincèrement visualiser ce voyage. Croyez-moi, il vous est vraiment possible de le réaliser, ce voyage, car c'est beaucoup plus simple que de vous lever de votre chaise, beaucoup plus simple que de prendre un livre. Le voyage astral est une chose essentielle, un droit acquis à la naissance de tout être vivant qu'il soit cheval, singe, humain ou chat - chacun effectue son voyage astral. Mais après combien de temps l'exécute-t-on consciemment? Cela dépend de chacun de vous.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages  236 à 237)(Extrait 30)}. La Luminosité Astrale.

    « Vous dites que dans l'astral, tout miroite; mais pour moi, toutes choses miroitent toujours. Est-ce parce que je porte des lunettes? »

    Quand vous êtes dans l'astral, toute chose miroite parce que tout y est plein de vie, plein de vitalité. Si vous y voyagez convenablement, vous pouvez voir autour de vous des petites taches de lumière. Tout ce que vous voyez semble inondé par un rayon de soleil. Vous êtes certainement entré dans quelque gare de chemin de fer poussiéseuse et vous y avez vu un trait de lumière se risquer à travers une fenêtre obscure. Dans ce trait de lumière solaire vous avez observé de minuscules atomes dansants. Eh bien, dans l'astral, c'est la même chose. Vous baignez dans une lumière perpétuelle, et tout miroite avec la vitalité de la vie. C'est exactement le contraire de ce qu'on perçoit quand on est dans le brouillard. Soit dit en passant, avoir mauvaise vue ne présente aucune importance dans l'au-delà. Aucune importance non plus si vous êtes aveugle. Dans l'Astral, vous retrouvez tous vos sens. Vous pouvez entendre et voir, vous pouvez sentir et vous avez un odorat parfait. À chaque fois, cent pour cent d'efficacité. Aussi, pourquoi ne pas essayer le voyage astral? Il est facile, naturel, et en définitive ne représente absolument aucun danger. Vous ne courez nul danger d'être lésé et aussi longtemps que vous n'avez pas peur, rien ne peut vous arriver. Si vous avez peur, eh bien, c'est simplement de l'énergie que vous gaspillez. Rien à dire à ce propos, sinon cela: si vous avez peur, la sele chose qui se produit, c'est que vous ralentissez vos vobrations à tel point qu'il vous devient difficile de séjourner dans l'astral. Il en va de vous comme d'un aéroplane qui perd sa vitesse de route et qui tombe.  Vous ne désirez pas tomber, n'est-ce pas? Très bien, alors, n'ayez pas peur. Il n'y arien à craindre.

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages  238 à 240)(Extrait 31)}. Intelligence et Conscience Multidimensionnelles.

    « Vous dites que, sur Terre, nous ne sommes conscients qu'à concurrence de 1/10e. Mais d'après ce qu'on lit dans vos livres, il apparaît nettement que nous sommes moins conscients que des êtres qui habitent d'autres planètes. Les Jardiniers de la Terre, pour ne citer qu'un exemple, sont conscients à 100%: ou bien ils doivent être plus puissants que les gens de la Terre, ou bien est-ce que dans leur 3e état dimensionnel, ils pourraient être conscient à plus de 10%? Leur intelligence et leur savoir technique semblent tellement supérieurs aux nôtres, et pas seulement leur intelligence, mais aussi leur compassion et leur compréhension. Voulez-vous bien nous expliquer cela, s'il vous plaît? »

    Bien sûr, il n'y a là rien d'étonnant. Nous habitons l'une des plus misérables petites taches de poussière de l'univers. Voyez-vous, il existe plus de planètes, plus de mondes qu'il n'y a de grains de sable sur toutes les plages de la Terre, et, pour faire bonne mesure, vous pouvez encore y ajouter le sable des fonds marins, car le nombre des univers dépasse la compréhension humaine. Si vous avez sous l'ongle un peu de boue et que vous l'examinez au microscope, vous distinguez des milliers d'atomes de boue. Alors pensez à toute la matière qui recouvre la surface de votre corps; sous quelque aspect que cette « matière » vous apparaisse, elle est cependant formée de la même molécule de base, une molécule de carbone. S'il en est ainsi pour une tache de boue sous un ongle, comment vous imaginerez-vous le nombre de molécules - le nombre de mondes - qui constituent un corpss humain? Quand vous aurez votre avie sur ce point, que direz-vous de tous les autres corps humains, des corps des animaux, des corps présents dans d'autres univers, etc.?

    En ce monde, nous sommes conscients à 10%, mais dans d'autres, les gens peuvent jouir d'une plus grande conscience. Mais, s'ils n'étaient même conscients que dans la proportion de 1/20e, ils pourraient cependant être beaucoup plus intelligents que les Terriens.

    Les Jardiniers de la Terre ne sont pas simplement des êtres tridimensionnels vivant quelque part dans l'espace et prêts à abattre astronaute ou cosmonaute qui ferait irruption chez eux. Ils existent dans une dimension différente et, naturellement, leurs aptitudes techniques et intellectuelles sont tellement supérieures à celle des hommes que, comparés à eux, les humains feraient figure de microbes particulièrement mal fichus installés sur un tas d'ordures particulièrement repoussant.
 
 

    La grosse difficulté réside dans le fait que, sur Terre, nous devons vivre selon des termes tridimensionnels et nous tirer d'affaire avec eux. Alors, comment décrire des choses que se produisent peut-être en 9 dimensions ou davantage?

    Donc, pour répondre à la question: oui, sur cette Terre  nous ne sommes conscients qu'à 1/10e. Et, oui, nous sommes moins conscients que des êtres qui habitent des planètes supérieures, même si, par hasard, ceux-là aussi n'étaient conscient qu'à 1/10e.

    Oui, les Jardiniers de la Terre sont beaucoup plus conscients et ils sont beaucoup plus conscients aussi dans les dimensions beaucoup plus nombreuses. Ils se sont levés de l'état où nous sommes maintenant, et pourtant, au-dessus d'eux, se trouvent des êtres plus élevés devant lesquels les Jardiniers de la Terre sont exactement tels que nous, humains, apparaissons aux Jadiniers de la Terre. Mais appliquons la loi de justice en vertu de laquelle nous devrions faire aux autres ce que nous voudrions que les autres fassent pour nous; et, alors, nous pourrons nous élever au rang des Jardiniers de la Terre et, de là, nous élever encore. La meilleure façon d'expliquer cela est d'adopter le mot d'ordre de la R.A.F., « Par les épreuves jusqu'aux étoiles ».

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"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 241 à 249)(Extrait 31)}. CHOIX DE PENSÉES EXTRAITE DES OEUVRES DE LOBSANG RAMPA.

Mieux vaut allumer une chandelle que de maudire l'obscurité.

Agissez envers autrui comme vous voudriez que les autres agissent envers vous.

Plus vous connaissez de choses, plus vous avez à apprendre.

Ne répondez jamais aux critiques; si vous le faites, vous affaiblissez votre cause.

La voie droite est à la potée de tous, mais l'humanité cherche trop loin.

Le succès couronne un travail acharné et une préparation minutieuse.

Il faut une centaine d'hommes pour faire un camp; une femme suffit pour faire un foyer.

Le temps est la chose la plus précieuse que l'homme puisse gaspiller.

Faire du tort aux autres, c'est se faire du tort.

Si vous ne gravissez pas la montagne, vous ne pourrez pas contempler la plaine.

Rappelez-vous: la tortue n'avance qu'en tendant le cou hors de sa carapace.

La pierre précieuse ne peut pas être polie sans frottement, et l'homme ne s'accomplit pas sans subir d'épreuves.

Il faut que l'homme garde longtemps la bouche ouverte avant qu'une perdrix rôtie ne vienne y tomber.

Si vous ne croyez pas aux autres, comment pouvez-vous espérez que les autres croient en vous?

Divisez l'ennemi et vous réussirez à le dominer; retez unis et vous vaincrez des ennemis désunis. L'ennemi, ça peut être l'indécision, l'incertitude. {le doute!!!}

Les humains - hommes et femmes - doivent s'efforcer de vivre ensemble en pratiquant la tolérance, la patience et l'altruisme.

Si nous gardons des pensées pures, nous excluons des pensées impures, nous fortifions ce en quoi nous retournons quand nous quittons le corps charnel.

On peut, dans ses prières, demander d'être à même d'aider les autres, car en aidant les autres, on apprend à se connaître soi-même; en instruisant les autres, on s'instruit sur soi-même; en sauvant les autres, on se sauve soi-même.  Il faut donner avant de pouvoir recevoir, il faut se donner, donner sa sympathie, sa pitié. Aussi longtemps qu'on n'arrive pas à donner de soi-même, on n'est pas en état de recevoir quoi que ce soit des autres. On ne peut pas attendre de pitié d'autrui sans en avoir d'abord témoigné aux autres. Impossible d'obtenir que les autres vous comprennent avant d'avoir vous-même témoignez de la compréhension à l'égard des autres.
 
 

Rendez le bien pour le mal et ne craignez personne car, en rendant le bien pour le mal, en faisant le bien en tout temps, on s'élève et on ne s'abaisse jamais.

Tout est pur à ceux qui sont purs.

Quelle que soit l'idée que vous ayez de vous-même, vous êtes ce que vous croyez. Quoi que vous croyiez pouvoir accomplir, pous pouvez l'accomplir.

Soyez serein et sachez que je suis en vous.

Quand nous sommes de l'autre côté de la mort, nous vivons dans l'harmonie.

Si vous vous dites sans cesse que vous allez réussir, vous réussirez. Mais vous ne réussirez que si vous persistez dans votre assurance de succès et si vous ne laissez pas le doute (la confiance négative) s'introduire dans vos affaires.

Il faut en toute circonstance garder son sang-froid, ne pas se départir d'une attitude sereine.

L'essence extraite de tout ce que nous apprenons sur terre, voilà ce qui fait de nous ce que nous serons dans la vie future.

Demandez-vous ceci: Est-ce qu'une quelconque de ces affaires, une quelconque de ces préoccupations aura encore quelque importance dans 50 ou 100 ans?

Plus vous faites de bien aux autres, plus vous pouvez en retirez de profit.

Si vous pensez à la paix, vous aurez la paix.

Il faut être en paix avec soi-même si l'on veut se perfectionner.

Gardez votre sang-froid et ayez confiance en vous, vous réussirez en tout.

Nous devrions pardonner à ceux qui nous ont offensés et nous devrions chercher à obtenir le pardon de ceux que nous avons, nous-mêmes, offensés. Il faudrait toujours nous rappeler que le moyen le plus efficace d'avoir un bon kharma, c'est de faire aux autres ce que nous voudrions qu'ils nous fassent à nous-mêmes.

Aux yeux de Dieu, tous les hommes sont égaux; et aux yeux de Dieu, toutes les créatures sont égales, qu'elles soient des chats, des chevaux, etc.

 Nous devrions toujours manifester beaucoup d'intérêt, beaucoup de sollicitude, beaucoup de compréhension envers ceux qui sont malades, affligés ou désolés, car c'est peut-être cela la tâche qui nous incombe: leur témoigner cette sollicitude et cette compréhension.
 
 

Une personne malade peut avoir évolué beaucoup plus que vous qui êtes bien portant: en lui accordant votre aide, il est possible que vous vous rendiez à vous-même un immense service.

Si l'on s'afflige outre mesure pour les morts, on leur cause du chagrin, on les fait descendre de force sur Terre.

De même que nous devrions agir comme nous voudrions qu'on agisse envers nous, ainsi, nous devrions accorder aux autres pleine liberté d'avoir la foi et de pratiquer le culte qu'ils pensent leur convenir.

Nous aurons demain la personnalité que nos pensées auront formée aujourd'hui.

Si votre attitude trahit les effets de la tension, c'est que vous n'avez pas vu les choses dans la perspective qui convenait.

Si vous travaillez avec trop d'acharnement, ce dur travail auquel vous vous livrez absorbe vos pensées à tel point que vous n'avez pas le temps de réfléchir aux résultats que vous espériez atteindre.

Il est bon de se rappeler que dans tout conflit entre l'imagination et la volonté, c'est l'imagination qui l'emporte toujours.

Si vous éduquez votre imagination et si vous en êtes le maître, vous pouvez atteindre tous les résultats que vous désurez.

La seule chose dont il faille avoir peur, c'est d'avoir peur.

Si vous restez maître de votre imagination, tout en accroissant votre confiance en vos aptitudes, vous pouvez réussir en tout.

« Impossible », cela n'existe pas.

Vous êtes tel que vos pensées vous forment.

L'échec signifie que vous n'avez pas été suffisamment ferme dans votre résolution de faire ceci ou de ne pas faire cela.

Le mendiant d'aujourd'hui pourrait être le prince de demain, et le prince d'aujourd'hui pourrait être le mendiant de demain.

N'imposez jamais aux autres vos opinions personnelles.

Ceux qui parlent le moins entendent le plus.

L'esprit est comme une éponge qui s'imprègne de savoir.

La paix est l'absence de conflit intérieur ou extérieur.

Ce monde-ci, cette vie-ci est un lieu d'épreuves où notre Esprit se purifie par la souffrance que nous subissons en apprenant à réprimer la grossièreté de notre corps charnel.

Il peut y avoir un mauvais homme dans une lamaserie aussi bien qu'un saint en prison.

Nous venons en ce monde pour permettre à notre esprit d'évoluer. L'épreuve est éducatrice, la souffrance nous instruit, la bonté et la considération ne nous apprennent rien.

La crainte corrode l'âme.
 
 

La vie suit une route pénible et rocailleuse, pleine de pièges et de traquenards; mais, si l'on persévère, on finit par atteindre le sommet.

La plus grande force qui existe en ce monde, c'est l'imagination.

Ne jamais désespérer, ne jamais renoncer; car le droit prévaudra.

Il n'existe pas d'homme cultivé qui n'ait été soumis à une discipline.

C'est un triste fait que nous n'apprenons qu'en peinant et en souffrant. Il faut que les parents s'aiment pour que naisse le meilleur type d'enfant.

Presque tous les couples peuvent vivre ensemble et être heureux, à condition d'apprendre à se faire mutuellement des concessions.

Ne vous disputez pas, ne différez pas d'avis entre vous, car l'enfant imite l'attitude de  ses parents. L'enfant de parents peu aimables devient lui-même peu aimable.

Le maître arrive toujours quand l'élève est prêt.

Le minerait de fer peut se croire stupidement torturé dans le fourneau; mais quand la feille du plus bel acier trempé regarde en arrière, elle révise son jugement.

Qui écoute le plus apprend le plus.

Race, croyances, couleur et la peau, tout cela n'a pas d'importance: tous les hommes ont le sang rouge quand ils saignent.

L'imagination est la plus grande force sur Terre.

In n'est pas bon de trop s'appesantir sur le passé quand on a tou un avenir devant soi.

Lorsqu'on est en colère, mieux vaut se reposer que de s'asseoir comme un Bouddha et de prier.

C'est une triste chose que de voir les gens condamner ce qu'ils ne comprennent pas.

Il existe une loi occulte bien précise, en vertu de laquelle on ne peut rien recevoir à mois qu'on ne soit prê à donner.

« Que la lumière soit », cela veut dire élever l'âme humaine, la soustraire à l'obscurité afin qu'elle puisse percevoir la grandeur de Dieu.

Mourir à la Terre, c'est naître au Monde Astral.

Tout dépend de votre attitude, de votre disposition d'esprit, car vous êtes tel que vous pensez être.

Cette Terre n'est qu'un grain de poussière qui n'existe que durant un clin d'oeil dans ce qui est le temps réel.

Chacun doit être une île en soi-même.

Le suicide ne se justifie jamais.

Votre corps n'est qu'un véhicule, un moyen par lequel votre Sur-moi peut acquérir quelque expérience sur Terre.

Si quelqu'un a des pensées positives, alors des choses positives lui arriveront.

Il n'y a sur Terre ni ailleurs aucune puissance capable d'annuler les paroles qu'on a prononcées et de faire qu'elles n'aient pas été dites.

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