Date : Sat, 25 Jan 2003 11:50:29 +0100
     De : "mathieu callejon" <mathieu.callejon@libertysurf.fr>
  Objet : Re: Dites non a la guerre en Irak - Cyberaction Greenpeace

GreenPeace n'a même pas la courtoisie de répondre aux mails qu'on lui envoi.

En l'occurrence celui sur les essais nucléaire français souterrain.

Pour ce qui concerne cette guerre que je désapprouve totalement, j'ai du mal à imaginer

L'utilité de GreenPeace.

Le problème avec cette guerre c'est que personne ne semble comprendre que les resources
pétrolières des États-Unis seront épuisés d'ici 10 ans et que ça fait depuis longtemps qu'elle est
prévu. Et ça bien sûr,  on ne le dit pas à la télé.

Donc c'est sous couvert d'une soi-disante guerre contre le terrorisme international que des
irakiens vont mourir. Sachant qu'aucun lien n'a été établi entre les atentats du 11 septembre et
le regime irakien.

Bref les américains n'en ont rien à foutre de l'ONU et ils l'ont bien fait comprendre.

Résultat la seul façon de s'opposer à cette guerre serait de défendre l'irak et donc le régime de
Sadam (régime au combien abominable je le rappel), et ça c'est impossible.

Les atentats sont une divine providence pour le gouvernement amÉricain, tellement divine que je me
demande si ce n'était pas prévue de longue date.

Si Sadam n'a pas été renversé la première fois c'est certainement pour une raison qui arrange les
USA.

      L'US Army échoue à élaborer une simulation crédible de l'attentat du Pentagone
      Scientifiquement impossible

      L'US Army et la National Science Foundation ont financé une simulation en trois dimensions
de l'attentat survenu au Pentagone le 11 septembre 2001.

      Des chercheurs d'une équipe pluridisciplinaire de l'université d'État de Purdue (Indiana)
ont produit une séquence 3D dont l'apparent réalisme pallie à l'absence d'images vidéos
authentiques de l'événement. Ce résultat a été largement médiatisé, à l'occasion du 1er
anniversaire de l'attaque, et interprété par des médias complaisants comme prouvant l'inanité de
la polémique que nous avons soulevé sur les modalités de l'attentat.

      Malheurement, après six mois de recherches et malgré l'importance des moyens techniques et
humains mobilisés, les scientifiques de Purdue n'ont pas été en mesure d'établir un scénario à la
fois conforme à la version officielle et compatible avec les éléments matériels. Incapables
d'expliquer comment le prétendu avion avait pu ne frapper que le rez-de-chaussée et le premier
étage, ils ont postulé qu'il volait au raz du sol bien que n'ayant pas d'espace d'approche dégagé
; ne parvenant pas à rendre compte de l'absence d'impact sur le Pentagone, ils ont soustrait la
façade d'une partie de la simulation ; incapables d'élucider comment les réacteurs en acier trempé
avaient pu disparaître, ils ont postulé que le prétendu Boeing n'en avait pas ; incapables
d'élucider comment cent tonnes de matière avaient disparu, ils ont éludé la question.

      L'incapacité dans laquelle les scientifiques, mandatés par l'US Army, ont été de
reconstituer virtuellement la version officielle de l'attentat du Pentagone démontre a contrario
que cette version est scientifiquement impossible.
 

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      6 décembre 2002
 

      Postulat n°1 : « l'avion » volait à l'horizontale en rasant le sol
 

            Pour voler à l'horizontale en rasant le sol, il aurait fallu à l'avion un terrain
dégagé sur plusieurs centaines de mètres.
 

      Les scientifiques ont observé que l'impact sur la façade se trouve entre le rez-de-chaussée
et le premier étage du bâtiment. Ils ont constaté que seuls ces deux premiers niveaux ont été
endommagés à l'intérieur de l'immeuble (les étages supérieurs sont intacts et le sol n'a pas été
creusé). Comme le montre l'image ci-dessus qu'ils ont diffusé à la presse, les chercheurs ont donc
pris pour postulat que « le Boeing » était arrivé à l'horizontale en rasant le sol [1].

       Il est possible qu'un tel avion rase le sol de cette manière, c'est ce qu'on appelle
l'atterrissage. Mais pour cela, il lui faut un terrain dégagé sur une distance de plusieurs
centaines de mètres (Une piste d'atterrissage mesure entre 2000 et 2500 mètres. Selon le
constructeur, il faut 1500 mètres à un Boeing 757-200 pour atterrir dans ces conditions [2]). «
L'avion » ne disposait pas d'une telle piste d'atterrissage devant le Pentagone. Le bâtiment se
trouve en effet dans une zone vallonnée, construite d'immeubles d'habitation et traversée par des
autoroutes et des échangeurs.
 

      Postulat n°2 : « l'avion » n'avait pas de réacteurs

            Les scientifiques ont oublié deux détails qui permettent à un avion de voler et qui
sont les éléments les plus solides de l'appareil : les réacteurs.
 

      L'étude a été centrée sur la destruction des ailes du « Boeing 757-200 ». Il était en effet
paru surprenant qu'un avion de 38 mètres d'envergure pénètre dans un bâtiment par un orifice de 5
à 6 mètres de largeur.
      Une théorie avait été avancée par plusieurs « spécialistes » qui avaient affirmé que les
ailes s'étaient « rétractées » sous l'effet du choc. Les universitaires de Purdue expliquent,
quant à eux, que ces ailes étaient surtout composées du kérosène et que celui-ci s'est déversé
dans le bâtiment sans vraiment l'endommager.

       Les uns et les autres oublient deux petits détails qui se trouvent sur ces ailes et
permettent à un avion de voler : les réacteurs. Ces deux pièces sont les plus résistantes de
l'appareil. Elles n'ont tout simplement pas été prises en compte dans l'étude de Purdue (image
ci-dessus).
 
 

      Postulat n°3 : le Pentagone n'a pas de façade
 

            Les scientifiques n'ont pris en considération que les piliers du bâtiment et ont
oublié que la façade n'a été trouée que sur 5 à 6 mètres de largeur.
 

      Dans leur recherche, les scientifiques ont étudié la collision de « l'avion » avec les
piliers de soutien du bâtiment. Le directeur de la recherche, Mete Sozen, a particulièrement
insisté sur la spécificité de ces piliers, renforcés par une barre métallique en spirale, une
technique utilisée dans les années 40. « Le cercle d'acier, explique-t-il, a renforcé la solidité
des colonnes et a probablement permis de sauver beaucoup de vies » [3].

       Dans leurs recherches, les scientifiques n'ont pas pris en considération le fait que «
l'avion » devait auparavant percuter la façade, puis défoncer plusieurs murs internes. Ils ont
fait comme si la collision avec la façade n'avait endommagé ni celle-ci ni l'appareil. Ils ont
totalement évacué le fait qu'un Boeing 757-200, d'une envergure de 38 mètres et d'une hauteur de
12 mètres, ne peut entrer par un orifice de 5 à 6 mètres de large sans que ni les ailes, ni les
réacteurs, ni la queue ne provoquent la moindre trace d'impact.
 

      Postulat n°4 : l'antimatière existe

            « L'avion » se serait « écrabouillé ». Mais les scientifiques ont oublié de préciser
comment 100 tonnes de matière « écrabouillée » ont bien pu disparaître.
 

      Pourquoi y a-t-il eu si peu de dégâts sur l'immeuble du Pentagone ? L'étude de Purdue donne
une réponse à cette question : le « Boeing » a été réduit en poussière. « Á cette vitesse, l'avion
lui-même est comme une peau de saucisse [a sausage skin] », a expliqué Mete Sozen à la presse. «
Il n'était pas assez résistant et s'est virtuellement écrabouillé [crumbles] lors de l'impact »
[3].

       Si les scientifiques expliquent de cette manière l'absence de dégâts importants sur
l'immeuble, ils n'expliquent pas pour autant la disparition du prétendu « Boeing ». Ils oublient
que 100 tonnes de matière « écrabouillée » restent toujours 100 tonnes de matière. Qu'est devenue
cette matière ? En cherchant un Boeing, nos universitaires semblent avoir fait une grande
découverte scientifique : l'antimatière existe.

      L'équipe pluridisciplinaire de l'université de Purdue a échoué. Elle n'est pas parvenue à
élaborer une simulation de la version officielle des événements compatible avec les éléments
matériels. Pour satisfaire la commande de l'US Army (ARO, Contrat 39136-MA), elle a été contrainte
d'escamoter les questions posées par l'absence d'impact sur la façade et par la dématérialisation
de l'engin. À ce jour, la seule explication techniquement plausible de l'attentat reste donc celle
énoncée par Thierry Meyssan : le tir d'un missile et non le crash d'un Boeing 757-200.

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Date : Sat, 25 Jan 2003 11:51:53 +0100
     De : "mathieu callejon" <mathieu.callejon@libertysurf.fr>
  Objet : Re: Dites non a la guerre en Irak - Cyberaction Greenpeace

      Attentats du 11 septembre
      Quand Donald Rumsfeld déclarait qu'un « missile »
      a frappé le Pentagone.
      Un mois après les attentats du 11 septembre 2001, le secrétaire à la Défense des États-Unis,
Donald H. Rumsfeld, s'est laissé allé à des confidences lors d'un entretien réalisé au Pentagone
par Lyric Wallwork Winik pour Parade Magazine. Évoquant l'impossibilité des services de
renseignement de déjouer tous les types d'attaques terroristes envisageables, il avait précisé
qu'il avait été fait usage d'un « missile pour endommager ce bâtiment ».
 

      24 janvier 2003

 
      « Il est évident, avait déclaré Donald Rumsfeld, qu'un terroriste peut attaquer à tout
moment, à tout endroit, utilisant une technique d'attaque spécifique, et il est physiquement
impossible de défendre à tout moment chaque endroit contre tout type d'attaque imaginable. Nous
parlons ici de couteaux en plastique et de l'utilisation d'un vol d'American Airlines rempli de
nos concitoyens, et du missile pour endommager ce bâtiment et d'autres (inaudible) qui ont
endommagé le World Trade Center. »

      En octobre 2001, si des témoins avaient décrit un missile frappant le Pentagone, tous les
officiels avaient, au contraire, unanimement évoqué un Boeing 757. Le livre de Thierry Meyssan,
L'Effroyable imposture, publié en France le 11 mars 2002, avait été le premier à démonter la
version officielle et à expliquer que l'attaque n'avait pas été réalisée avec un avion de ligne.
C'est lors de sa conférence au Centre Zayed, devant les ambassadeurs de la Ligue arabe, le 8 avril
2002, que Thierry Meyssan avait révélé que l'attentat contre le Pentagone avait été perpétré au
moyen d'un missile à charge creuse. Des informations complémentaires avaient été dévoilées dans un
second ouvrage, Le Pentagate, le 24 juin 2002.

      Par trois fois, le département de la Défense avait dénoncé l'enquête de Thierry Meyssan. Une
partie de la presse française, préférant se rallier au mot d'ordre « Nous sommes tous Américains
», avait négligé la recherche de la vérité. Mais, avec le temps et compte-tenu de l'évolution des
rapports de forces internationaux, cette enquête a bénéficié d'une reconnaissance internationale
et sa diffusion a été soutenue par une douzaine de gouvernements.

       Le texte intégral de l'entretien est disponible sur le site internet du département de la
Défense des États-Unis :
      www.defenselink.mil/news/Nov2001/t11182001_t1012pm.html
       Par mesure de précaution, une copie est disponible sur notre propre site au format HTML :
      www.reseauvoltaire.net/image/pages/rumsfeld.htm
       Une seconde copie est disponible au format PDF sur le site de L'Effroyable imposture et du
Pentagate :
      www.effroyable-imposture.net/docs/IMG/pdf/doc-1073.pdf

       Sur le même sujet, lire notre article : « L'US Army échoue à élaborer une simulation
crédible de l'attentat du Pentagone » : www.reseauvoltaire.net/article8737.html

 
    Article suivant : Rumsfeld cible la France et l'Allemagne
 

            Extrait de l'entretien

            Question : Il y a une question que se posent de nombreux Américains, mais surtout les
veuves du 11 septembre. Comment avons-nous pu rester si assoupis face à cette menace ? Comment une
guerre visant des civils a-t-elle pu arriver sur notre territoire national sans avertissement
apparent ?

            Rumsfeld : Il y a eu des avertissements. L'information en provenance des services de
renseignement que nous obtenons, elle provient parfois de l'analyse de centaines d'alertes ou de
renseignements confidentiels par semaine. Si l'on veut s'intéresser aux affaires internationales,
cela concerne des milliers de documents. Et le travail consiste à recenser tous ces documents pour
voir ce qu'on peut en tirer. Et au fur et à mesure que vous trouvez des éléments d'information,
les autorités chargées de faire respecter la loi, qui ont la responsabilité de s'occuper de ce
genre de choses - le FBI au niveau fédéral, même si, comme vous le savez, c'est plus un service
d'enquête qu'une véritable force de police fédérale. Mais les autorités chargées de faire
respecter la loi au niveau fédéral et au niveau local sont chargées de s'occuper de ce type de
questions.

            Elles trouvent beaucoup de choses et de nombreux efforts terroristes ont été déjoués,
dissuadés ou arrêtés grâce à une bonne collecte d'information par les services de renseignement et
un bon travail préventif. Il est évident qu'un terroriste peut attaquer à tout moment, à tout
endroit, utilisant une technique d'attaque spécifique, et il est physiquement impossible de
défendre à tout moment chaque endroit contre tout type d'attaque imaginable. Nous parlons ici de
couteaux en plastique et de l'utilisation d'un vol d'American Airlines rempli de nos concitoyens,
et du missile pour endommager ce bâtiment et d'autres (inaudible) qui ont endommagé le World Trade
Center. La seule manière de régler ce problème, c'est de livrer une guerre aux terroristes, là où
ils se trouvent, et de s'occuper d'eux.
 

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