http://theudericus.free.fr/Ufologie/Terre_Creuse/Terre_Creuse.htm
La théorie de la Terre Creuse est une
théorie à priori assez surprenante, voire farfelue car en
complète contradiction avec ce que la Science nous
enseigne tous le jours. Cependant depuis des siècles, de
nombreux savants et philosophes ont disserté sur la
possibilité que notre Terre ne soit pas un solide, mais
soit à l'image de nombreux objets qui nous entourent
c'est-à-dire, une sphère creuse.
A coté de ces théories, des
témoignages dignes de foi, de marins et d'explorateurs
nous laissent à penser que la réalité n'est peut-être pas
aussi simple que nous l’espérons. En particulier, les
récits d'Olaf Jansen et de l'Amiral Richard Byrd, un des
plus grands explorateurs des Pôles, même s'ils laissent
perplexes, ne peuvent être rejetés sans analyse....
Ce Chapitre a pour origine le superbe
site
de Jacques Fortier qui a repris
les thèses de Raymond Bernard...
Quelques sites consacrés à cette
théorie :
La plus grande découverte
géographique de l'histoire humaine
Traduit de l' Étatsunien par
ROBERT GENIN
Édition originale Étatsunienne THE
HOLLOW EARTH
1969 by University Books Inc., New York.
@ Éditions Albin Michel, 1971.
Ce livre est dédié aux
futurs explorateurs du Nouveau Monde qui s'étend au-delà des
pôles, dans l'intérieur creux de la Terre. à ceux qui
renouvelleront le vol historique de l'amiral Byrd, qui
pénétra dans un territoire inconnu d'une superficie plus
grande que celle de l'Amérique du Nord
AVERTISSEMENT DE L'ÉDITEUR ÉTATSUNIEN
Les UFOS et le secret gouvernemental
Points marquants de l'histoire de la découverte de l'amiral
Byrd
CET OUVRAGE CHERCHE à PROUVER
AVANT-PROPOS
I. La découverte mémorable de l’amiral Byrd
Sur aucune carte.
La géographie de l'Antarctique est connue, et pourtant..
Une île dans le ciel
Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre .
Voici comment Palmer explique son point de vue
Cette terre, centre du mystère .
Un black-out étrange ,
Des incidents bizarres .
La théorie de Giannini
On n'a jamais survolé le pôle .
Une technique de vol pour entrer dans la dépression polaire ,
Une série d'articles de Giannini .
A la porte du Royaume intérieur de la Terre .
Récit d'un voyage à l'intérieur de la Terre .
L'Oasis de Bunger .
« Le Dieu qui fume. «
II. La Terre creuse.
La Terre, cette inconnueIII. L' œuvre de William Reed : Fantôme des pôles
La formation de la Terre
Les pôles sont des fantômes
Une découverte russe au pôle Nord
Au centre de la croûte terrestre
Le long voyage du pôle magnétique
Un périmètre tabou
Sur la paroi interne de la croûte terrestre
Des icebergs d'eau douce
Une histoire de mammouth
Des migrations étranges
Des problèmes insolites
Les bases d'un Nouveau Monde
Reed et Gardner méconnus
Le Pôle Nord magnétique.
Si la Terre est creuse
Des questions importantes
L'absence du Soleil pendant les longs hivers Arctiques
Le fonctionnement anormal de la boussole dans l'extrême Nord ... 35
Des roches dans les icebergs , de la neige colorée/i>
Du pollen et de la poussière dans l'extrême Nord
Mer libre dans l'extrême Nord
Pourquoi fait-il plus chaud près des Pôles ?
Qu'est-ce qui produit la neige colorées dans l'Arctique ?
>Les raz de marée
IV. L'œuvre de Marshall B. Gardner :
Voyage à l'intérieur de la Terre ,V. Le Pôle Nord a-t-il vraiment été découvert ?
ou les pôles ont-ils vraiment été découverts ?
L'exploration Arctique : Une preuve
Des phénomènes surprenants .
Une courbure imperceptible ..
Un soleil central en suspension .
Les merveilles de l'Arctique ..
Un vaste lieu de refuge .
Origine du Mammouth .
A L'appui de la Théorie de la terre Creuse : Une preuve astronomique .... 45
Un même processus: toutes les planètes sont creuses . ....... 45
La lumière du soleil central .
Explication des phénomènes lumineux .
Sur Vénus .
Sur Mercure ,
Origine de l'aurore boréale
Aucune preuve
Deux cent huit kilomètres en cinq jours .
Peary pas plus que Cook .
Un scandale international .
Une question de prestige .
VI. L'origine des Esquimaux
Un royaume radieux au-delà du septentrion
A propos de l'origine des Esquimaux, Gardner écrit
Le souvenir d'un âge d'or
VII. L'origine souterraine des soucoupes volantes
Huguenin,de Souza, StraussVIII. Ce que pourrait être une expédition aérienne
Une super-civilisation souterraine
La disparition du colonel Fawcett
Les descendants d'une race antédiluvienne
Du char céleste à la soucoupe volante
Mars, Vénus, ou un royaume inconnu au-delà des pôles ? . 59
Nous avons le droit de savoir
Des énigmes résolues
La graine et le jardinier
Trois hommes noirs
Des petits hommes bruns qui parlent
Une inquiétude galactique ?
Un plan de sauvetage de l'humanité
Comme des enfants chapardeurs
En ballon dirigeable
Dans l'ouverture polaire
Le message des Atlantes
IX. L'Agharta, le Monde souterrain
Une énigme troublante
Un secret bien gardé
Contre les retombées radio-actives
Le peuple souterrain
L'Agharta, ou la quête d'un monde caché
Après le déluge
Un chœur d'Atlantes
Cette Porte conduit à l'Agharta
X. Conclusion
XI. Les soucoupes volantes dans le passé
XII. Les soucoupes volantes : propulsion et relativité
Les thèses développées dans cet ouvrage s'appuient sur
des découvertes scientifiques, des faits connus, et des
références à des écrits anciens.
De nombreuses personnalités croient à l'existence des
soucoupes volantes et autres phénomènes étranges,
existence que les hommes de science ne veulent pas, ou
n'osent pas admettre. Peu de gens aux U.S.A. osent dire la
vérité, et rien que la vérité, sur un certain nombre de
sujets cruciaux (même s'ils connaissent cette vérité).
Cela est particulièrement vrai des scientifiques « bien
pensants « et des hommes puissants. Sinon,
qu'arriverait-il ? Les gouvernements s'écroulerait
l'argent perdrait son pouvoir de séduction et de
corruption. Il y aurait un chaos terrible, et les
individus haut placés seraient ruinés socialement et
économiquement.
Dans cette civilisation où règnent la fraude et la
supercherie, la vérité est une qualité si rare qu'elle
n'est jamais acceptée librement. Elle doit combattre pour
s'imposer. Il n'y a aucune école qui enseigne cette
vérité.
Nous n'assumons pas la responsabilité des opinions émises
par l'auteur. Nous n'avons aucune autorité pour le faire.
Nous pensons seulement que de tels livres doivent être
présentés au public, qui les accepte ou les rejette. C'est
une question de convictions personnelles. De toute
manière, le but est atteint si une falole lumière jaillit
dans les ténèbres et si les esprits endormis se réveillent
Ceux qui ont envie de lire, de s'instruire, de réfléchir
sur quelque problème que ce soit, peuvent le faire : il
existe des milliers d'ouvrages mille fois plus
enrichissants que les publications à scandales vendues
dans les kiosques.
En novembre 1957, un physicien et philosophe célèbre dans
le monde entier mourait dans une prison fédérale des
États-Unis. Il avait été emprisonné pour avoir refusé de
s'incliner devant une ordonnance illégale qui visait à
stopper ses recherches et à voler ses découvertes. Cet
homme était Wilhelm Reich. Sa mort était l'aboutissement
de plus de dix ans de harcèlement et de persécutions
fomentées par des conspirateurs occultes qui avaient
trouvé habile d'utiliser les cours fédérales pour frustrer
l'humanité de découvertes importantes en physique,
médecine et sociologie.
L'invention de Reich était un "accumulateur d'énergie
d'orgone". Invention saluée par Théodore P. Wolfe comme
"la plus grande découverte de l'histoire de la Médecine".
Le FDA gomma littéralement les rapports d'un grand nombre
de physiciens réputés qui émanaient du monde entier,
rapports qui venaient corroborer les découvertes de
Wilhelm Reich. Ces travaux étaient si révolutionnaires
qu'ils menaçaient sérieusement les intérêts commerciaux
d'un certain nombre de sociétés, à commencer par
l'industrie pharmaceutique. Il fallait donc tuer dans
l'œuf la merveilleuse découverte de Wilhelm Reich. On s'y
employa activement.
Donc, je n'ai pas l'intention d'engager le moindre débat
concernant ce livre, ou son auteur. Que vous acceptiez ou
rejetiez le contenu de ce livre, cela ne regarde que vous.
Par contre, si sa lecture éveille en vous un accord
sensible, sachez qu'il existe d'autres œuvres susceptibles
de vous apporter de nouvelles connaissances de celles
qu'on n'apprend pas à l'école.
ROBERT FIELDCREST
Frank Edwards, qui fut un courageux commentateur de radio
et de télévision, déclara un jour : « Les ordres de
discrétion concernant les UFOs (1) viennent du sommet.
L'Armée de l'Air n'y est pour rien, elle ne fait qu'obéir.
« Edwards entreprit une vigoureuse croisade pour démasquer
la censure officielle. Il s'efforça de mettre en évidence
qu'on cachait quelque chose au public. J'ai été l'ami
d'Edwards pendant des années, je crois pouvoir dire qu'il
savait de quoi il parlait. C'est pourquoi je partage
totalement l'opinion qu'il a exprimée ci-dessus.
Des révélations récentes,provenant de sources diverses,
n'ont fait que confirmer cette opinion. Voici les faits.
Le lecteur a le droit d'être informé.
Durant des années, beaucoup de chercheurs qui
s'intéressaient aux UFOs ont senti que l'Armée de l'Air
était en possession de faits relatifs à ces mystérieux
engins. Mais les responsables ne voulaient pas les livrer
au public pour des raisons connues d'eux-mêmes. Divers
articles parurent dans la presse à ce sujet. En voici
quelques-uns parmi les plus significatifs.
En 1958, Bulldey Griffin, du Standard-rime de New Bedford,
Massachusetts, écrivit une excellente série. L'un de ses
papiers s'intitulait : "La censure du Pentagone sur les
UFOs est une réalité."
Dans cet article, la question posée était celle-ci: de
quel droit une organisation militaire monopolise-t-elle le
contrôle sur tout ce qui concerne les UFOs et
interdit-elle de ce fait au public d'en savoir plus ?
L'Armée de l'Air a sa propre réponse. L'ordonnance 200-2
débute ainsi : « Toute investigation et toute analyse
relatives aux UFOs relèvent de la seule responsabilité de
l'Air Force, qui a le devoir de défendre les États-Unis. «
Plus loin (toujours dans cette ordonnance 200-2), les UFOs
sont mentionnés comme "une menace possible pour la
sécurité des U.S.A.".
Mais pourquoi ce silence persistant? Aucune réponse
définitive n'a été donnée à cette question essentielle. La
CIA, d'une manière mal définie, et le FBI, dans des cas
individuels, se sont intéressés à l'affaire. Mais ni l'un
ni l'autre n'ont la réputation d'être très loquaces! Le
Conseil national de sécurité ne l'est pas plus.
Les membres de la sous-commission permanente du Sénat
chargée des enquêtes ont fait une étude sur la question,
puis ont décidé de ne pas enquêter (!) et de ne tenir
aucune audience, privée ou publique. Une victoire pour
l'Armée de l'Air. (UFO : Unidentified flying objects
(objets volants non identifiés). (NA.T.)
Vers la fin de 1958, une série d'articles de John Lester
parut dans le Newark Star Ledger. Cette série fit
sensation. Le major Donald E. Keyhoe, président de la
Commission nationale d'investigations des phénomènes
aériens, déclara :
"Les révélations de ce journal confirment publiquement ce qui était connu de notre commission, à savoir que des observateurs, nombreux et hautement qualifiés, sont persuadés de l'existence des soucoupes volantes et de leur contrôle par une force intelligente."
Conclusion: les dossiers de l'Air Force sur les soucoupes volantes sont conservés sous clé... pour leur plus grande sécurité !
Plusieurs années après la publication de son livre, Stringfieldlwéla que le Mr. A. D. auquel il avait fait allusion n'était autre que Allen Dulles, ex-directeur du CIA. Cela illustre bien le sérieux intérêt que porte le CIA au problème des UFOs.
II fut un temps où, avec beaucoup d'autres, je croyais que c'était l'Air Force qui faisait le black-out dans ce domaine. Ce n'est plus ma conviction. Une des raisons qui m'ont fait changer d'avis trouve sa source dans un entretien que j'eus avec Wilbert B. Smith environ deux ans avant sa mort. Au cours de cette conversation, je demandais à Mr. Smith si c'était l'Armée de l'Air, ou un autre ministère, qui gardait secrètes les informations UFO. Mr. Smith me répondit que ce n'était pas l'Armée de l'Air, mais « un petit groupe haut placé au gouvernement )}. Comme je lui demandais des précisions, Mr Smith refusa d'identifier ce groupe et changea très vite de conversation.
La publication du livre « Le Gouvernement invisible «, en mai 1964, fournit enfin une clé apparente à ce mystère. Il était dit dans ce livre que le Groupe spécial avait été créé du temps d'Eisenhower sous le chiffre secret 54/12. Il était connu dans le petit cercle d'intimes de l'Administration d'Eisenhower sous ce nom : « groupe 54/12 «... Pendant une période de dix ans il a été le centre caché et puissant du Gouvernement invisible... Et il a fonctionné.
dans un climat de mystère tel qu'on n'en avait jamais
connu de pareil dans aucune autre branche du gouvernement
étatsunien ... Les hommes de la CIA ont généralement le
Groupe spécial à l'esprit quand ils insistent sur le fait
que leurs services n'ont jamais fuit de politique, mais
ont seulement obéi à des ordres venus de plus haut.
Dans son numéro du 22 juin 1964, Newsweek publia une critique du livre Le Gouvernement invisible et déclara « Une des révélations les plus importantes de cet ouvrage est l'existence du Groupe spécial 54/12, classé jusqu'à présent comme un auxiliaire du Conseil national de sécurité, et spécialement chargé par le président de régler certaines opérations délicates. À proprement parler, on ne peut imaginer de personnalités plus importantes que celles qui composent ce Groupe. «
Le Groupe 54/12 était-il le même que celui auquel Wilbert Smith faisait allusion? Au regard des faits précédents, j'ai tout lieu de le croire. Et si cette hypothèse est exacte, elle peut expliquer les échecs qu'ont rencontrés toutes les tentatives faites pour obtenir la vérité concernant les UFOs.
On peut seulement espérer que le public fera finalement
valoir son droit inaliénable de connaître la vérité, et
que ses efforts ne seront pas déjoués par un quelconque «
Groupe spécial « évoluant dans les hautes sphères de
d'Administration.
RéférencesLe Gouvernement invisible, par David WISE et Thomas B. Ross (Rondom House).
Qui gouverne l'Amérique? par John McCoNAuGHY (Longmans, Green & Co).
Le Rideau de fer sur l'Amérique, par John BEATY (Wilkinson Pub. Co.)
Liberté ou Secret, par James R. WIGGINS (Oxford University Press).
Le Droit de savoir, par Kent COOPER (Farrar, Strauss & Cudahy).
« Managed News «, par Hanson W. BALDWIN (Atantic Magazine, avril 1964).« New Management in Washington «, par Ben H. BAGDIKIAN (Satwday Evening Post, 4 février 1963).
. « CIA - Le combat pour le pouvoir secret «, par Stewart ALSOP (Satwday Evening Post, 8 mars 1963).
Points marquants de l' Histoire de la découverte de l'amiral Byrd
DÉCEMBRE 1929 : «La découverte mémorable du 12 décembre d'une terre jusque-là inconnue au-delà du pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science révise la conception qu'elle s'était faite du profil sud de la terre. «
Dumbrova, explorateur russe. FÉVRIER 1947 : « J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle (Nord). Cette terre qui est le centre du Grand Inconnu.»
Vice-amiral Richard E. Byrd, avant son vol de 2 700 kilomètres au-delà du pôle Nord. NOVEMBRE 1955 : « C'est la plus importante expédition de l'histoire du monde. « .
Vice amiral Richard E. Byrd, avant son départ pour explorer la terre au-delà du pôle Sud. JANVIER 1956 : « Le 13 janvier, des membres de l'expédition des États-Unis ont accompli un vol de 4 300 kilomètres à partir de la base de McMurdo Sound, située à 640 kilomètres à l'ouest du pôle Sud, et [ont] pénétré dans une terre sur une distance de 3700 kilomètres au-delà du pôle. «
Message radio en provenance de l'expédition antarctique de Byrd, confirmé par la presse étatsunienne du 5 février 1956.
MARS 1956 : « La présente expédition a ouvert un nouveau et vaste territoire. «
Vice-amiral Byrd, le 13 mars 1956, à son retour du pôle Sud.
... « ce continent enchanté dans le ciel, terre de l'éternel mystère! «
Vice-amiral Byrd, avant sa mort. (Note de l'auteur:
Byrd, de façon énigmatique, se réfère ici au territoire
inconnu qu'il avait découvert au-delà des pôles. Il
existe, en effet, un phénomène polaire bien connu,
phénomène optique suivant lequel les surfaces terrestres
se reflètent dans le ciel. La terre inconnue de Byrd se
réfléchissait de la même façon et apparaissait ainsi comme
« un continent enchanté dans le ciel».)
1. Que la Terre est creuse et n'est pas une sphère solide comme on le suppose communément, et que cette partie intérieure communique avec la surface par deux ouvertures polaires.
2. Que les observations et découvertes du contre-amiral Richard E. Byrd, de la Marine des États-Unis, le premier à s'engager dans ces ouvertures polaires, - ce qu'il fit sur une distance totale de 6400 kilomètres dans l'Arctique et l'Antarctique, - confirment la justesse de notre théorie révolutionnaire sur la structure de la Terre, et rejoignent certaines déclarations d'autres explorateurs polaires.
3. Que, suivant notre théorie d'une Terre plutôt concave que convexe à ses deux extrémités, le pôle Nord et le pôle Sud n'ont jamais été atteints pour la bonne raison qu'ils n'existent pas.
4. Que l'exploration du nouveau monde inconnu qui se trouve à l'intérieur de la Terre est beaucoup plus importante que la conquête du Cosmos. Les expéditions aériennes de l'amiral Byrd montrent comment une telle exploration pourrait être menée à bien.
5. Que la nation qui atteindra la première le Nouveau Monde situé à l'intérieur de la Terre deviendra la plus puissante du monde.
6. Que, étant donné le climat chaud dont jouit ce Nouveau Monde, il n'y a aucune raison pour qu'il n'abrite pas une vie végétale, animale et humaine. Et que s'il en est ainsi, il est très possible que les mystérieuses soucoupes volantes émanent d'une civilisation avancée, située à l'intérieur de la Terre.
7. Que, dans l'éventualité d'une guerre nucléaire,
l'espèce humaine pourrait survivre en cherchant refuge
dans les profondeurs cachées de notre globe.
On suppose généralement que la Terre est une sphère solide avec un noyau brûlant de métal en fusion. Nous allons apporter la preuve scientifique que la Terre, en réalité, est creuse et ouverte aux deux pôles, et qu'il existe à l'intérieur une civilisation avancée, créatrice de ces soucoupes volantes qui viennent observer (ou espionner) à intervalles réguliers la surface de notre globe.
La théorie de la Terre creuse a été émise pour la première fois en 1906 par un écrivain étatsunien , William Reed, et reprise plus tard par un autre étatsunien , Marshall B. Gardner, en 1920. En 1959, F. Amadeo Giannini écrivit le premier ouvrage sur le sujet depuis les travaux de Gardner. La même année, Ray Palmer, rédacteur en chef du magazine Soucoupes volantes, se servit de cette théorie pour offrir à ses lecteurs une explication logique de l'origine des soucoupes.
Les thèses de Reed et de Gardner trouvèrent une confirmation dans les expéditions polaires de Byrd: l'Arctique, en 1947, l'Antarctique, en 1956. L'explorateur étatsunien s'aventura sur une distance de 2700 kilomètres au-delà du pôle Nord et de 2700 kilomètres au-delà du pôle Sud, pénétrant dans un territoire inconnu, libre de glace, qui s'étendait à l'intérieur des dépressions polaires. Ce territoire n'est mentionné sur aucune carte. La véritable signification des découvertes de l'amiral Byrd fut étouffée dans l'œuf. On ne lui donna pas l'attention qu'elle méritait, jusqu'au moment où Giannini et Palmer s'emparèrent de l'affaire. Nous expliquerons plus loin pourquoi cette information n'atteignit pas le public. Une information qui pourtant concerne une des plus grandes découvertes géographiques de toute l'histoire, plus grande peut-être que la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb, car si ce dernier découvrit un nouveau continent, Byrd, lui, découvrit un Nouveau Monde d'une superficie égale, ou peut-être même supérieure à celle de nos cinq continents réunis.
La découverte de Byrd est frappée aujourd'hui d'un top secret international. Après le message radio qu'il envoya de son avion, et un bref communiqué de presse, toute nouvelle importante sur le sujet fut soigneusement supprimée par les agences gouvernementales. Il y avait une raison importante à cela.
L'explorateur ne passa pas au-dessus du pôle Nord pour continuer ensuite son vol de 2700 kilomètres vers le sud. Sinon, il aurait rencontré un territoire pris dans les glaces. Au contraire, la terre qu'il survolait n'avait ni glace ni neige, elle était dotée d'un climat chaud, et on pouvait apercevoir des forêts, des montagnes, des lacs, une végétation verte, et même des traces de vie animale. Cette nouvelle terre INCONNUE survolée par l'amiral étatsunien pendant 2700 kilomètres n'est mentionnée sur aucune carte. Et pourtant elle existe, à l'intérieur de l'ouverture polaire.
Pourquoi alors les États-Unis n'envoyèrent-ils pas d'autres expéditions vers ce nouveau monde? Pourquoi une découverte de cette importance fut-elle complètement oubliée? Pourquoi cette apathie ?
L'explication est évidente. C'était l'intérêt du gouvernement étatsunien de se taire, de ne rien dévoiler au monde. 'D'autres pays, alléchés par des perspectives de conquêtes, pouvaient mettre sur pied des expéditions belliqueuses. L'Union soviétique, par exemple.
Cependant, maintenant que le secret a été dévoilé par Giannini, Palmer et d'autres, qu'il est arrivé à la connaissance du public, plus rien ne s'oppose à ce que le problème soit examiné avec toute l'attention qu'il mérite.
Il faut espérer qu'une expédition sérieuse sera
entreprise par un pays neutre et pacifiste, et qu'un
contact pourra être établi avec cette super-civilisation
qui s'est développée, Là-BAS, au-delà des pôles, et dont
les soucoupes volantes sont la preuve évidente de sa
supériorité dans le domaine scientifique. Peut-être
l'évolution et la sagesse de cette race nous
sauveront-elles de l'anéantissement? Peut-être alors une
future guerre nucléaire pourra-t-elle être évitée? Un
nouvel âge s'instaurera sur Terre, un âge de paix, et
toutes les armes nucléaires seront interdites par un
gouvernement mondial représentant tous les peuples de la
Terre.
Chapitre 1
(La plus grande découverte géographique de l'histoire humaine)
« Ce continent enchanté dans le ciel. terre de l'éternel Mystère! «
« J'aimerais voir cette terre au-delà du pôle, cette terre qui est le centre du Grand Inconnu. « Les deux citations ci-dessus ont été faites par le plus grand explorateur des temps modernes, le vice amiral Richard E. Byrd, de la Marine des États-Unis. Elles ne peuvent être comprises, et elles n'ont aucun sens, si on se réfère aux vieilles théories géographiques selon lesquelles la Terre est une sphère solide avec un noyau brûlant, dont les deux pôles sont des points fixes.
Si tel était le cas, et si l'amiral Byrd avait volé pendant 2700 et 3700 kilomètres respectivement au dessus des pôles Nord et Sud, en direction des terres glacées qui s'étendent de l'autre côté, et dont la géographie est très bien connue, il serait incompréhensible qu'il ait qualifié ce territoire de « Grand Inconnu «. Il n'aurait eu aucune raison non plus d'utiliser une expression comme « Terre de l'éternel Mystère «. Byrd n'était pas un poète, et ce qu'il décrivait était exactement ce qu'il observait de son avion. Au cours de ce vol Arctique de 2700 kilomètres au-delà (et non au-dessus) du pôle Nord, Byrd relata par radio qu'il voyait au dessous de lui non de la glace et de la neige, mais des paysages divers où apparaissaient des montagnes, des forêts, une végétation luxuriante, des lacs et des rivières. L'explorateur aperçut même dans les broussailles un étrange animal ressemblant à un mammouth. Il était entré, de toute évidence, dans une région plus chaude que celle qui s'étend du pôle à la Sibérie. Au-delà... et non au-dessus.
La seule manière d'interpréter convenablement les déclarations énigmatiques de Byrd est d'écarter la conception traditionnelle de la formation de la Terre, et d'en accueillir une nouvelle montrant que les extrémités arctique et antarctique ne sont pas convexes, mais concaves. Dès lors, on comprend mieux la signification de ce voyage extraordinaire au-delà des pôles. Byrd ne franchit pas les pôles, au sens ordinaire du terme, il ne passa pas au-dessus pour gagner l'autre côté, côté bien connu comme nous l'avons dit, mais il entra tout simplement dans les concavités polaires qui s'ouvrent sur l'intérieur creux de la Terre, là où règne un climat tropical et où se développe une vie végétale, animale et humaine. C'est cela le « Grand Inconnu» dont parle Byrd, non cette étendue de neige et de glace située de l'autre côté du pôle Nord et qui s'étend jusqu'aux pointes extrêmes de la Sibérie. .
La géographie de l'Antarctique est connue, et pourtant..
Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre.
Voici comment Palmer explique son point de vue
Cette terre, centre du mystère.
Voici ce qu'écrit encore Ray Palmer sur la question
« Non, l'amiral Byrd a bien volé au-delà du pôle. « Au-delà?
On n'a jamais survolé le pôle.
Une technique de vol pour entrer dans la dépression polaire,
Se référant à l'ouvrage de Giannini, Palmer commente
Une série d'articles de Giannini.
à la porte du Royaume intérieur de la Terre.
L'oasis représentait grossièrement un carré. Au-delà, c'était une étendue sans fin de neige éternelle et de glace. Deux des côtés de l'oasis se dressaient à près de trente mètres de hauteur et étaient constitués de grands murs de glace. Les deux autres côtés étaient moins abrupts.
La présence d'une telle oasis en plein Antarctique semblerait indiquer dans cet endroit précis des conditions de températures plus clémentes. Tel qu'il en existerait si l'oasis se trouvait justement dans la dépression polaire sud ! On peut difficilement expliquer autrement les choses. Dire que cela résulte d'une activité volcanique souterraine n'est pas une réponse satisfaisante. Ce territoire sans glace représente une surface d'environ 600 kilomètres carrés, étendue trop importante pour être affectée par une source de chaleur volcanique. Les courants de vent chaud en provenance de l'intérieur de la Terre sont une meilleure explication.
Ainsi, Byrd dans l'Arctique et Bunger dans l'Antarctique ont découvert à peu près à la même époque des régions bénéficiant d'une température presque chaude. Mais ils n'ont pas été les seuls.
Il y a quelque temps, un journal de Toronto, le Globe and Mail, publiait une photo d'une vallée verdoyante, prise par un aviateur dans la région arctique. évidemment, l'aviateur avait pris le cliché en vol et n'avait pas cherché à atterrir. C'était une belle vallée avec des collines vertes, appartenant certainement à ce même territoire que Byrd avait visité au-delà du pôle. Cette photo fut publiée en 1960.
Récit d'un voyage à l'intérieur de la Terre.
Chapitre II
Avant que Christophe Colomb ne découvrit l'Amérique, la croyance dans l'existence d'un Nouveau Monde aurait été Considérée comme le rêve d'un fou.
Il en est de même aujourd'hui quand on évoque un autre Nouveau Monde, le Monde souterrain, situé dans l'intérieur creux de la Terre. Ce monde est aussi étranger à la présente humanité que l'était le continent étatsunien aux Européens avant sa découverte par Christophe Colomb. Et pourtant il n'y a aucune raison pour qu'il ne soit pas, lui aussi, découvert un jour.
Il résume ainsi sommairement sa théorie révolutionnaire
Croquis montrant que la Terre est une sphère creuse avec
des ouvertures polaires et un soleil central. Les lettres
indiquent les étapes successives d'un voyage imaginaire à
l'intérieur de la planète. Au point marqué « D s c'est la
première vision de la couronne du soleil central. Au point
« E >, on peut voir le soleil central complètement. (
Un voyage d l'intérieur de la Terre par, Gardner.)
La Terre tourne sur son axe dans un mouvement gyroscopique
qui ressemble à celui d'une toupie. Le pôle gyroscopique
externe peut être identifié au cercle magnétique dont nous
venons de parler. Au-delà de ce cercle, la Terre s'aplatit
et descend graduellement en pente douce vers l'intérieur.
Le vrai pôle est au centre exact du cercle, en plein
milieu de l'ouverture polaire.
Une découverte russe au pôle Nord.
« Voici ce que disent les Russes :
Au centre de la croûte terrestre.
Le long voyage du pôle magnétique.
à l'appui de cette thèse, Ray Palmer relève les faits suivants.
Le pôle magnétique peut donc être n'importe quel point de ce cercle. Ray Palmer écrit à ce sujet :
Palmer commente ainsi la déclaration russe :
Voici ce que disent encore les Russes, cités par Pa1mer :
Sur la paroi interne de la croûte terrestre.
Un autre auteur, la même conception.
« Une fois atteint ce 82e degré de latitude, pourquoi l'aiguille de la boussole s'affole-t-elle?
« Et d'où vient ce pollen qui colore parfois la neige en rouge, en jaune, ou en bleu?
On pensait autrefois que c'était un point virtuel situé dans l'archipel arctique. De récentes découvertes ont montré qu'il s'étendait à travers le Bassin polaire jusqu'à la presqu'île de Taimyr en Sibérie. Les lignes représentent les méridiens magnétiques. (La dernière conception du pôle Nord magnétique: basée sur les recherches russes.)
III. L' œuvre de William Reed : « Fantôme
des pôles «
L'ŒUVRE DE WILLIAM REED: FANTÖMES DES PÔLES
En 1906 parut le premier ouvrage qui, preuves scientifiques à l'appui, réfutait les conceptions communément admises sur la structure de la Terre. Ce n'était plus une sphère solide, mais une planète creuse avec des ouvertures aux pôles. Si ce livre avait été une pure création sortie droit de l’imagination de l'auteur, on aurait pu le considérer comme une œuvre de science-fiction, et rien de plus. Mais ce n'était pas le cas. William Reed appuyait sa démonstration sur les rapports des explorateurs arctiques, et on aurait dû le prendre plus au sérieux.
Les pôles n'avaient jamais été découverts, parce qu'ils n'avaient jamais existé. à la place, il y avait d'immenses trous, et par ces trous on descendait à l'intérieur de la Terre. Voilà la bombe que faisait exploser Reed dans son ouvrage insolite.
Quatorze ans plus tard, Marshall B. Gardner, apparemment sans avoir eu connaissance de l'œuvre de son prédécesseur, reprenait cette théorie en y ajoutant un soleil central. Ce soleil, plus petit cependant que le nôtre, brillait à l'intérieur de la Terre, la réchauffait, donnait une explication des températures élevées que l'on trouve dans les hautes latitudes polaires.
Pour expliquer ces températures, Reed croyait quant à lui, à l'existence de volcans en activité à l'intérieur des ouvertures polaires.
« Je livre la clé de certains mystères. «
« 1. Pourquoi la Terre est-elle aplatie aux pôles? Réponse: comme la Terre est creuse, elle ne peut pas être ronde. L'ouverture vers l'intérieur est prise sur sa rondeur, et cela proportionnellement à la grandeur de cette ouverture.« 2. Pourquoi le Soleil ne Se montre-t-il pas durant une très longue période en hiver, près des prétendus pôles? Parce que, en hiver, le Soleil frappe obliquement la Terre au niveau des pôles. Quand on franchit les bords de l'ouverture polaire, on s'enfonce graduellement dans le creux intérieur de la Terre, de sorte que les rayons solaires sont partiellement coupés et qu'ils ne réapparaissent que lorsque le Soleil frappe directement cette partie de la Terre, c'est-à-dire quand il brille juste an dessus de l'ouverture. Cela explique pourquoi les nuits sont si longues dans l'extrême Nord.
« 3. De nombreuses chutes de météorites ont été observées dans la région des pôles. Pourquoi? Si la Terre est une sphère solide, personne ne peut répondre à cette question. Si elle est creuse, la réponse est facile. C'est un volcan en éruption à l'intérieur du globe qui projette des fragments de roche dans l'air. De la même façon, on rencontre constamment de grandes quantités de poussière dans l'océan Arctique. D'où provient cette poussière? Des éruptions volcaniques. Une analyse a montré qu'elle était constituée de charbon et de fer.
« 4. Qu'est-ce qui produit l'aurore boréale? C'est la réflexion d'un feu à l'intérieur de la Terre.
« 5. Où se forment les icebergs ? Et comment ? Réponse: à l'intérieur de la Terre, où il fait chaud, les fleuves coulent vers la surface à travers l'ouverture polaire. Quand ils débouchent à l'extérieur, dans le cercle arctique, où la température est très basse, ils gèlent et se transforment en icebergs. Cela dure des mois. Et puis la chaleur de l'été, ajoutée à la chaleur de l'intérieur de la Terre, démantèle ces icebergs que l'Océan emporte. (Le fait que les icebergs soient formés d'eau douce, et non d'eau salée, prouve cette théorie.)
« 6. Qu'est-ce qui produit les raz de marée dans l'Arctique? Réponse : ce sont les icebergs quand ils se détachent et plongent dans l'Océan. Il n'y a guère d'autre explication valable.
« 7. Qu'est-ce qui produit la neige colorée dans la région arctique? Il y a deux causes. La neige rouge, verte ou jaune provient d'une matière végétale qui imprègne l'air avec une telle densité que lorsqu'elle tombe avec la neige, elle la colore. On suppose que cette matière végétale est du pollen. Cela implique qu'il y ait des plantes et des végétaux quelque part,et en grande quantité. Comme on n'a jamais vu de champs de fleurs en plein océan glacial, il faut en déduire qu'ils se trouvent ailleurs... à l'intérieur de la Terre. La neige noire, souvent remarquée, est causée par une poussière faite de carbone et de fer qui provient logiquement d'un volcan en éruption. Comme il n'y a aucun volcan en éruption dans le coin, je veux dire à la surface, alors il doit se trouver ailleurs... à l'intérieur de la Terre !
« 8. Pourquoi la glace est-elle pleine de fragments de roche, de gravier et de sable? Réponse : ils proviennent, eux aussi, d'un volcan en activité situé près de l'endroit où se forment les icebergs.
« La théorie de la Terre creuse donne toujours une solution satisfaisante à chacun des problèmes qui se posent dans les régions polaires. Grâce à elle, le mystère s'éclaircit, le surnaturel cède la place au naturel, comme cela se produit chaque fois qu'on cherche à comprendre. «
Développant sa théorie qui lui est chère, William Reed revient sur tous les problèmes posés et s'efforce de leur apporter des solutions satisfaisantes.
L' ABSENCE DU
SOLEIL PENDANT LES LONGS HIVERS ARCTIQUES
LE FONCTIONNEMENT ANORMAL DE LA BOUSSOLE DANS L'EXTRÊME NORD
Sur le franchissement de cette limite, William Reed écrit :
DES ROCHES DANS LES
ICEBERGS, DE LA NEIGE COLORÉE,
DU POLLEN ET DE LA POUSSIÈRE DANS
L'EXTRÊME NORD
William Reed écrit à ce sujet :
QU'EST-CE QUI PRODUIT LA NEIGE COLORÉE DANS L'ARCTIQUE ?
Mais alors, où se trouve cette végétation luxuriante ?
Chapitre IV
IV. L'œuvre de Marshall B. Gardner :
Voyage à l'intérieur de la Terre,
ou
les pôles ont-ils vraiment été découverts ?
Marsball B. Gardner, après vingt années de recherches et de réflexions, publia son fameux livre Voyage à l'intérieur de la Terre, en 1920. Il ne semblait pas avoir eu connaissance de l'ouvrage de William Reed. De sorte que les deux hommes développèrent leurs thèses indépendamment l'un de l'autre.
La grande contribution de Gardner réside dans sa théorie du soleil central. Ce soleil est la cause de la température plus élevée qu'on trouve dans l'ouverture polaire. C’est lui aussi qui produit l'aurore boréale. Reed, qui n'avait pas « vu « cet astre brillant, attribuait ses effets à des volcans en activité. Un soleil central, source de chaleur et de lumière, rend possibles la vie végétale et animale à l'intérieur de notre globe, et aussi la vie humaine. Reed croyait à cette vie, bien sûr, mais il avait du mal à l'expliquer, compte tenu de sa théorie qui excluait le soleil.
Dans son livre, Gardner fait appel aussi à des données astronomiques pour prouver que non seulement la Terre, mais aussi toutes les planètes du système solaire, sont creuses à l'intérieur avec des soleils centraux, et qu'elles ont été formées à partir d'une nébuleuse tourbillonnante. C'est toujours le même processus. à l'origine, on a une masse en fusion qui tourne sur elle-même. La force centrifuge projette les substances les plus lourdes à la périphérie. Ainsi se constitue à la surface extérieure de chaque planète une croûte solide, tandis qu'une partie du feu initial subsiste dans le creux intérieur pour former le soleil central. Des ouvertures se créent aux extrémités polaires, dues à ce même mouvement de rotation et de déplacement dans l'espace.
L'EXPLORATION ARCTIQUE: UNE PREUVE
Un soleil central en suspension.
Parlant de Nansen, Ottmar Kaub écrit :
À L'APPUI DE LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE UNE PREUVE ASTRONOMIQUE
Un même processus: toutes les planètes sont creuses.
Explication des phénomènes lumineux.
Lowell a essayé d'expliquer ces lumières par la réflexion des rayons du Soleil sur la glace polaire.
Un astronome anglais, W. E. Denning, écrivit en 1886 dans la revue scientifique Nature :
Commentant cette déclaration de Proctor, Gardner écrit :
A-T-IL VRAIMENT ÉTÉ DÉCOUVERT? De retour de l'Arctique en septembre 1909, le Dr Frederick A. Cook annonçait qu'il avait atteint le pôle Nord le 21 avril 1908. Sa déclaration fut suivie quelques jours plus tard d'une autre déclaration, faite cette fois par le vice-amiral Robert E. Peary qui prétendait, lui aussi, avoir atteint le pôle à la date du 6 avril 1909 . Les deux hommes s'accusèrent mutuellement de mensonge, chacun proclamant bien haut que c'était lui qui avait découvert le pôle Nord, et non l'autre.
C'est la raison pour laquelle un enquêteur a conclu :
Ils étaient beaucoup plus au sud qu'on ne croyaient. Si on tient compte du comportement irrégulier de la boussole dans le cercle arctique, si d'autre part on se rappelle que le Soleil était très bas à l'horizon lorsque les deux explorateurs firent leur mesure, si enfin on veut bien réfléchir qu'il est très facile de se perdre dans ces régions par les difficultés mêmes qu'on éprouve à mesurer précisément sa position, pour toutes ces raisons il est probable que ni Cook ni Peary n'ont vraiment découvert le pôle, même s'ils ont cru sincèrement le contraire. Cela est confirmé par le fait que tous les explorateurs arctiques qui se sont aventurés très loin dans l'extrême Nord ont trouvé là des températures clémentes et une mer libre. Or Cooket Peary déclarent qu'ils ont toujours voyagé sur de la glace ferme. Ce qui indiquerait qu'ils étaient beaucoup plus au sud qu'ils ne le pensaient.
à ce sujet, Marshall B. Gardner écrit :
Chapitre VI
William F. Warren, dans son livre intitulé: Le
Paradis retrouvé, ou le berceau de la race humaine,
développe une thèse passionnante. La race humaine aurait
pris naissance sur un continent tropical situé dans
l'Arctique, la fameuse Hyperborée des anciens Grecs. Une
terre éblouissante de soleil dont les habitants étaient
des dieux qui vivaient des milliers d'années sans jamais
vieillir.
Les anciens écrits de la Chine, de l’Égypte, de l'Inde, et
aussi les légendes des Esquimaux, parlent d'une grande
ouverture dans le nord et d'une race vivant sous la croûte
terrestre dont les ancêtres étaient originaires de cette
terre paradisiaque.
(à ce propos, est-ce que le Père Noël ne pourrait pas représenter le souvenir déformé d'un bienfaiteur de l'humanité qui vint sur la Terre à travers l'ouverture polaire - peut-être à bord d'une soucoupe volante, symbolisée par un traîneau aérien traîné par des rennes ?)
Un royaume radieux au-delà du septentrion.
À propos de l'origine des Esquimaux, Gardner écrit
Voici ce que dit d'ailleurs Nansen, et cela vient confirmer l'opinion de Gardner :
« J'ai déjà souligné que le nom nordique" Skraeling " pour Esquimau doit avoir été employé à l'origine pour désigner des fées ou des créatures mythiques. Cela laisserait supposer que lorsque les Islandais rencontrèrent pour la première fois des Esquimaux dans le Groenland, ils les considérèrent comme des êtres surnaturels et les appelèrent des " trolls ". Cette idée a persisté plus ou moins jusqu'à nos jours. «habitaient Thulé, terre ultime d'au-delà du nord. Cette croyance en un royaume radieux situé très loin dans le nord, habité par un peuple étrange, était très répandue. Saint Augustin en parla, et plus tard Isidore, et à leur suite toute l'Europe médiévale eut connaissance de ces « Pygmées « qui vivaient fabuleusement aux frontières ultimes du monde connu. Ils viennent de l'intérieur de la Terre.
Nansen poursuit en nous racontant que ces Skraelings, ou Esquimaux, lorsqu'ils étaient mentionnés dans des ouvrages latins, étaient désignés sous le vocable de « Pygmaei « (Pygmées), définis comme des « êtres sous-développés, de très petite taille, et d'un aspect surnaturel «. Au Moyen âge, on pensait qu'ils
Concernant justement ce problème de la religion, voici ce qu'écrit le Dr Senn :
« à quelques nuances près, nous avons là une description parfaite du territoire qui s'étend à l'intérieur de la Terre. Le stade préliminaire du purgatoire est comme le souvenir d'une vérité perdue, mais transmise par la tradition. Souvenir des difficultés qu'eurent à supporter ceux qui franchirent la barrière de glace qui sépare l'extrême région polaire du royaume enchanté qui s'étend au-delà.
« Il est intéressant aussi de noter que lorsque les
Esquimaux virent les efforts que faisait Peary pour
s'avancer toujours plus loin dans le Nord, ils pensèrent
immédiatement que c'était pour entrer en communication
avec d'autres tribus.
« Bref, devant une telle masse de preuves convergentes, il est difficile de ne pas conclure que l'Esquimau est le type même, peut-être mélangé actuellement, mais sans doute proche de l'être humain qui a habité - et qui habite encore très probablement - le Monde intérieur. Aucune autre explication valable ne peut être fournie de son origine. Les légendes ne font que le confirmer. Ces légendes qui évoquent toujours le même pays, un pays qui ressemble étrangement à celui que nous essayons de décrire dans ce livre, et qui s'ouvrira, plus tôt que ne le pensent les sceptiques, à ceux qui le chercheront avec les moyens appropriés. «
Gardner termine en faisant remarquer que les Mongols
qui, par beaucoup de côtés, ressemblent aux Esquimaux,
pourraient, comme eux, venir de l'intérieur de la Terre.
Chapitre VII
Elles viennent de l'intérieur de la Terre !
La théorie de la Terre creuse présentée dans ce livre offre l'explication la plus raisonnable, comme la plus rationnelle, de l'origine des soucoupes volantes. Elle est plus logique encore, à notre sens, que la croyance dans une source interplanétaire.
Pour cette raison, des experts parmi les plus avisés en matière d'UFOs, tels que Ray Palmer et Gray Barker, ont admis cette conception d'une origine souterraine.
L'idée que les soucoupes volantes venaient de l'intérieur de la Terre, et non d'autres planètes, est née au Brésil. Elle a été reprise un peu plus tard par un certain nombre de chercheurs étatsuniens qui voyaient s'ouvrir devant eux un nouveau champ d'investigations.
Dans son ouvrage, Huguenin explique :
[ Ouverture du Pôle => Environ 756 Km/2 = 378
km ! Rayon Terre = 6378 km ]
[ Et 111 km par degré X 3,4 degrés manquant = 378
km manquant ]
« L'hypothèse d'une origine extra-terrestre des soucoupes ne paraît pas acceptable. Une autre hypothèse qui en ferait des appareils militaires essayés par me quelconque nation existante ne semble pas plus vraisemblable pour les raisons suivantes :
« 1. Si les États-Unis et la Russie possédaient ce genre d'engin, ils ne résisteraient pas au désir de l'annoncer, car cela serait une arme psychologique de première importance qui leur permettrait de prendre l'avantage sur le terrain diplomatique.
« 2. D'autre part, ils ne continueraient pas à dépenser des sommes énormes à fabriquer des véhicules militaires ordinaires s'ils connaissaient le secret d'un appareil aussi fantastique. «
Une super-civilisation souterraine.
La disparition du colonel Fawcett.
Les descendants d'une race antédiluvienne.
Du char céleste à la soucoupe volante.
Mars, Vénus, ou un royaume inconnu au-delà des pôles ?
Dans le numéro de décembre 1959 de son magazine, il écrivait :
Nous avons le droit de savoir.
Des petits hommes bruns qui parlent.
Un plan de sauvetage de l'humanité.
Comme des enfants chapardeurs.
Si les deux Grands oubliaient un instant leur course
Chapitre VIII
VIII. Ce que pourrait être
une expédition
aérienne
dans l'ouverture polaire conduisant à l’intérieur de
la Terre
Marshall B. Gardner termine son livre en décrivant une expédition théorique qui s'approche de l'ouverture polaire, y pénètre, et atteint le paradis tropical caché dans l'intérieur creux de la Terre. L'intention de Gardner, dans ce dernier chapitre, était sans aucun doute d'inciter quelque gouvernement à entreprendre réellement une telle expédition. L'amiral Byrd fut le premier à tenter l'aventure en 1947. Mais il n'alla pas assez loin, et n'atteignit que la périphérie du Monde souterrain.
Le 15 septembre 1959, les Russes lancèrent un brise-glace à moteur atomique dans la région arctique. Le but : gagner le pôle Nord - du moins ce qu'on suppose être le pôle Nord - à travers les étendues glacées et les banquises. « Quel meilleur moyen de locomotion peut-on trouver pour s'avancer dans cette " terre inconnue " qui s'étend au-delà du pôle pendant des centaines et des centaines de kilomètres? « demande Ray Palmer, qui aoute :
« Nous avons là un bateau qui a un rayon d'action de 60 000 kilomètres. Il peut aller n'importe où sans risquer de tomber en panne par manque de combustible. C'est exactement le navire qu'il faut pour franchir cette barrière de glace qui a toujours été comme un " mur " entre notre univers et le monde inconnu.
« Une fois passé l'océan de glace, c'est la mer libre et chaude. Et là encore, le navire russe est parfaitement conçu pour pousser très loin son exploration, jusque sur les rives inconnues du Nouveau Monde. Encore faudrait-il que les Soviétiques y croient - et cela est une autre histoire. «
Le 13 janvier 1956, une expédition aérienne, commandée par l'amiral Byrd, a accompli un vol de 4300 kilomètres à partir de la base de McMurdo Sound, située à 600 kilomètres à l'ouest du pôle Sud, et pénétré sur une distance de 3700 kilomètres au-delà du pôle dans un territoire inconnu. C'était la première fois dans l'histoire que des êtres humains habitant la surface pénétraient aussi loin à l'intérieur de la Terre. Si l'amiral Byrd avait continué sur sa lancée, il aurait rencontré la super-civilisation qui existe là, et qui, depuis plusieurs milliers d'années, jouit d'une paix et d'un bonheur sans limites. établir un contact avec une race aussi évoluée serait évidemment pour notre monde un immense privilège. Mais, encore une fois, en sommes-nous dignes ?
Chapitre IX
Le mot» Agharta» est d'origine bouddhiste. Il désigne un vaste Empire souterrain dont l'existence est reconnue par tous les vrais bouddhistes.
Cet Empire a des millions d'habitants, de nombreuses villes. La capitale est Shamballah, où règne le Maître suprême de cet univers étrange. En Orient, on l'appelle le Roi du Monde, et on pense qu'il donne ses ordres au Dalaï Lama, son représentant terrestre. Les messages sont transmis par des tunnels secrets reliant le Monde souterrain au Tibet. Des tunnels semblables existent au Brésil. Le Brésil et le Tibet semblent être les deux parties du monde où les contacts avec l'Agharta peuvent s'établir le plus facilement.
Le célèbre philosophe et explorateur russe, Nicolas Roerich, qui a beaucoup voyagé dans l'Extrême Orient, a prétendu que Lhassa, la capitale du Tibet, était rattachée par un tunnel à Shamballah, la capitale de l'Agharta. L'entrée de ce tunnel était gardée par des lamas qui avaient ordre d'éloigner les étrangers et de ne rien dévoiler du grand secret. Certains pensent qu'un tunnel identique devait relier les chambres secrètes situées à la base de la Pyramide de Gizeh avec le Monde souterrain. C'est ainsi que les pharaons établissaient le contact avec les dieux et les surhommes vivant à l'intérieur de la Terre.
Les statues gigantesques des premiers rois et des premiers dieux d'égypte, comme celles du Bouddha disséminées dans tout l'Orient, représentent des êtres souterrains qui vinrent à la surface aider la race humaine.
Les traditions bouddhistes disent que l'Agharta est née il y a des milliers et des milliers d'années lorsqu'un saint homme, à la tête d'une tribu, s'enfonça dans les entrailles de la Terre et disparut à jamais. Noé l'Atlante et les super hommes de l'Agharta.
On peut dire que la civilisation de l'Agharta fait suite à la civilisation atlante, laquelle, ayant expérimenté à ses dépens que toute guerre est vaine et futile, se jura de vivre en paix à l'avenir.
Noé fut probablement un de ces Atlantes, rescapé du grand déluge. Avec un groupe de compagnons, il put s'échapper de l'Atlantide avant que celle-ci ne fut engloutie. On pense qu'il gagna le haut plateau du Brésil et s'y établit dans une ville souterraine - cela pour éviter les retombées radio-actives produites par la guerre nucléaire qui opposa l'Atlantide à une autre nation, et qui est sans doute la cause de l'anéantissement de ce continent devenu légendaire.
Les hommes de science du « monde d'en dessous « sont capables de manier des forces dont nous ne connaissons rien. Exemple: ces soucoupes volantes qui sont propulsées par une énergie nouvelle, inconnue, bien plus subtile que l'énergie atomique. Ossendowski dit que l'Agharta fourmille de villes reliées les unes aux autres par des tunnels à travers lesquels des véhicules ultra-rapides circulent à des vitesses fantastiques.
à diverses époques de l'histoire, les super hommes (ou dieux) de l'Agharta apparurent à la surface de la Terre pour enseigner la race humaine et la sauver de la guerre et de la destruction. Nous l'avons dit, la venue des soucoupes volantes après l'explosion de la première bombe atomique relève de la même démarche. Mais, cette fois, les dieux ne se sont pas déplacés eux-mêmes. Ils ont envoyé des émissaires.
Dans le « Ramayana «, Rama apparaît comme un être venu
du Monde souterrain de l'Agharta à bord d'un véhicule
aérien qui n'est autre qu'une soucoupe volante. La
tradition chinoise parle de maîtres divins arrivés, eux
aussi, sur de curieux chars ailés. La même chose pour
Manco Copac, le fondateur de la dynastie Inca.
Un des plus grands maîtres issus du royaume d'Agharta a été Quetzalcoatl, le prophète des Mayas et des Aztèques. Qu'il fût pour eux un étranger appartenant à une race différente (atlante), cela ne fait aucun doute. Il était blond, alors que les Indiens sont bruns. Il était grand, alors qu'ils sont petits. Il portait une barbe, alors qu'ils sont imberbes. Il fut révéré comme un sauveur par les Indiens du Mexique, du Yucatan et du Guatémala bien avant la venue de l'homme blanc. Les Aztèques l'appelèrent le « Dieu d'Abondance «, et aussi « l'étoile du Matin «. Son nom, Quetzalcoatl signifie: serpent ailé. Le serpent symbolise la sagesse, et les ailes... eh bien, encore une fois, les ailes indiquent que Quetzalcoatl apparut aux Indiens à bord d'un engin aérien qui devait être une soucoupe volante. Après être resté quelque temps avec eux, il disparut mystérieusement de la même façon qu'il était venu. Sans doute regagna-t-il son lieu d'origine: le Monde souterrain, l'Agharta.
Quetzalcóatl1 était considéré comme « un homme de belle apparence, au maintien grave, blanc de peau et barbu, vêtu d'un grand manteau flottant «. On l'avait appelé aussi Huemac, à cause de sa grande bonté et de sa vertu. Il enseignait aux Indiens le chemin du bien. Il essayait de les conduire vers un certain idéal en leur conseillant de résister aux tentations avilissantes et de pratiquer la chasteté. Il condamnait la violence sous toutes ses formes. Il instituait un régime végétarien à base de blé, préconisait le jeûne et l'hygiène corporelle. Selon l'archéologue Harold Wilkins, il fut aussi le maître spirituel des anciens habitants du Brésil.
Mais, voyant le peu de cas que les Indiens faisaient de son enseignement, Quetzalcoatl les quitta, non sans leur avoir dit qu'il reviendrait un jour. Certains faits ultérieurs semblent prouver qu'il « monta» au ciel, c'est-à-dire qu'il s'envola dans un engin. En effet, au moment où Cortez envahit le Mexique, l'empereur Montezuma crut que Quetzalcóatl1t était de retour, comme il l'avait annoncé dans le passé, cela parce qu'une boule de feu était apparue au-dessus de la ville de Mexico, tournoyant, virevoltant dans tous les sens, plongeant le peuple dans la stupeur et l'affolement, et détruisant en fin de compte le temple du dieu de la guerre. Cette boule de feu n'était-elle pas la soucoupe volante utilisée par Quetzalcóatl1t pour ses voyages ?
Selon Donnelly, dans son livre : L'Atlantide, monde antédiluvien, les dieux des anciens n'étaient autres que les seigneurs de l'Atlantide, membres d'une Super-race qui dirigeait les destinées de notre monde, et qui continuait de vivre et de se développer dans les entrailles de la Terre.
Des villes souterraines à des niveaux variés. L'Agharta, continuation de l'Atlantide... L'Agharta qui s'étend à toutes les parties du monde à travers un réseau de passages souterrains. Dans son ouvrage Bêtes, Hommes et Dieux, Ossendowski évoque cette vaste trame de tunnels qui passe sous les océans et sous les continents, et qui a été construite par une race préhistorique remontant à la plus haute antiquité.
C'est au cours de ses voyages en Mongolie que des lamas l'instruisirent de l'existence d'un empire situé à l'intérieur de la croûte terrestre, et qui serait différent de celui qui se tient plus profondément au centre même du globe.
Huguenin, dont nous avons mentionné les écrits sur les soucoupes volantes, croit qu'il existe un grand nombre de villes souterraines à des profondeurs variées, habitées par des êtres évolués à côté desquels nous ne sommes que des barbares. Il reproduit dans son livre un croquis de l'intérieur de la Terre montrant des cités souterraines à des niveaux divers et reliées entre elles par des tunnels. Ces cités ont été bâties dans d'immenses cavités. Shamballah, la capitale, se situerait, suivant Huguenin, au centre de la planète et non dans la croûte solide.
Ossendowski écrit à ce sujet :
« Les cavernes souterraines d'Amérique sont habitées par un ancien peuple qui a disparu de notre monde. Ce peuple, ainsi que le territoire qu'il occupe, sont sous la dépendance suprême du Roi du Monde. L'Atlantique et le Pacifique étaient autrefois le siège de vastes continents qui furent plus tard submergés, et leurs habitants trouvèrent asile dans le Monde souterrain. Les cavernes les plus profondes sont éclairées par une lumière resplendissante qui fait pousser les céréales et donne aux habitants une vie très longue, exempte de maladies. «
Bulwer Lytton (connu dans le monde entier par son fameux
roman: Les Derniers Jours de Pompéi)
a écrit aussi des œuvres ésotériques. En particulier un ouvrage intitulé: The Coming Race (La Race qui nous supplantera), dans lequel il décrit une civilisation très en avance sur la nôtre qui se cache dans des cavernes au centre de la Terre. Ces cavernes sont éclairées par une lumière très forte qui semble provenir de l'électrification de l'atmosphère. Les habitants sont végétariens. Ils ne se déplacent pas en marchant, mais en volant à l'aide d'engins dont le fonctionnement nous serait incompréhensible. Ils ne connaissent pas la maladie, vivent longtemps, peut-être des siècles. Leur organisation sociale est parfaite. Il n'y a pas d'exploitation. Chacun reçoit ce dont il a besoin.
Ossendowski, Huguenin, Bulwer Lytton... ils se retrouvent tous pour décrire le même monde intérieur, avec sa civilisation évoluée, ses cités souterraines reliées par des tunnels.
Contre les retombées radio-actives.
L'Agharta, ou la quête d'un monde caché.
« Le Mongol leva ses mains dans un geste d'adoration et répéta la phrase sacrée :
OM MANI PAEME HUM
« Les autres Mongols stoppèrent aussitôt leurs chameaux et se mirent à prier.
« J'étais étonné. Je me demandais ce qui se passait. « Les Mongols prièrent pendant quelques instants, puis, après avoir resserré les sangles de leurs montures, reprirent leur marche.
« - Regardez, me dit mon guide, regardez comme les chameaux remuent leurs oreilles de frayeur ! Et partout dans la plaine, c'est la même chose. Les chevaux se sont arrêtés de courir, le bétail s'est couché sur le sol. Avez-vous remarqué que les oiseaux dans le ciel ont cessé de voler, que les marmottes ne courent plus, qu'on n'entend plus les chiens aboyer? L'air vibre doucement. Entendez-vous cette musique? Elle vient on ne sait d'où et pénètre jusqu'au cœur des hommes, des bêtes et des oiseaux. La terre et le ciel retiennent leur haleine. Le vent cesse de souffler. Le soleil s'arrête dans sa course. En un moment comme celui-là, le loup qui s'approche des moutons à la dérobée fait halte dans sa marche sournoise, le troupeau d'antilopes apeurées retient son élan éperdu, l'hermine rapace cesse de ramper derrière la perdrix. sans méfiance. Tous les êtres vivants, saisis de crainte, tombent en prière. Car c'est l'heure où le Roi du Monde, dans son palais souterrain, se recueille et prophétise la destinée de tous les peuples de la Terre.
« Ainsi parla le vieux Mongol.
« La Mongolie, avec ses montagnes dénudées et terribles, ses plateaux sans limites couverts des ossements épars des ancêtres, a donné naissance au mystère. Un mystère que ressent le peuple dans ses profondeurs, que les lamas rouges et jaunes expriment dans leurs rites, et que les pontifes de Lhassa et d'Ourga possèdent grâce à leur science.
« C'est au cours de mon voyage en Asie centrale que j'entendis parler pour la première fois de ce mystère des mystères. Au début, je n'y attachai pas beaucoup d'attention, mais par la suite je me rendis compte de son importance, lorsque j'eus analysé et comparé certains témoignages sujets à controverse.
Les vieillards des rives de l'Amyil m'ont raconté une ancienne légende, selon laquelle une tribu mongole, en cherchant à échapper à la fureur de Gengis Khan, se cacha dans une contrée souterraine. Plus tard, près du lac de Nogan, un Soyote me montra une porte qui servait d'entrée au royaume d'Agharta. C'est par cette porte qu'un chasseur pénétra un jour dans le royaume. Il en revint et raconta ce qu'il avait vu. Mais les lamas lui coupèrent la langue pour le punir. Il ne fallait rien révéler du mystère des mystères. Dans sa vieillesse, l'homme retourna à l'entrée de la caverne, et disparut dans le Monde souterrain dont le souvenir avait enrichi son cœur de nomade.
« J'obtins des renseignements plus détaillés de la bouche du Houtouktou Jelyl Djamsrap de Narabanch Kure. Il me raconta l'histoire de l'arrivée du puissant Roi du Monde à sa sortie du Monde souterrain, son apparition, ses miracles et ses prophéties. Je commençai alors à comprendre la réalité grandiose de cette légende, de cette vision collective, et je m'aperçus qu'elle cachait non seulement un mystère mais une force réelle capable de gouverner le monde et d'influencer la vie politique de l'Asie. à partir de ce moment, je commençai mes recherches.
« Le lama Gelong, favori du prince Choultoun Beyli, me brossa un tableau du Monde souterrain.
« - Dans notre univers, dit-il, tout est constamment en état de transition et de changement, les peuples, les religions, les lois et les coutumes. Combien de grands empires et de brillantes cultures ont péri ! Et cela seul qui reste inchangé, c'est le mal, l'instrument des mauvais esprits... Il y a plus de six mille ans, un saint homme, accompagné de toute une tribu, disparut dans les entrailles de la Terre et ne revint jamais à la surface. Le monde intérieur a reçu depuis de nombreuses autres visites, celles de Cakya Mouni, Undur-Ghengen Paspa, Baber, etc. Mais nul ne sait où se trouve l'entrée du royaume. Certains pensent que c'est en Afghanistan, d'autres en Inde.
« Le lama Gelong fit une pause, et poursuivit :
« - Tous les habitants du royaume souterrain sont protégés contre le mal, et le crime n'existe pas à l'intérieur de ses frontières. La science s'est développée paisiblement, sans être touchée par la guerre et l'esprit de destruction. De sorte que ce peuple a réussi à atteindre le plus haut degré de sagesse. Il forme un vaste empire de plusieurs millions d'habitants sur lequel règne le Roi du Monde. Ce maître souverain domine les forces de la nature, lit dans les âmes, déchiffre le grand livre de la destinée. Invisible, il étend son autorité à huit cents millions d'êtres humains qui sont prêts à exécuter ses ordres.
« Tous les passages souterrains du monde entier conduisent au royaume d'Agharta. Les lamas disent que les cavernes de l'Amérique sont habitées par les descendants d'un peuple antédiluvien qui trouva refuge au sein de la Terre après que leur continent eut été englouti.
« Le lama Turgut, qui fit le voyage d'Ourga à Pékin avec moi, me donna d'autres détails :
« - La capitale de l'Agharta (Shamballah) est entourée de villas où habitent les grands prêtres et les sages. Elle rappelle Lhassa, où le palais du Dalaï Lama se dresse au sommet d'une montagne avec tout autour des temples et des monastères. Le palais du Roi du Monde est donc entouré de temples où siègent les Gourous, qui contrôlent les forces visibles et invisibles du monde, et qui tiennent entre leurs mains la vie et la mort des hommes. Si notre folle humanité ne met pas un terme à ses guerres, ils sont capables de transformer la surface de la planète en un vaste désert. Ils peuvent assécher une mer, faire d'un continent un océan, réduire une montagne à sa plus simple expression. Un mot, un signe, un commandement, et les arbres, les herbes, les buissons se mettent à pousser, des hommes vieux et faibles redeviennent jeunes et vigoureux, les morts ressuscitent Dans d'étranges véhicules, inconnus de nous, ils franchissent à des vitesses incroyables les tunnels souterrains qui séparent une ville d'une autre.
« - Quelqu'un a-t-il vu le Roi du monde? questionnai-je.
« - Oui, répondit le lama. Pendant les fêtes solennelles de l'ancien Bouddhisme au Siam et aux Indes, le Roi du Monde apparut cinq fois. Il était sur un char magnifique traîné par des éléphants blancs. Lui-même était vêtu d'un manteau blanc et portait sur la tête une tiare rouge d'où pendaient des rivières de diamants qui lui masquaient le visage. Il bénissait le peuple avec une pomme d'or surmontée d'un agneau. Les aveugles retrouvèrent la vue, les sourds entendirent, les infirmes recommencèrent à marcher, et les morts se dressèrent dans leurs tombeaux partout où se posèrent les yeux du Roi du Monde.
« Quand je lui demandai combien de personnes avaient visité l'Agharta, le lama me répondit :
« - Un grand nombre, mais la plupart d'entre elles gardèrent le secret toute leur vie. Quand les Olets détruisirent Lhassa, un de leurs détachements se trouvant dans les montagnes du Sud-Ouest atteignit les frontières de l'Agharta, et y fut instruit dans les sciences mystérieuses. Voilà pourquoi les Olets et les Kalmouks devinrent d'habiles sorciers et des prophètes. Quelques tribus noires de l'Est pénétrèrent aussi dans le royaume d'Agharta et y vécurent plusieurs siècles. Plus tard, elles furent expulsées du Monde souterrain et retournèrent vivre à la surface de la Terre, rapportant avec elles la connaissance de certains mystères, en particulier la manière de prédire l'avenir par les cartes et les lignes de la main. Ce sont les ancêtres des bohémiens. Quelque part, dans le nord de l'Asie, il y a une race qui est en train de disparaître et qui fréquente les cavernes de l'Agharta. Ses membres invoquent les esprits des morts, qui vivent dans l'espace.
« Le lama resta silencieux quelque temps. Puis, comme s'il répondait à mes pensées, il reprit :
« - Dans l'Agharta, les sages écrivent sur des tablettes de pierre toutes les sciences de notre planète et des autres mondes. Les Bouddhistes chinois savent cela. Leur science est la plus haute et la plus pure. Chaque siècle, les sages de la Chine se réunissent en secret dans un lieu près de la mer. Alors cent tortues géantes sortent de l'Océan, et les sages écrivent sur leurs dos les conclusions de la science divine.
« Cela me remet en mémoire une histoire que me raconta un vieux Chinois appartenant au Temple du Ciel à Pékin. Il me dit que les tortues vivent près de trois mille ans sans air ni nourriture, et que c'est la raison pour laquelle les colonnes du Temple du Ciel reposent sur les dos de ces tortues, car ainsi les supports de bois ne pourrissent pas.
« Le lama reprit :
« - Les pontifes d'Ourga et de Lhassa ont envoyé à plusieurs reprises des ambassadeurs auprès du Roi du Monde, mais il leur fut impossible de le découvrir. Pourtant un chef tibétain, après une bataille avec les Olets, se retrouva devant une caverne dont l'entrée portait l'inscription suivante
« De la caverne sortit un homme de belle prestance qui
lui présenta une tablette d'or portant des signes
mystérieux, et l'inconnu lui dit : " Le Roi du Monde
apparaîtra à tous les hommes quand sera venu le temps de
la guerre du bien contre le mal. Mais ce temps n'est pas
encore arrivé. Les plus mauvais rejetons de la race
humaine ne sont pas encore nés." «
Chapitre X
D'après les preuves contenues dans ce livre, et confirmées par un grand nombre d'explorateurs arctiques, nous aboutissons aux conclusions suivantes:
1. Il n'y a en réalité ni pôle Nord ni pôle Sud. Là où on suppose qu'ils se trouvent existent en fait de larges ouvertures conduisant à l'intérieur creux de la Terre.
2. Les soucoupes volantes viennent de cet intérieur creux.
3. L'intérieur de la Terre, réchauffé par son soleil central (source de l'aurore boréale), a un climat subtropical idéal, ni trop chaud ni trop froid.
4. Les explorateurs polaires ont découvert que la température s'élevait dans l'extrême Nord, qu'une mer libre s'ouvrait devant eux, que des animaux, en plein hiver, marchaient vers le nord pour chercher de la nourriture et de la chaleur, au lieu d'aller vers le sud. Ils ont noté avec stupeur que l'aiguille de la boussole se mettait à la verticale, puis s'affolait. Ils ont vu des oiseaux tropicaux, des animaux qui ont besoin de chaleur. Ils ont repéré des papillons, des moustiques, des insectes de toutes sortes. Ils ont trouvé de la neige colorée de pollen et de poussière noire. Et plus ils avançaient vers le nord, plus il y en avait.
5. Une population importante habite la surface concave intérieure de la croûte terrestre. Elle offre une civilisation très en avance sur la nôtre dans ses réalisations scientifiques, et probablement est-elle issue des continents disparus de Lémurie et d'Atlantide. Les soucoupes volantes ne sont qu'une de leurs nombreuses inventions. Nous tirerions le plus grand bénéfice à contacter ces frères aînés de la race humaine. Ils ont beaucoup à nous apprendre, et nous avons besoin de leurs conseils et de leur aide.
6. L'existence d'une terre au-delà des pôles est
certainement connue de la Marine U.S. [étatsunienne] à laquelle
appartenait l'amiral Byrd lorsqu'il accomplit ses deux
vols historiques. Mais il y a dans ce domaine un top
secret international.
Chaque époque interprète les événements inhabituels, insolites, dans un langage qui lui est propre, et qui correspond à son expérience du moment. Que ce soit Ézéchiel décrivant des objets célestes curieux et des anges, ou le moine Lawrence s'émerveillant de voir dans le ciel des disques flamboyants cracher du feu sur les Saxons qui assiègent Sigiburg, ou encore les hommes modernes parlant d'objets volants non identifiés, c'est toujours de la même chose qu'il s'agit.
Maintenant que les astronomes ont lancé l'idée que la vie peut exister sur d'autres planètes, il en découle naturellement l'hypothèse que des hommes de l'espace ont pu atterrir autrefois sur la Terre. Mais en avons nous la preuve?
Il y a plus de 2 000 ans, tous les grands esprits de l'Antiquité, les Grecs, les Romains, ont rapporté dans leurs écrits des événements insolites, et à tous égards étranges, relevant, selon toute probabilité, d'interventions extra-terrestres.
Les théologiens écartent l'idée que les anciens dieux soient des interprétations anthropomorphiques de forces naturelles. Comme si des races entières avaient pu pendant des centaines d'années baser leur vie quotidienne sur le jaillissement de l'éclair ou le déferlement du tonnerre !
Cependant, on peut imaginer en toute logique que les anciens dieux de l’Égypte, de la Grèce, de Rome, de la Scandinavie, du Mexique, n'étaient pas des esprits désincarnés ou des symboles anthropomorphiques, mais des êtres en chair et en os venus du ciel, c'est-à-dire de l'espace.
Appollodore écrivit: « Le Ciel a été le premier souverain du monde «, ce qui laissait supposer une domination par des êtres de l'espace. L'empereur romain julien croyait que des dieux étaient descendus sur la Terre. Eschyle, Euripide, Aristophane, Plaute ont fréquemment introduit un « Deus ex Machina « dans leurs pièces pour en dénouer les intrigues. Aristote, Platon, Pline, Lucrèce. et d'autres philosophes pensaient que les dieux étaient des êtres supérieurs habitant un royaume au dessus de nous. Il y a un siècle, un épicier allemand, Heinrich Schliemann, utilisant l'Iliade comme guide, ridiculisa de savants professeurs en prouvant que Troie avait bien existé, et que la légende cachait une réalité.
Nous allons maintenant soumettre au lecteur quelques exemples tirés d'œuvres d'auteurs anciens, dont le caractère surnaturel peut très bien s'expliquer à la lumière de certaines conceptions actuelles ayant trait aux UFOs et à une race d'êtres super-évolués.
CICÉRON, De la nature des dieux , livre l, chap. 2.
« Et n'oublions pas que lorsque les Locriens défirent le peuple de Crotone sur les bords de, la Sagra, la nouvelle en fut connue le jour même aux jeux Olympiques. On avait entendu la voix des Faunes, et des divinités étaient apparues d'une manière si visible, si indiscutable, que tout homme sensé et logique avec lui-même ne pouvait que reconnaître la présence des dieux parmi nous. «
TITE-LIVE, Histoire , livre VIII, chap. 11.
« Là, dans la tranquillité de la nuit, les deux consuls dirent qu'ils avaient reçu la visite d'un homme d'une taille plus grande que la normale, plus majestueuse aussi, qui leur avait déclaré que le commandant, d'une part, et l'armée, de l'autre, devaient être offerts en sacrifice aux Mânes des ancêtres et à la Mère Terre. «
DIO CASSIUS, Histoire romaine , livre I.
« À Ariminium, une lumière brillante comme le jour illumina tout à coup les ténèbres nocturnes ; dans de nombreuses régions d'Italie la nuit fut envahie par trois Lunes. «
PLINE, Histoire naturelle , livre II,chap. 32.
« Trois Lunes apparurent tout à coup sous le consulat de Gnaeus Domitius et Gaius Fannius. «
TITE-LIVE, Histoire , livres XXI-XXll.
« Dans la région d'Amiternus, en de nombreux points, on vit des apparitions d'hommes en manteaux blancs qui venaient de très loin. Le globe du Soleil devint plus petit. à Praeneste, des lampes brillantes descendaient du ciel. La Lune combattit le Soleil, et au cours de la nuit on vit deux Lunes. Des vaisseaux fantômes apparurent dans les nues. «
TITE-LIVE, Histoire , livre Xll, chap. 1.
« À Falerius, le ciel sembla se déchirer, créant comme une sorte de grande fissure à travers laquelle étincela une forte lumière. «
JULIUS OBSEQUENS, Prodigiorum Libellus , chap. 66. « Sous le consulat de Tiberius Gracchus et de Marius Juventus, à Capoue, on vit le Soleil en pleine nuit. à Formice, ce fut deux Soleils qu'on aperçut en plein jour. Le ciel en était embrasé. En Céphalonie, une trompette résonna dans les cieux. Il y eut une pluie de terre. Une tempête démolit les maisons et ravagea les récoltes. «
J. OBSEQUENS, Prodigiorum . chap. 114 et chap. 130. « Dans les environs de Spolète une boule de feu dorée roula sur le sol, augmenta de taille, devint si grosse qu'elle masqua bientôt le Soleil. «
« À Rome, une nuit, il y eut une telle lumière que les gens se levèrent pour aller travailler en croyant que c'était l'aube. «
PLINE, Histoire naturelle , livre Il, cnap. 34.
« Sous le consulat de Lucius Valerius et Caius Marius, un disque flamboyant et jetant des étincelles traversa le ciel « (ch. 34).
« Sous le consulat de Gnaeus Octavius et Caius Suetonius, on a vu une étincelle tomber d'une étoile et grossir à mesure qu'elle approchait de la Terre. Après être devenue aussi grosse que la Lune, elle diffusa une sorte de lumière brumeuse, puis remonta vers les étoiles sous la forme d'une torche. C'est le seul rapport qu'on ait d'un tel événement. Le proconsul Silenus et sa suite en ont été témoins. «
DIO CASSIUS, Histoire romaine , livre IV.
« Il y eut des chutes de météorites dans le camp de Pompée... Un globe de feu apparut dans l'air au dessus du campement de César et alla tomber sur celui de Pompée... En Syrie deux jeunes gens annoncèrent le résultat d'une bataille qui s'était déroulée en Thessalie et disparurent aussitôt . «
CICÉRON, Sur la divination, livre 1, chap. 43.
« Combien de fois le Sénat n'a-t-il pas enjoint aux décemvirs de consulter les livres de la Sibylle! Par exemple, lorsqu'on vit deux Soleils, ou que trois Lunes apparurent, ou encore lorsque des langues de feu furent aperçues dans les nues. Et dans une autre occasion, lorsque la nuit accueillit le Soleil, que des bruits furent entendus venant de l'espace, et que les cieux eux-mêmes semblèrent se déchirer. «
FLAVIUS JOSEPHS, La Guerre juive , livre CXI.
« ... Avant le coucher du Soleil surgirent dans les airs au-dessus de tout le pays des chars et des hommes armés qui se déplaçaient à travers les nuages et qui investirent les villes. «
DIO CASSIUS, Histoire romaine . livre LXXIV.
« ... Trois étoiles... surgissant soudain aux yeux de tous, et entourant le Soleil... Elles étaient si distinctes que les soldats, stupéfaits, ne pouvaient les quitter des yeux... «
DIO CASSIUS, Histoire romaine .
« À Rome, un « Esprit» ayant pris l'apparence d'un homme conduisit un âne au Capitole et ensuite au palais. Il disait qu'il cherchait le maître de cet animal, et il affirmait qu'Antoninus était mort et que Jupiter était maintenant Empereur. Ayant été arrêté pour ce délit et envoyé par Matermainus à Antoninus, il déclara: " J'irai puisque vous l'ordonnez. seulement je ne me présenterai pas devant cet empereur, mais devant un autre. " Une fois à Capoue, il disparut. «
Les citations que nous venons de donner ne sont qu'un petit aperçu d'une longue suite d'incidents étranges qui ont jalonné les siècles antiques.
En ne considérant que cinq auteurs : Julius Obsequens a relevé 63 phénomènes célestes insolites; Tite-Live, 30 ; Pline, 26; Dio Cassius, 14; Cicéron, 9.
Les Romains étaient persuadés que deux cavaliers étranges, d'une taille très au-dessus de la moyenne, et d'une beauté sans égale, avaient aidé Postumius à remporter la bataille du lac Régille ; le même jour ils étaient apparus miraculeusement au Forum pour annoncer la victoire, puis ils étaient partis et on ne les avait plus jamais revus.
Un historien de l'époque décrivit deux disques brillants dont les bords crachaient du feu, et ces disques plongèrent littéralement, et à de nombreuses reprises, sur les colonnes d'Alexandre le Grand en Inde, jetant la panique parmi les chevaux et les éléphants.
Quand nous nous rappelons que Romulus fut emporté au ciel par un tourbillon de vent alors qu'il rendait un jugement sur le mont Palatin, que son successeur, Numa Pompilius, utilisait des armes magiques, que Tite-Live, Pline l'Ancien, Julius Obsequens parlèrent de voix mystérieuses, de trompettes célestes, d'hommes volant dans des vaisseaux aériens, de plusieurs Soleils et plusieurs Lunes ensemble, d'apparitions supra-humaines, oui, quand nous nous rappelons cela nous avons l'impression d'assister aux miracles de la Bible.
Par quelle étrange déformation de l'esprit humain
rendons-nous un culte aux prodiges qui se sont déroulés en
Palestine et les considérons-nous comme des manifestations
de la Puissance de Dieu, alors que nous avons tendance à
faire de l'ironie sur les phénomènes en tous points
identiques qui se sont produits au même moment à quelques
centaines de kilomètres de là ?
Chapitre XII
Résolvez le problème de la propulsion des UFOs, et vous ouvrez l'univers entier à l'homme!
Au cours de ces dernières années, nous avons été visités par un grand nombre d'engins spatiaux inconnus. En réalité, ces visites se sont produites à différentes époques, et depuis très longtemps, mais on a pu noter une recrudescence du phénomène à partir de 1945, ce qui a donné lieu à de nombreuses observations, certaines fantaisistes, d'autres plus sérieuses.
Ceux qui ont eu la chance d'apercevoir des soucoupes volantes (UFOs) ont tous été frappés par la facilité déconcertante de leurs manœuvres et par leurs performances acrobatiques. Apparemment, la plupart des soucoupes n'utilisent aucun moyen de propulsion connu, ou, du moins, qui nous soit familier. On en a repéré très peu équipées de propulseurs classiques tels des hélices ou des réacteurs. Le plus grand nombre n'en possèdent pas. La soucoupe volante type flotte dans l'air sans qu'on sache comment; et s'il est soumis à une force, il tend à se mettre en mouvement dans la direction de cette force, et proportionnellement à elle. Ces lois sont encore à la base de nombre de nos hypothèses scientifiques. Même en les combinant aux théories les plus récentes sur la constitution moléculaire de la matière, on n'arrive guère à expliquer le comportement, à certains égards extravagant, des soucoupes.
Quand ces soucoupes passent en quelques secondes d'une vitesse 0 à une vitesse représentant une moyenne de plusieurs milliers de kilomètres-heure, comment une pareille accélération ne fait-elle pas éclater littéralement la cabine de pilotage et n'écrase-t-elle pas les pilotes ?
Quiconque a pris un virage à une trop grande vitesse sait bien que son véhicule a une tendance prononcée à continuer sur sa lancée malgré le braquage des roues. De la même façon, lorsqu'un UFO fait une courbe brutale, alors qu'il navigue à quelque 3 ou 4000 kilomètres-heure (et peut-être plus), Comment se fait il que les molécules ou les cristaux de sa structure métallique ne volent pas en éclats - du fait de la monstrueuse tension imposée par la force d'inertie.?
Ce sont ces très remarquables performances accomplies par les soucoupes volantes qui ont conduit un grand nombre de personnes à penser qu'elles n'existaient pas, que tout cela n'était que phénomènes lumineux, illusions d'optique, mirages, etc.
Nier un problème n'est pas le résoudre. Ce n'est pas, en tout cas, une attitude véritablement scientifique. Car les soucoupes existent bel et bien! Elles ont été photographiées à maintes reprises. Elles ont été repérées par les radars. Ceux qui les ont vues d'assez près les décrivent comme des engins faits de métal ou d'une matière transparente qui rappelle le plexiglas. .
Puisque les soucoupes sont des véhicules solides et bien réels, il est indispensable que nous révisions certaines de nos notions concernant les lois naturelles. Car, ou bien notre connaissance de la structure moléculaire est incomplète, ou bien c'est la conception que nous nous sommes faite de la force d'inertie qui est à revoir. étant donné que les deux points de cette alternative ne trouvent pas de réponse positive dans le cadre de nos connaissances scientifiques actuelles, y a-t-il une raison de préférer l'un à l'autre ?
Nous estimons, quant à nous, que la meilleure manière de tenter une explication des soucoupes volantes est de nous référer aux théories de la physique moderne. Pour ce faire, nous allons nous mouvoir dans les hauteurs abstraites de cette science, et faire appel à la théorie générale de la relativité d'Albert Einstein.
La Terre creuse Pages 82
Précisons tout de suite que cette théorie n'est pas aussi compliquée que certains veulent bien le dire. si elle a la réputation d'être difficile, cela tient au fait que, pour la comprendre, il est nécessaire de remettre en question, de transgresser en quelque sorte, certaines vieilles idées acquises sur le monde qui nous entoure.
Nous avons vu plus haut que le principe fondamental énoncé par Newton signifie qu'un objet reste à sa place tant qu'il n'est soumis à aucune force, et que si une force agit il se meut dans la direction de cette force. Cependant Newton avait quelque peu embrouillé les idées. Dans un passage de son Principia , il dit que la force d'inertie est presque inhérente à la matière. Dans un autre, il prétend qu'elle provient de quelque chose qu'il appelle l'espace absolu. La permanence de la matière dans son état, selon Newton, résulte de sa relation avec un monde absolu de l'espace plus déterminant que n'importe quel système matériel.
Cette idée n'était pas très satisfaisante, et dans la
dernière moitié du XIXe siècle le physicien et philosophe
autrichien Ernst Mach en fit la critique. Mach, que nous
connaissons pour ses travaux en aérodynamique, était un
positiviste. Pour lui, quelque chose qui ne relevait pas
d'une observation ou d'une expérience et c'était le cas de
l'espace absolu - n'avait pas de sens, et n'était donc pas
réel. Partant de là, il fit la proposition suivante: la
force d'inertie est en relation directe avec toute la
matière de l'univers . Par toute la matière de
l'univers il voulait dire toutes les étoiles fixes. De nos
jours où l'on sait que le cosmos est composé d'un grand
nombre d'étoiles rassemblées en d'innombrables galaxies,
on ne parlerait donc plus d'étoiles fixes mais de
galaxies ou de nébuleuses. Donc, pour Mach, tout objet
soumis aux lois de l'inertie était en rapport avec les
galaxies.
Cependant, ce principe renfermait une difficulté. Il ne fournissait pas de lien matériel entre les étoiles et le système d'inertie. Mach se contentait de substituer l'univers à « l'espace absolu» de Newton pour expliquer l'immobilité ou la mobilité des corps matériels. Il ne nous apprenait donc rien de plus sur ce qu'était en réalité la force d'inertie, et comment elle agissait.
Ce rôle était dévolu à Einstein qui, en 1916, proposa sa fameuse théorie de la relativité. Cette théorie concernait la gravitation universelle et la force d'inertie. Einstein réduisit les deux forces à une seule, et l'exprima dans son célèbre principe d'équivalence la force de gravitation et la force d'inertie ne peuvent être dissociées, et elles sont égales.
Un exemple illustre cette théorie: on imagine un ascenseur lancé dans l'espace avec un homme dedans.
Si l'ascenseur se meut uniformément, à une vitesse constante, l'homme aura l'impression de ne rien peser. Il ne ressentira ni le mouvement ni la poussée gravitationnelle. Mais si l'ascenseur accélère brutalement, s'il est tiré à une grande vitesse par son câble cosmique, l'homme recommencera à éprouver la sensation de pesanteur. Un certain degré d'accélération ayant été atteint, cet homme pourra même croire qu'il est de retour sur Terre, et soumis à la gravité du champ terrestre, alors qu'il navigue en fait au milieu des étoiles.
C'est ainsi qu'Einstein a illustré le fait que la force d'inertie et la gravité ont exactement les mêmes effets sur un observateur, et qu'elles ne peuvent être distinguées sur la base d'observations locales.
Il alla plus loin. Il tenta d'expliquer la gravité et la force d'inertie en utilisant les mêmes termes de physique. Tandis que le poids des objets sur une planète comme la Terre est produit par l'attraction de celle-ci, la force d'inertie de ces mêmes objets est expliquée par l'attraction de la matière universelle. Pour utiliser une, simple analogie, la pipe qui se trouve en face de moi sur mon bureau reste là où elle est parce que, pour une grande part, toutes les étoiles et nébuleuses du cosmos exercent une poussée sur elle, et cette poussée s'exerce dans toutes les directions possibles. C'est comme si des millions et des millions de fils étaient attachés symétriquement autour de la pipe et la tiraient en même temps dans toutes les directions. De la même façon, quand je jette mon crayon à travers la pièce, il part en ligne droite, car il est poussé à chacun de ses angles dans la direction de son vol par la totalité de la matière de l'univers. Ainsi la force d'inertie n'est-elle rien d'autre qu'une force gravitationnelle. Mais une force gravitationnelle qui n'est pas seulement celle de la Terre ou d'un quelconque autre corps, mais celle de chaque particule existant dans l'univers.
Maintenant, allez-vous demander, comment tout cela nous aide-t-il à expliquer la manière dont se propulsent les soucoupes volantes?
Si les possesseurs des soucoupes ont été capables de mettre au point des procédés antigravitationnels révolutionnaires, comme par exemple un écran électromagnétique entourant leurs véhicules, cela signifie qu'ils ont vaincu la pesanteur terrestre et, par voie de conséquence, les forces de gravitation (et d'inertie) de tout l'univers. Donc, si les ultra-particules ou les champs qui constituent la gravité de la Terre sont neutralisés, il en est de même de l'effet gravitationnel du reste de l'univers. Aussi les soucoupes, avec leur écran antigravité, peuvent survoler notre planète et ignorer les lois d'inertie. Elles créent autour d'elles une zone privilégiée, une sorte d'enveloppe dans laquelle gravité et force d'inertie ne jouent plus aucun rôle. Les créatures qui ont construit les soucoupes et maîtrisé la gravité ont vaincu en même temps, suivant la théorie d'Einstein, les forces d'inertie.
Mais alors - et c'est une chose curieuse de l'imaginer - que va-t-il se passer si un atome ou une molécule, ou Un groupe de molécules constituant un objet, ne se trouvent plus sous le contrôle de la force d'inertie ? Une légère, très légère chiquenaude, et la pipe qui se tient sur mon bureau va voler à travers la pièce. De la même façon, si je jette mon crayon en l'air, il suffira d'une très faible brise pour dévier sa course et le propulser, peut-être à grande vitesse, dans une direction opposée. En conclusion, nous pouvons dire que les atomes et la matière situés dans une zone non soumise à la force d'inertie deviendront presque totalement libres par rapport à leur environnement. Ils pourront se mouvoir dans une direction aussi facilement que dans une autre. Ils n'auront plus tendance à garder cette position rigide que leur ont dictée en quelque sorte des forces supérieures. Ils s'envoleront librement dans toutes les directions, au gré des plus subtiles impulsions.
Je pense que cela explique comment les soucoupes peuvent produire des accélérations aussi, fantastiques, suivies de freinages du même style. Quand une force, n'importe laquelle, les pousse dans une direction différente de leur ligne de mouvement initiale, leurs atomes et leurs molécules n'éprouvent pas le besoin de continuer à se mouvoir dans cette voie première. De sorte que la structure du vaisseau ne subit aucune distorsion et que ses constituants moléculaires n'entrent pas en anarchie. La soucoupe ne tangue pas, ne vole pas en éclats. Ses occupants ne sont ni secoués ni gênés le moins du monde. Ils peuvent lire tranquillement un livre sans même se rendre compte qu'à cet instant leur engin est en train d'accomplir des acrobaties vertigineuses.
L'existence éventuelle d'un écran antigravitationnel peut aussi expliquer pourquoi les soucoupes ne se volatilisent pas lorsqu'elles traversent l'atmosphère à une super vitesse. Considérons une molécule ou un atome gazeux dans l'atmosphère. Il est soumis aux lois de l'inertie, comme toute chose dans l'univers, Il entre en collision avec d'autres atomes, mais il n'en résulte pas un grand dommage, étant donné sa petite masse. Maintenant si un engin surgit, muni d'un écran électromagnétique, que se passe-t-il ? La molécule dont nous venons de parler va se retrouver dans le champ antigravitationnel créé par l'écran. Et elle va s'y retrouver libre ! C'est-à-dire ayant perdu toute son énergie cinétique. Ce qui signifie qu'elle peut désormais entrer en collision avec n'importe quel autre corps sans créer la moindre friction. Autrement dit, cette molécule a pénétré l'écran électromagnétique comme un boulet, et frappé la soucoupe comme une plume.
Cependant, tandis que l'engin poursuit sa route, la molécule d'air ressort à l’arrière du champ antigravitationnel dans un état très agité. Elle a rejoint maintenant le monde d'inertie, et elle recommence à se heurter à d'autres molécules tout aussi agitées qu'elle. Sa faible énergie a été décuplée par le fait de son passage inactif dans le champ d'antigravité, et cette recrudescence d'activité est probablement à l'origine de la lueur qu'on voit autour des soucoupes, spécialement la nuit.
À ce stade, nous devrions peut-être passer en revue ce que nous avons dit et ce que nous n'avons pas dit.
En un sens, nous avons expliqué comment volaient les vaisseaux spatiaux, mais nous n'avons pas dit comment était produit l'écran électromagnétique. Souvent les soucoupes, observées de jour à travers des jumelles - et cela apparaît aussi sur certaines photographies -, donnent l'impression d'avoir un halo autour d'elles. Cela pourrait très bien être le signe visible et matériel de cet écran. Cependant, la manière dont il est créé est encore mystérieuse. Il est presque sûr que ce champ produit d'une certaine manière de l'électricité et
du magnétisme - car les effets en ont été notés en relation avec le passage des soucoupes. Il est aussi probable que l'énergie nucléaire entre pour une part dans la formation de ce champ, car des augmentations du taux de radio-activité accompagnent les vols des UFOs. Mais nous ne savons rien des mécanismes précis qui entrent en jeu. Nous ne savons qu'une chose, c'est que la première puissance terrestre qui réussira à mettre au point cette technique prendra l'avantage sur toutes les autres, et que l'avion et même la fusée seront relégués au rang d'armes préhistoriques.
Imaginons ce que la maîtrise de la gravité et de la force d'inertie signifierait pour l'homme, pour sa vie sur la Terre et ses progrès dans l'espace. D'abord une sérieuse transformation du système économique, ne serait-ce que par l'utilisation d'engins libérés des chaînes de la gravité.
Et puis... et puis mille choses incroyables relevant actuellement du miracle deviendraient possibles. Par exemple, un enfant de cinq ans pourrait faire sauter un éléphant sur ses genoux. Les travaux les plus importants, les plus difficiles ne nécessiteraient qu'une minime dépense d'énergie.
Quant aux voyages cosmiques, la notion d'antigravité leur ouvrirait les plus larges possibilités. Certains astronomes et physiciens ont souligné qu'il faudrait une énorme quantité d'énergie pour amener un corps (même doté d'un poids utile minime) à une vitesse proche de celle de la lumière. Or ce n'est qu'à cette vitesse qu'un voyage vers la plus proche étoile pourrait être entrepris dans un laps de temps raisonnable. Ces astronomes en concluent que la seule communication que l'humanité pourra jamais avoir avec des intelligences extra-terrestres sera... une communication radio.
Pourtant, certains savants croient qu'un voyage interstellaire est possible, même dans les limites de nos connaissances actuelles des lois de l'inertie. Le professeur Singer, physicien allemand, a proposé un véhicule spatial capable de capturer dans un gigantesque filet les atomes d'hydrogène de l'espace et de les transformer en carburant en cours de route.
Mais il est évident que c'est dans les techniques antigravitationnelles que se trouve la solution de toutes ces difficultés. C'est grâce à elles que nous pourrons approcher la vitesse de la lumière, sans laquelle il ne nous est guère possible de sortir de notre système solaire.
Que des races plus évoluées que la nôtre aient découvert
ces techniques il y a bien longtemps, et qu'elles aient
voyagé d'une étoile à l'autre, cela n'est pas impossible.
Comme il n'est pas impossible non plus qu'elles viennent
(ou reviennent) visiter notre univers.
* SATURNE. Saturne est un monde dans un monde, et peut-être plus. Le monde interne est aplati aux pôles. Il a un diamètre si important que s'il était creux, la Terre pourrait très facilement tourner à l'intérieur.
* La Terre telle qu'elle apparaîtrait vue de l'espace. Elle montre l'ouverture polaire Nord conduisant à l'intérieur de la Planète. La Planète est creuse et contient un soleil central au lieu d'un océan de lave. (D'après « Un Voyage à l'intérieur de la Terre - ou - Les Pôles ont-ils vraiment été découverts? «, de Marshall B. Gardner, imprimé par Eugene Smith Company, Aurora, Illinois, 1920.)
* Vues de Mars prises à l'Observatoire de Yerkes le 28 septembre 1902. Elles montrent le cercle blanc, qu'on appelle aussi calotte glaciaire, se projetant au-delà de la surface de la planète. (D'après l'ouvrage de Marshall B. Gardner.)
* Vue de Mars, montrant une tache blanche et ronde qui est une entrée vers "intérieur de la planète, et non une calotte de glace. Cela prouve que Mars, la Terre et toutes les planètes sont creuses et contiennent un soleil central. (Photographie de F. A.A. Talbott, Beighton, Angleterre.)
* GLOBE MONTRANT UNE SECTION DE L’INTÉRIEUR DE LA TERRE. la Terre est creuse. Les pôles si longtemps cherchés ne sont que des fantômes. Il y a des ouvertures aux extrémités Nord et Sud. à l'intérieur il y a de vastes continents, des océans, des montagnes, des rivières. La vie végétale et animale y est présente. Ce monde est probablement peuplé de races inconnues. (L'auteur, d'après «Fantôme des Pôles». de William Reed, publié par Walter S. Rockey Company, New York, 1906.)
; Rien ne peut mieux appuyer notre théorie que cette reproduction photographique d'un dessin représentant la tête de la Comète de Donati, tel qu'elle fut aperçue en 1853. On voit nettement le noyau central entouré par une sphère de gaz brillants. La comète passe à travers une zone de forces antagonistes. Une chaleur excessive a causé une grande fissure qui s'étend jusqu'au noyau (ou soleil) central.
* Des eiders innombrables...
* Une nuée d'oiseaux comme on en voit souvent dans les
régions arctiques.
* Dans l'Arctique et l'Antarctique, le ciel reflète la surface de la terre, de l'eau et de la glace, d'une manière très précise. Aucun grand voyage n'est entrepris sans consulter auparavant ce ciel d'eau.
* DES ROCHES SUR LA GLACE. L'auteur dit que ces roches ont été projetées en l'air par une explosion volcanique.
* L'AURORE BORÉALE. Un grand feu à l'intérieur de la terre peut expliquer ce phénomène quelque peu fantastique.
* Un iceberg géant de 600 km de long, 80 km de large, s'enfonçant profondément dans l'eau. Il est composé d'eau douce gelée.
* Le Soleil Central, tel qu'il apparaîtrait à un explorateur suffisamment avancé à l'intérieure polaire.
* DÉCOUVERTE
D'UN MAMMOUTH. Un pêcheur russe de Tongoose, en Sibérie,
découvrit en 1799 un mastodonte enfermé dans un bloc de
glace. Il était en parfait état de conservation.
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