Rêves3
Un Beau petit rêve
Rêve Important (20190101)
Un petit chien
Assassinat (15-01- 2019)
Ministre de la Justice et Procureur général du Canada
  L'honorable Jody Wilson-Raybould et son commissaire Marc A. Giroux

Un Beau petit rêve

    J'avais fait déjà fait plusieurs rêves intenses cette nuit là quand je suis arrivé à celui-ci. D'un bout plus banale et ordinaire, je me suis rendu près d'un certain boisé donnant accès aux montagnes et à la nature plus isolée des humains. Je voulais y accéder et faire un peu d'exploration car j'aime bien la visiter seul, sans contrainte et sans obligation particulière. Je venais de quitter un groupe d'humains en chicane larvée et je voulais avoir la paix pour un moment. Rendu dans un terrain vague au milieu de la forêt, je réalisai le fait que je devais rêver et que, dans un tel cas, je pouvais très bien m'élever dans les airs si c'était vrai. En faisant l'effort de m'envoler, tout deviendrait évident.

    Ainsi, je m'élevai et regardai le décor de plus en plus en hauteur, par dessus les arbres d'abord, puis les collines et les montagnes. C'était vraiment isolé et accidenté. J'ai sans doute franchi une grande distance, car je me suis mis à observer un terrain complètement dépourvu d'arbres et même de végétation pendant une longue période et distance. Je commençais même à m'en inquiéter car je ne connaissais pas d'endroit aussi vaste avec un couvert rocheux. Je voulais prendre mon temps et bien observer les détails pour ne pas m'éveiller par manque d’intérêt et de concentration.

    Puis, une sorte de noirceur s'installa graduellement et je survolais le tout de plus haut. J'avais l'impression de capter dans l'espace ambiant une émission de radio qui fini par m'indiquer où je me trouvais. Elle disait aux auditeurs qu'ils étaient les bienvenus dans le Grand Nord. Je compris donc pourquoi il faisait tout le temps noir sur une longue période et un grand espace. Cela correspondait à une certaine période de l'année canadienne entre autre.

    Je décidai de changer de direction et de revenir plus vers les régions éclairées. Les dénivellations de terrain étaient spectaculaires, époustouflantes. J'arrivais à monter avec grande facilité par-dessus les pics et j'en profitais.

    Je finis par me trouver au bord d'une très longue bordure, une dénivellation d'environ 500 pieds de hauteur sur plusieurs kilomètres de largeur. J'étais ravis et surpris de pouvoir voir cela et je pris le temps d'en jouir et de réaliser le privilège que j'avais enfin. La lumière revenait comme pour le matin. Je descendis pour me rapprocher des basses terres et du retour de la foret et des endroits sauvages.

    Bizarrement, j'ai commencé à percevoir comme un tumulte de communication au niveau du sol. Puis, je vis des petites plantes en développement qui bougeaient et qui semblaient être les auteurs de dialogues entre-elles. Je savais que, dans l'état où j'étais, je  pouvais communiquer avec elles. C'était des carottes. Alors, je me suis approché de la surface de la terre et j'ai commencé à leur poser des questions pour savoir comment elles se sentaient; ce qu'elles pensaient des humains. J'ai J'ai dû leur dire ce que j'étais moi-même. L'une d'entre-elles m'indiqua qu'elle considérait les humains comme des pieds.Sans doute parce que nous avons l'habitude de marcher sur terre et sur la végétation avec nos pieds et que c'est par là qu'elles ont un contact avec nous. Je les quittai en disant à l'une qu'elle serait une belle carotte, bien longue.

    Puis, je poursuivis mon voyage encore un peu et aboutis à la lisière d'un autre boisé plus touffu. Il semblait y avoir comme une petite guerre entre deux groupes d'animaux, dont l'un avait faim. Je me suis approché d'eux pour tempérer les ardeurs et essayer de les calmer et de leur faire entendre raison en quelque sorte.

    Pour les affamées, je leur ai dit que j'allais chercher ce qu'il leur fallait. Alors, ils m'ont expliqué que dans l'autre groupe(camp) il y avait des orphelins. Ils sous-entendaient qu'ils pourraient très bien s'en procurer un.

    Arrivé dans l'autre groupe, à peu de distance en fait, j'en attrapai un, le pris dans mes bras et le soulevai gentiment de terre. Je ne voulais pas lui mentir sur mes intentions, mais il eut rapidement la réflexion de me faire savoir que si ces individus avaient fain, que cela était correct, qu'il était d'accord avec cette démarche, avec cette procédure...
 

Rêve Important (20190101)

    J'étais entouré d'environ sept personnes bien baraquées, semblant  exercer un métier de contrôle et très affairées dans un lieu sans murs apparents. Tout semblait inconsistant. Comme si la conscience n'en tenait plus compte et ne se concentrait que sur les personnes environnantes et leur activité semi-oppressante pour d’éventuels pris en faute. Je me demandais ce que je faisais dans ce décor et si j'allais devenir un des pris à parti et pourquoi, car je ne me sentais pas en faute, mais on ne sait (connait) jamais les motifs d'agissement de ces gens-là.

    Puis, le décor changea par un saut spatial. On était à l'extérieur, près d'une immense tente de forme rectangulaire, d'un blanc immaculé et resplendissant. Jamais je n'avais vu un tissu aussi blanc et flamboyant. Cela attirait  beaucoup mon attention. Il était d'une nature souple, solide et malléable. Il obéissait aisément aux fonctions qu'on lui donnait: comme toile d'entrée, par exemple. Ainsi, se forma un rectangle d'une certaine dimension devant moi, rassemblant et concentrant ce tissus jusqu'à en faire un antre restreint et longiforme, où des hauts responsables se réunirent bien isolés et à l'abri de tous pour prendre de graves décisions et établir des projets conséquents à leur désir hégémonique. D'entièrement fermé et secret, ce lieu s'ouvrit et nous laissa voir, à l'intérieur, ce petit espace d'une trentaine de pieds de longueur sur environ une dizaine en largeur. J'avais un peu l'impression que ce tissu était vivant en voyant le décor se transformer et je me rendais compte de l'aspect inusité de ce monde.

    Mais j'étais très occupé par ce qui s'y faisait, et surtout fasciné par cette blancheur persistante. Tout d'un coup, on voyait un drap blanc, lui aussi, recouvrant le sol sur lequel s'était fait les discussions, la cérémonie discutatoire à même ce tapis. Quelqu'un s'était penché pour ramasser un petit morceau de déchet pour y déceler une quelconque information. Mais, il n'y avait rien à se mettre sous la dent.

    Ce petit antre(tente) disparut et nous aperçûmes la grande tente et son intérieur, comme si une grande fente centrale nous le permettait du côté où je me trouvais. On y voyait une immense table , rectangle et, bien entendu, recouverte d'une nappe du même blanc lumineux. En son centre se tenait un personnage plus grand et plus important que les autres et qui déblatérait ses directives hégémoniques.

    À l'extérieur, où je me trouvais moi aussi, est apparus une dizaine d'enfants, d'adolescents au travers des premiers contrôleurs du début. Puis, on entendait résonner dans l'air le son d'une voix que quelqu'un avait émis, et qui prétendait qu'il avait produit un résultat vrai et véridique dans tel ou tel projet, suivi bientôt d'autres affirmations, d'autres provenances, et qui insistaient sur l'aspect véridique, réel et véritable de l'accomplissement, de la réalisation. À chaque fois, on attendait de voir ce qu'en dirait le personnage central de la table d'honneur et de décision. Chacun y allait de sa réalisation qu'il affirmait être meilleure et plus véritable que celles des autres. On sous-entendait un ''faire'' et un ''non faire'' dans cette discussion-proclamation.

    Alors, j’eus une idée brillante pour rentrer dans la danse. Car moi, je n'avais justement rien fait et je voulais le leur faire savoir comme étant ma réalisation véridique et véritable. J'ai interpelé plusieurs fois l'auditoire de la table centrale, sans être entendu semblait-il, même si j'insistais de plus en plus fortement.Je savais que personne ne pouvait contredire cela.

    J'ai fini par avoir le droit de parole et ce fut là le bout le plus important et significatif du rêve, car j'y étais très présent et je devais y bien peser tous les mots prononcés.

    Quand j'ai commencé à m'exprimer, on sentait une grande importance et crainte s'installer. De nombreux adolescents se mirent à apparaître autour de moi au fur et à mesure que j’alignais mes choix de mots. Ils mettaient même de la pression pour que j'ose en utiliser certains plus extrêmes et percutants que d'autres. À chaque mot choisi, j'arrêtais un instant, réfléchissant un peu et posant mon attention sur ce groupe d'enfants, avant de poursuivre. Je me souviens d'avoir utiliser, repris, les concepts de réel, véritable, véridique.

    Toutefois, la vérité de mes propos, durant leur prononciation et explication, faisait disparaître les convives de la table centrale. Et tout d'un coup, en me retournant, j’eus la surprise de ne plus voir personne à la table et dans la grande tente. Le côté opposé, derrière la table, avait disparu, laissant apparaître, au loin, une nappe de sable qui terminait l'horizon et où on voyait la dernière jambe stylisée et arquée de la dernière personne en fuite (à se sauver). Même son tronc avait disparut avant ses jambes. Le décor était digne d'une bande dessinée.

    Ma première idée fut de penser que mes propos ne les intéressaient vraiment pas et qu'ils ne voulaient même pas prendre le temps de les écouter, contrairement aux adolescents avides de les entendre. Eux étaient toujours là, près de moi, à l'extérieur de cette tente éventrée, au décor hallucinant.

    Et bien non, ce n'était surement pas ça l'explication. Ils avaient eu si peur, ils étaient si effrayés qu"ils ont pris la poudre d'escampette. Ils ont pris les jambes à leur coup et se sont enfuis aussitôt qu'on leur a parlé de vérité. C'est ce qui leur a fait royalement peur, qui leur a donné la frousse de leur vie et les a faits disparaître.

    Pensez aux tombeaux blanchis. Pensez à la Maison Blanche des USA. Un président Trump, tout seul, dans un lieu évidé. Pensez aussi aux rats qui quittent le navire qui s'apprête à sombrer. Hé! Oui! De grands changements nous attendent pour 2019 qui s'annonce à nos portes. Et s'il s'agissait du Temple de Salomon, très malléable dans le temps et qu'on veut reconstruire, et de ceux qui s'en réclament et qui veulent continuer à faire la Loi et à l'imposer, en imposteurs qu'ils sont, et dans la fausseté!!!

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Un petit chien

    Le début reste un peu flou. Par sensation, je dirai ceci : J'étais dans un rêve mondain où il y avait une multitude de personnes, que je ne connaissais pas, mais que l'on rencontre quand on fréquente un Centre d'Achat, sur les trottoirs ou dans la rue. J'avais perçu un petit chien tout beau, tout gentil. Il accompagnait une femme. Je ne sais pas comment ni pourquoi je savais qu'il avait besoin que quelqu'un s'occupe de lui. Là s'était le cas pour le moment. Mais, ce ne fut pas toujours ainsi et il semblait que sa tranquillité allait bientôt prendre fin. Alors, je pensais que ça lui prendrait une personne de remplacement, qui lui plairait, qui correspondrait à ses goûts personnels. J'ai même commencé à chercher une femme gentille dans la foule.

    Puis, je me suis retrouvé avec sa laisse (laisse) dans les mains, pendant un bout de chemin. Cette laisse que tenait une femme auparavant, pour ne pas le perdre dans la foule, c'était temporaire et je pensais toujours à lui trouver quelqu'un pour prendre la relève. Puis le rêve pris une autre tournure.

    Je pris le chien dans mes mains et commençai à démêler la corde qui l'enserrait. Elle était enroulée autour de tout son corps et très mêlée. Le me mis à défaire ce méli-mélo. Puis, tirant à un endroit bien précis, tout en espérant intérieurement que ça se ferait facilement comme par miracle même, la corde se démêlait, et s'allongeait de plus en plus. J'étais contant de la facilité avec laquelle cela se faisait et j'espérais, ainsi, réussir complètement à tout démêler. Ayant fini, je décidai de le laisser partir en souhaitant qu'il trouverait rapidement quelqu'un dans la foule qui voudrait bien s'en occuper.

    Mais, Ho! Surprise! Il avait pris mes doigts dans sa petite bouche, s'y accrochant gentiment avec ses dents, sans vraiment les mordre; mettant juste assez de pression pour que je puisse le lever de terre. Alors, je le pris et lui flattai le derrière de la tête, le déposai par terre tout en laissant trainer la corde par terre qu'il conservait toujours autour du coup. Bizarrement, je percevais maintenant deux cordes, démêlées, une à côté de l'autre, en parallèle, laissant ainsi ce petit chien face à une nouvelle vie, à sa propre recherche.

    Quand je me suis réveillé, je savais de quoi il s'agissait. Ce petit chien n'était qu'un symbole et représentait un individu humain qui était perdu sans ses deux liens directionnels entre les mains de deux autres humains pour s'en occuper. Le rêve indiquait l'état réel de la situation en cause et nous permettait de voir clair dans l'expérimentation en cours. On peut peut-être faire preuve de plus de patience et de tolérance, moins d'animosité et plus de compréhension.

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Assassinat (15-01- 2019)

Endroit : difficile à reconnaître; à l'extérieur de la maison de mon enfance, dans la cours (indiquant par là l'implication du Canada).

    Il y avait deux groupes de personnes. L'un, à ma droite vers le maison, visait l'autre, à ma gauche vers le chemin, dans son action de destruction préparée et appréhendée.

    Une tête mis en évidence chez l'autre. Un chef (à droite) donnant des ordres à des assistants tout autour de lui (j'en voyais trois dans mon champ de vision). Il tenait comme un long fusil ou tube bizarre, pointé sur la tête de l'autre personnage de gauche du groupe opposé et attendait le bon moment. Je ne savais pas si c'était un instrument de vision seulement , pour surveiller, photographier ou tirer un projectile que je sentais imminent. La menace venait aussi de la part de ses assistants. Le personnage s'en venait directement vers eux.

    J'avais l'impression de ne pas percevoir clairement ce qui séparait les deux groupes, comme si l'espace était comprimé ou occulté. De telle sorte que, même en marchant vers l'arme pointée sur lui (l'homme visé), il ne s'en approchait pas vraiment, pas significativement.

    Le chef agresseur, dans l'autre groupe, pointait toujours son curieux de tube sur le front de la tête visée qui lui faisait face. Il regardait à travers ce tuyau, l’œil bien appuyé sur le bout, et dit tout à coup : '' Non, arrêtez (s'adressant à ses hommes de mains, dans des costumes noirs de soldat), il faut prendre et/ou envoyer la photo(image). Il faut toujours faire ça d'abord et attendre la permission finale.'' Puis, il s'accomplit avec minutie et dit presque aussitôt: ''Terminez le Juteux!''. Comme pour donner la directive de finir la job, la mission, l'apparence à donner au décor.

    En même temps, je voyais la tête du visé avec quelque chose sur le front et comme du sang étalé derrière lui, un peu autour, comme résultat.

    Immédiatement, je vis, dans un autre décor, quelqu'un arrachant comme une petite plaque de métal sur le front de la victime, d'un petit trou, tout en disant : ils (les autorités) n'enquêteront même pas, en sous-entendant que ce modus operandi était déjà connu et qu'ils étaient au courant de ce genre de situation.

Interprétation possible

    Le décor du rêve, m'indique la possibilité qu'il s'agisse du Québec et du Canada, que ce soit un assassinat politique et qu'il pourrait s'agir du ''Juteux : Justeux'' , peut-être ''Justin'' ou ''Juste eux''. Comme pour René Lévesque, le long couteau (scalpel par impulsions électro-magnétiques) aurait été utilisé. Il s'agit d'un ''instrument médical'' qui permet de faire des incisions dans le cerveau sans couper la peau ni la boîte crânienne. Ni vue, ni connue, ni perçue, l’opération est faite à distance et sans conséquence pour les opérants. Ainsi, Ils ont pu agir impunément encore une fois.

    On peut faire du jus de cervelle sans être détecté. Une cervelle bien juteuse, pour le Juteux!

    Encore une fois, quelqu'un va se faire bousiller le cerveau par cette arme secrète entre les mains des militaires et pour leurs petits jeux de coulisse.

    Le rêve indique aussi l’existence et l'usage de la reconnaissance faciale et d'un certain contrôle à distance centralisé (ordre et instrument).

    Dernièrement, on nous a fait mention de quelques cas de rennes malades, ayant des dysfonctionnements du cerveau, ressemblant à l'effet de la maladie de la vache folle, elle-même atteinte de trouble du cerveau. Certains cas aux États-Unis, puis au Canada. Les autorités on procédé à des abattages sélectifs d'importances chez ces troupeaux. Y aurait-il, une expérimentation chez les animaux d'abord pour mettre au point une démarche massive devant s'appliquer en bout de ligne aux humains, dans le cadre du programme d'une grande exterminations d'humains en trop sur Terre en conformité avec un projet en cours depuis l969. Un des aspects de cette tuerie massive, consisterait à faire croire en une maladie contagieuse atteignant les humains et se  logeant dans la tête et affectant le cerveau. Aussi, pour l'éradiquer en toute urgence, il faudrait couper la tête des gens atteints et les détruire. De là, des trains entiers, pleins de guillotines et de poteaux avec menottes auraient déjà été mis aux points et gardées au secret sur des rail de chemin de fer à des endroits stratégiques aux USA, par exemple. Avec leurs 8000 camps de concentrations déjà bien organisés, qu'ont-ils vraiment prévu?

    Une guerre qui pourrait provoquer artificiellement des zombis à profusion, en bousillant le cerveau des humains ciblés, puis en les craignant comme la peste, que pourrons-nous y faire. Qui pourra ou même osera s'opposer à ce funeste destin de leur congénères.

    Et si les Satellites étaient mis à contribution dans ce sinistre projet (ou perspective). En Chine, la reconnaissance faciale est largement mise en place et utiliser pour contrôler les gens. Une flopée de Satellites seront bientôt en place. Pour les USA, c'est déjà fait. L'Angleterre est bardée de caméras dans les villes. Au Québec, on demande d'enlever nos lunettes, et on prends des photos en noir et blanc pour les permis de conduire et les cartes d'assurance santé. Ce sera plus facile pour les instruments électroniques et la programmation interprétative de reconnaissance faciale pour identifier les gens. On y a aussi mis au point l'obligation d'enregistrer les armes afin de savoir qui en a et où elles se trouvent. Les Satellites seront-ils doter, si ce n'est pas déjà fait, de ''longs couteaux'' avec la reconnaissance faciale, ils pourront repérer une cible puis faire un peu de gibelotte avec son cerveau, le zombifiant et l'exposant à la vindicte populaire, personne ne voulant ni ne pouvant le défendre. Les individus en particuliers et les populations en général sont bien fragiles laissés entre les mais de la technologie et de dirigeants mal intentionnés.

    Me suis-je inquiété prématurément, et tout cela est-il sans fondement aucun?

    Mon rêve était le dernier de la nuit, ce qui indiquait sa matérialisation imminente. C'est pourquoi, et par habitude, je m'attendais à en entendre parler aux nouvelles de Radio-Canada. Durant la journée, elles ont effectivement mentionné l'enlèvement du canadien de Nouvelle-Écosse ''Kirk Woodman'', géologue, au Burkina Fasso (en Afrique de l'Ouest). Je ne connaissais pas cet individu, mais la télévision nous le montrait avec des lunettes. Aussi, j'ai cru quand même le reconnaître d'après le souvenir que j'en avais gardé. Je  savais déjà qu'il serait tué.

    Puis, le jour suivant, au matin, on nous annonçait que le géologue Canadien, enlevé au Burkina Fasso, avait été retrouvé mort, criblé d'une centaine de balles (de quoi faire une belle gibelotte). Son enlèvement, par un groupe d'une dizaine d'hommes lourdement armés, s'était concrétisé par ''Terminez le Juteux''. Les autorités des deux pays prétendent nettement vouloir tout faire pour trouver les coupables. Mais mon rêve indique bien que ce ne sera pas le cas. Il n'y aura pas d'analyse de ce qui concerne la tête. Les autorités savent déjà ce dont il s'agit: un meurtre ciblé et commandé avec une vérification d'identité suivi d'une autorisation (d'un ordre) de procéder; un suivi de protocole quoi, une sorte de routine connue, reconnue et pratiquée allègrement...

    Désolé pour les Âmes sensibles !
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Ministre de la Justice et Procureur général du Canada
L'honorable Jody Wilson-Raybould et son commissaire Marc A. Giroux

     C'est comme si je me trouvais en dessous d'un haut Plafond duquel je regardais vers le bas se trouvant en pleine noirceur et sans fondement précis. Puis, très vite est apparue une femme, de nulle part, qui commença à descendre rapidement en tournant sur elle-même comme une poupée indienne, entourée de plusieurs  vêtements et retenue par une ficelle invisible. Je m'inquiétai tout en pensant qu'il s'agissait peut-être d'une sorcière, car elle ne paraissait pas désarçonnée. Je me demandais jusqu'où elle descendrait et sur quoi elle atterrirait, quand, enfin, un plancher de ciment est venu mettre fin à sa chute. J'ai tout de suite pensé à un sous-bassement d'immeuble assez grand et peu éclairé. Elle paraissait très agitée et préoccupée par une poursuite active. Elle ne savais pas où se précipiter et se mit à tourner autour de son point d'atterrissage, comme si une force occulte l'y retenait, ou l'y obligeait.

     Puis, du plafond d'où j'observais la scène, je vis à ma gauche un homme, la poursuivant, arriver et se précipiter vers elle. On percevait son emprise occulte sur elle, son pouvoir de contrôle qui déterminerait son avenir immédiat. Peu de temps auparavant était apparue près d'elle une autre personne qui lui sembla liée par affinité et qui partagea son sort anticipé, tournant autour d'un point commun, une marque apparaissant au sol.

    Assez vite, les sensations d'oppression prirent l'apparence de deux immenses casseroles (de pain ou de gâteau) aux demis-fonds noircis (brûlés) devant recueillir ces 2 corps et être mis au fourneau. Je m'étonnai de la facilité d'immobilisation de la femme, qui semblait incapable de se défendre, tout en me demandant pourquoi il en était ainsi, car rien ne semblait l'empêcher de se débattre.


    Puis, on transita à la scène où elle se faisait attacher  les mains dans le fond de son plat où des anneaux de rétention l'y attendaient déjà. Tout cela faisait partie d'un modus operandi à répétition, prévu d'avance et par lequel plusieurs personnes y étaient déjà passées: ce que les restants noircis au fond des casseroles indiquaient clairement et laissaient à penser au cas où on en douterait.

    Au cours du processus, la deuxième personne disparue avant d'être elle-même immobilisée dans sa propre casserole. Sentant la fin proche, je percevais déjà la grande ouverture de l'antre aux feux brulant et rougeoyant prêts à recevoir les casseroles. L'attachage de la femme terminée, l'homme pris le bac et l'achemina dans le four et le plaça un peu à droite, derrière un pan de mur, indiquant par là-même la grandeur du four. Ne voyant plus la femme, près du feu ardant, je l'entendais se lamenter, tout en pensant qu'elle ne pourrait pas survivre à ce supplice bien longtemps. Dans un dernier sursaut d'énergie, elle cria avec rage : ''Espèce de fumier''. Puis se tue définitivement.


    En dehors du four, se tenait l'homme puissant, se tenant les 2 mains, impatient de voir ce travail enfin terminé, pour pouvoir passer à autre chose, sans aucune considération pour la femme mise à ''cuire''.

    Ce fut toute une dégringolade du plafond vers le bas pour Madame Jody Wilson-Raybould. Ici, le symbolisme est patent. Les différents ministres qui ont passé par leur ministère ont laissé des traces indélébiles et noircies au fond de leur casserole; des résidus de leurs passage. Ils se sont brûlés au travail. Du moins, c'était là une perception qu'elle en avait et qui l'oppressait terriblement. Ses dernières paroles indiquaient bien sa hargne au responsable de sa mauvaise posture. Je fis ce rêve le premier jour où commença publiquement son aventure en relation avec SNC Lavalin (gestionnaire).
 
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