A paraître le 2 janvier 2003
http://www.jp-petit.com/nouv_f/Livre_JPP.htm

Voilà la maquette de la couverture de mon livre, susceptible de remaniements. Idem pour le titre.
Le dessin de couverture est censé représenter le X 47 A.
Le titre exact devrait être "OVNIS et armes secrètes américaines".

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Un ajout en date du 4 novembre 2002 : Suite à l'enregistrement d'une interview de 45 minutes pour la télévision
Canadienne.

Une chaîne de télévision canadienne a envoyé une équipe qui s'est promenée dans différents pays, dans en France, pour
constituer un dossier sur les sujets OVNI et l'affaire Ummo. Je n'étais donc qu'une des différentes personnes interviewées. Mon interview avait été programmée pour 45 minutes. Les journalistes se sont d'abord étonnés de me voir refaire surface après un silence de sept années. Je m'en suis expliqué. Je crois que le temps est venu d'expliquer deux choses au public :

1 - Les Américains gèrent le dossier OVNI avec la plus grande attention depuis plus d'un demi-siècle et en exploitent
maintenant les retombées sous forme de percées technologiques entièrement axées sur les armements. Les Russes savent également à quoi s'en tenir depuis aussi longtemps qu'eux, mais leur effondrement économique les a empêché de cueillir ces fruits.

2 - Dans les autres pays technologiquement développés (si on excepte peut-être la Chine) tous les gens sont restés hors du coup pour plusieurs raisons. Ils ont d'abord été très sensibles à la puissante politique de désinformation distillée par les Etats-Unis dès la fin des années quarante. Le travail de discrédit opéré par les américains a été tout à fait remarquable. Ne disposant pas, à la différence des USA (pour ce pays dès la fin des années quarante), de preuves tangibles susceptibles d'entraîner la conviction, les autres pays, à commencer par les européens, sont restés des décennies dans l'expectative. Si la prise de conscience commence (en France, rapport COMETA, 1999) elle est beaucoup trop tardive et le retard est devenu maintenant irrattrappable.

Le journaliste canadien qui m'interviewait m'a dit :

- Vous êtes très décrié par vos collègues.
- Par qui, en particulier ?

Sa réponse m'a beaucoup surpris car il m'a alors cité non un authentique scientifique mais un personnage qui, en dépit de ses responsabilités, ne saurait mériter un tel qualificatif. Et c'est là qu'on voit qu'il est grand temps d'éclairer le public. En France le dossier OVNI n'a jamais été géré de manière réellement scientifique. Les gens se font des illusions sur ne niveau de réflexions qui "animent les hautes sphères de l'état et de l'armée". Comme le montrera mon livre, ces gens... ne savent rien, ou pratiquement rien. Ils ne disposent que de "quelques résultats d'analyses troublants", qui ont émergé ce la chaîne :

      public ----> gendarmerie ----> SEPRA -----> laboratoires de l'ETCA (Etablissement technique Central de
                                            l'Armement)

Les militaires français sont totalement ignorants des avancées réalisées par les Américains en matière de MHD appliquée à la propulsion sous-marine et au vol hypersonique. Fin octobre se tenait en France le salon "Euronaval", sorte de foire exposition où les marchands de canons français peuvent proposer leur production aux émissaires des pays étrangers dont, entre autre, les Saoudiens. Un journaliste aéronautique qui s'y était rendu questionna des experts français en matière de torpilles. Apprenant (ce que j'avais déjà dit en conférences en dans une émission de radio) que, selon moi, les Américains disposeraient de torpilles MHD pouvant atteindre deux ou même trois mille kilomètres à l'heure le spécialiste répondit :

- Des torpilles allant à une telle vitesse seraient totalement inexploitables.

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Ci-après un extrait d'une plaquette diffusée à Euronaval par la société américaine Commander (Naval Sea Systems
Command) 614 Sicard Street, SE stop (7015) Washington Navy Yard, DC 20376-7015 (il y a même une numéro de
téléphone : 202-781-1129)

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Sur la droite, la torpille "Supercav", propulsée par réaction, allant à "plus de deux cent noeuds" (plus de 370 kilomètres à l'heure). A l'extrêmité avant l'orifice d'ejection du générateur de gaz, signalé par une sorte de dard rouge. C'est ce gaz à haute température qui, en se mélangeant à l'eau de mer entoure la torpille d'une bulle de vapeur, phénomène qui n'a en fait pas grand rapport avec ce qu'on appelle classiquement la cavitation et qui avait fait croire au journaliste de Sciences et Avenir Larousserie qu'il suffisait de déplacer la torpille très vite dans l'eau pour que le phénomène de cavitation crée cette ambiance gazeuse en réduisant la traînée.

La remarque du spécialiste français me rappelle le commentaire du général Gallois dans les années soixante-dix, lorsque j'avais abordé pour la première fois à la radio, lors d'un face à face, le problème de la "guerre des étoiles" :

- Les propos de Jean-Pierre Petit me semblent être un parfait exemple de désinformation. Comment voulez-vous atteindre une cible d'un mètre à mille kilomètres de distance !?

( Gallois se recycla remarquablement rapidement et publia un peu plus d'une année après un livre, aux Editions Fayard,
intitulé "la Guerre des Cente Secondes).

On peut également penser à la réaction des militaires français qui, en 1910, avait vu fonctionner la première mitrailleuse française (Hotchkiss). Voyant que celle-ci avait complètement vidé une caisse de balles en une minute il s'écrièrent :

- Cette arme est totalement inutilisable : elle consomme beaucoup trop de munitions !

Se faisant l'écho d'un mail qui a fait pas mal de chemin depuis six mois, sans citer son auteur que nous connaissons, le
journaliste a continué :

- Quelle réponse faites-vous à ceux qui disent que vous faites du délire technologique ?

- En 1976 j'avais été le premier non-Américain à voir de mes yeux les premiers lasers au néodynme développant une
puissance d'un térawatt (un million de mégawatts). Quand je revins du Lawrence Livermore Laboratory les spécialistes
français furent unanimes à qualifiier ces propos de "délire technologique", alors même que je ramenais d'excellents
clichés couleur de ces installations, que Science et vie (qui m'avait envoyé là-bas) refusa de publier, croyant à une
mystification (l'article fut entièrement rewrité, à la demande du rédacteur en chef de la revue, Philippe Cousin par la
journalistre Françoise Harroy-Mounin). En effet à l'époque, en Europe, une puissance laser de quelques mégawatts
(lasers au CO2) semblait le maximum envisageable. Dans un autre ordre d'idées on trouve aujourd'hui dans tous les
journaux une description, bien souvent schématique, de bombes (ou de missiles) "électromagnétiques". Les générateurs
équipant ces engins sont des systèmes "à compression de flux", développant couramment des centaines de millions
d'ampères. On trouve dans Internet une description plus détaillée de tels sources, que j'avais déjà décrites dans mon
livre "Les Enfants du Diable" page 303, en 1995, c'est à dire il y a sept ans. Je précise que ce livre avait en fait été écrit
dix ans plus tôt, c'est à dire il y a dix sept ans, à la demande de l'éditeur Olivier Orban, lequel refusa de le publier, étant
donnée l'énorminé des propos avancés. Le manuscrit resta ainsi dix ans sur une étagère jusqu'à ce que les Editions Albin Michel envisagent d'en faire un livre. Ces travaux ont été présenté en France en 1984 dans un livre regroupant les
travaux d'Andréi Sakharov, publié par les éditions Anthrops, c'est à dire il y a dix huit ans. Pour être encore plus précis,
les systèmes à compression de flux ont été expérimentés par les Russes dès 1952, c'est à dire il y a .. un demi-siècle !
Vous voyez donc le temps qui s'écoule entre le moment où une première mention d'une avancée peut être faite et celui où ces idées "passent dans le domaine public". Quand j'ai publié mon livre "Le Enfants du Diable" certains concepts qui s'y trouvaient présentés ont été qualifiés par les spécialiste de "délire technologique". Il s'agit donc d'une réaction tout à
fait normale. Je pense que certains concepts évoqués dans le livre que je vais publier ne commenceront à être assimilés
et admis dans la sphère technico-scientifique française ou même européenne que dans sept à dix ans, voire plus.

S'il y a une chose que les lecteurs de mon livre pourront retirer de sa lecture c'est l'impression du gap totalement surréaliste qui existe entre le niveau des études et des réflexions menées en France (milieu ufologique, SEPRA, rapport COMETA) et ce qu'on put retirer les militaires américains de l'étude du dossier OVNI depuis plus d'un demi-siècle.Soyons honnêtes, les yankees nous ont sacrément possédés (comme deviné par les auteurs du rapport COMETA en 1999).

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Je n'avais pas sorti d'ouvrage consacré au sujet OVNI depuis 1995, depuis sept longues années. Retour en force prévu avec "des balles neuves", comme on dit à Roland Garros.

Dans ce livre, je vais m'engager à fond et répondre à un certain nombre de questions que les gens se posent, en fournissant des arguments à l'appui.

- Les gouvernements nous cachent-ils des choses importantes, concernant le dossier OVNI ? La réponse est oui.

- Certains gouvernements ont-ils l'intime conviction que les OVNI sont des machines d'origine extraterrestre ? Même
réponse.

- Les Américains ont-ils récupéré des épaves d'ovni à la fin des années quarante ? Réponse positive. Il s'agissait d'une
navette hypersonique.

- Des recherches ultra-secrètes ont-elles été engagées dans certains pays, directement liées au dossier OVNI. Oui, aux USA et en URSS. Les Russes ont dû abandonner faute de moyens.

- Y a-t-il eu désinformation ? Oui, les Américains ont mis en oeuvre un vaste plan de désinformation à échelle planétaire, qui a fonctionné au delà de toute espérance (ils ont été fortement aidés par le scepticisme des communautés scientifiques des différents pays). Les Européens, en particulier, sont tous tombés dans le panneau, sans exception. Cette désinformation a eu différentes conséquences. Dans les différents pays les recherches de MHD ont été abandonnées au début des années soixante-dix. Alors qu'il n'y avait rien d'apparent (pas de thèses, pas d'enseignements, pas de contrats avec les universités) les Américains ont dès ce début des années soixante dix développé des "black programs" axés sur la MHD avec des budgets équivalent à Appolo ou Manathan, dans le plus complet secret (en particulier dans les tréfonds de l'aire 51).

- Des recherches secrètes ont-elles abouti, directement inspirées par les informations tirées de l'examen d'épaves d'ovnis ? Oui, l'engin de Roswell a pu, dans ses grandes lignes, être reconstitué (même si l'ensemble des concepts n'a pas été géré). Ce faisant les Américains ont "franchi le mur de la chaleur" de manière spectaculaire et ont réussi à maîtriser les problèmes liés vol hypersonique sans traînée d'onde (opndes de choc). En Europe les "spécialistes" se déclarent sceptiques, qualifiant certaines idées américaines de "farfelues" et s'appuyant sur le fait que "les lois de la physique sont les mêmes partout". Attitude compréhensible dans la mesure où, pour reprendre le mot de Rémy Chauvin "le spécialiste est celui qui ne se doute de rien". Et c'est le cas. Tous les militaires européens sont en train de découvrir avec effarement et inquiétude l'avance américaine en matière d'armements de pointe. Cette inquiétude se manifestait très clairement dans le rapport COMETA, en 1999. Voir ces extraits.

Les gens de COMETA n'avaient que de vagues informations, émanant des services secrets français. En 2001, en rencontrant des spécialistes de MHD américain, à l'étranger, cette inquiétude s'est avérée fondée (rencontre qui prend parfois des allures de thriller, dans le style des meilleurs films d'espionnage. Mais l'auteur ne reniera pas son tempéremment de "savanturier"). Les Américains disposent depuis 1980 de torpilles MHD capable de filer à 3000 km/h, qui rendent donc les plateformes de tir nucléaire obsoletes, puisqu'elles peuvent être touchées et détruites en quelques secondes. Les sous-marins US à haute vélocité peuvent dépasser les mille kilomètres à l'heure. Aurora, engin mythique, vole depuis 1990. C'est un hypersonique satellisable, successeur du SR-71 Blackbird. Il est capable de voler à 10.000 km/h à 60 km d'altitude. Mais, mu en fin de parcours par des propulseurs fusée additionnels c'est en fait un satellite à orbite ultra-basse (80 km) capable de décoller et d'atterrir n'importe où par ses propres moyens. Les annexes scientifiques du livre révèleront tous les secrets d'un engin fabuleusement astucieux capable de redescendre pour prendre appui sur la haute atmosphère et virer tel "le surfer d'argent". Il opère sa rentrée dans l'atmosphère sans "bouclier thermique", en utilisant un "bouclier MHD". Il y a autant de différence entre Aurora et le Mirage 2000 qu'entre ce dernier et un Spad de la seconde guerre mondiale. Aurora est un "wave rider" qui se sustente sur son onde de choc. Mais d'autres appareils parviennent à annihiler totalement les ondes de choc, donc à s'affranchir de toute "traînée d'onde". Nous n'avons rien d'équivalent en Europe, mais au stade de projets. Pourtant, à travers mes travaux de 1975 nous étions en pointe en France. Je rappelle que j'ai été contraint à l'abandon de toute recherche de MHD en 1987.

En parallèle les Américains poursuivent leur remarquable travail de désinformation en faisant croire "qu'ils ont un projet d'hypersonique pour les années à venir". En fait la MHD, baptisée par certains journalistes aéronautiques
"électro-aérodynamique" a depuis longtemps envahi le monde aéronautique de pointe aux USA. Les Européens ignorent totalement comment les américains s'y prennent pour créer les hautes tensions qui leur permettent, en entourant leurs modernes engins volants de "plasma" non seulement d'assurer leur fonctionnement MHD mais de les rendre totalement furtifs. Tout ceci sera révélé dans l'ouvrage. On connaît le célèbre bombardier "subsonique" B2 "Spirit", réputé pour sa furtivité.

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Sait-on que les 21 unités de ce groupe de bombardement sont regroupés dans le 509° groupe de bombardement, qui était initialement basé à Roswell (et qui était alors constitué de B-29 porteurs de bombes atomiques). Les Américains raffolent de ce genre de clin d'oeil. Ci-après l'observation faite par un témoin des plus digne de foi, en 97, décrivant un B2 évoluant à trois heures du matin autour de la base Edwards (non, il ne peut s'agir de l'illumination de condensations de vapeur d'eau au bord d'attaque par les phares d'atterissage, bien visibles. Le climat est beaucoup trop sec dans cette région du désert Mojave). On voit ainsi le B2 évoluant, de nuit, avec son système de contrôle MHD d'entrées d'air en action. Explications ? Voir le livre à paraître.

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            (il ne s'agit pas d'une photo mais de la façon dont le témoin a reconstitué son observation, faite à une distance de 300 mètres)

Tous ces "gadgets" ne représentent que la partie émergée de l'iceberg américain. Cela représente pour l'ensemble des
Européens vingt cinq années d'un retard absolument irrattrapable (il n'existe plus aucune équipe travaillant valablement dans le domaine de la MHD-gaz en Europe). Toute l'argumentation présentée dans le livre sera bien sûr étayée par des annexes techniques. En "avant-première" l'auteur avait évoqué quelques uns de ces aspects dans l'émission radio de Marc Ménant, sur Europe 1, début 2002. Il s'en suivirent des réactions qualifiant ces propos de "délires technologiques". Je serai après la sortie de mon livre prêt à tout face à face radio ou télé avec des gens adoptant ce type de position. Mais de telles rencontres seront-elles organisées ? J'en doute personnellement étant donné que je suis toujours sorti vainqueur de ce genre d'affrontement. La réaction de l'ensemble de la presse sera très probablement le silence.

Comme je l'expliquerai dans mon livre, arguments techniques à l'appui je pense que les Américains disposent d'appareils hypersoniques opérationnels depuis plus de dix ans. Quand je dis cela les gens répondent "mais pourquoi n'emploieraient-ils pas ces engins pour les guerres qu'ils mènent au lieu d'amener sur le terrain leurs B-52 qui sont des antiquités ?". A cela je répond d'une part que pour les missions de bombardement opérées sur l'Afganistan par exemple les B-52, volant à 15.000 mètres étaient totalement hors d'atteinte des missiles sol-air dont les Talibans avaient conservé quelques exemplaires (par ailleurs gracieusement fournis par les Américains du temps où le conflit avec les Russes était à l'ordre du jour). D'autre part, et c'est le corollaire : il n'était nullement nécessaire que ces bombardiers soient furtifs. Enfin, concernant la précision des bombardements il avait été possible d'adapter sur les B-52 les systèmes les plus modernes permettant de toucher une villa ou un atelier de réparation au milieu d'une ville avec le minimum de "dommages collatéraux". On trouvera la description de ces systèmes de bombardement dans le dossier consacré au B2, que je présente dans mon site et qui constituera une sorte de complément à un livre à paraître déjà très chargé. En fait les Américains ne souhaitement nullement qu'on sache qu'ils ont une telle avance en matière d'aéronautique et pour entretenir le scepticisme des Européens ils désinforment à tour de bras. Je crois que c'est un concept qui n'est pas encore bien entré dans la tête du public et même des journalistes ou des journalistes aéronautiques. Il ne leur viendrait jamais à l'idée qu'on tente de leur faire prendre des vessies pour des lanternes, techniquement parlant. C'est pourtant ce qui se passe avec le "Hyper-X Research Vehicle Program (X-43A)". C'est un engin d'assez petite taille qui est accroché sous l'aile d'un B-52, emmené à sept mille mètres d'altitude puis largué et propulsé en principe jusqu'à plus de Mach cinq par un booster à poudre "Pegasus". Sur la photo ci-après le X-43A lui-même est censé être le petit machin noir placé en tête de cette énorme fusée à poudre.

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Le X-43A est censé avoir son propre moyen de propulsion, un "scarmjet". Le but avancé serait d'amener l'appareil à une
altitude de soixante kilomètres, à un nombre de mach de sept à dix. Lors des essais de juin 2001 l'appareil fut détruit en vol. De prochains essais ont été programmés pour 2003. On peut trouver sur internet un dessin donnant l'allure de cet engin:

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Cet appareil a effectivement une très vague ressemblance avec Aurora, qui sera décit dans le livre (le bord d'attaque en
lame de couteau, le dessus plat et la position des moteurs, la forme de l'arrière de l'appareil). Mais là s'arrête la similitude. Nous laisserons au lecteur le soin de découvrir les secrets d'Aurora dans la livre, fondés sur la MHD, absente dans ce pseudo-projet, ce "projet-écran" américain.

Un autre volet de l'avance américaine concerne la découverte de nouvelles sources d'énergie (synthèse massive
d'antimatière). D'où le peu d'intérêt des américains à cofinancer le projet de "Super Tokamak" international, faisant suite à un gouffre financier nommé "Tore-Supra", implanté à Cadarache. D'où également leur peu d'empressement à financer des voyages vers Mars, où ils sont déjà allés secrêtement depuis des années. Stockée en très faible quantité dans des cristaux cette antimatière permet aux américains de se doter de mini-bombes de la taille d'une balle de golf, écran thermique compris (les "bucky balls"). Puissance unitaire : 40 tonnes de TNT. Utilisable ("propre" et pas d'hiver nucléaire"). Les américains en possèdent des centaines de milliers. Des torches à antimatière leur permettraient également d'atteindre des installations souterraines, même abritées sous des centaines de mètres de roche, comme les abris d'Al Qaïda ou les usines nucléaires souterraines où Saddam Hussein continue avec entêtement la mise au point de "la bombe atomique arabe".

Quand cette antimatière se trouve stockée dans des bouteilles magnétiques elle permet d'alimenter en énergie des
propulseurs MHD  "à très forte impulsion spécifique"   éjectant des atomes de silicium à 500 km/s. Ces systèmes ont permis une exploration complête et secrète du système solaire, achevée depuis cinq ans ainsi que le positionnement de sondes lourdes autour de planètes lointaines et l'essai sur celles-ci d'engins dont les puissances atteignent le million de mégatonnes. En vue d'une utilisation terrestre ? Non, impossible. Ce sont des "armes anti-comêtes". Une foreuse à antimatière permet de loger la charge au coeur d'un engin de plusieurs kilomètres de diamètre, seule condition pour pouvoir réduire celui-ci en débris ayant une dimension inférieure au mètre, susceptibles de se consumer dans l'atmopshère, sans atteindre le sol. Les Américains, au passage, sont champions pour "dire les choses en clair" dans des films de fiction, comme "Deep Impact", ou "Astéroid". L'aire 51 est complaisamment montrée dans "Independance Day", film correspondant à la  "folklorisation d'un sujet", entrant dans la ligne d'une politique très efficace de désinformation.

Selon les responsables américais que j'ai rencontrés l'Air Force expérimenterait depuis la fin 2000 un drone discoïdal
MHD de cinq mètres d'enregure, basé sur les principes que j'ai publiés en 1977 aux Comptes Rendus de l'Académie des
Sciences de paris (Machine "à induction"). Source d'énergie : une petite quantité d'antimatière embarquée. Performances : Mach 10 en air dense. Le missile de croisière imparable.

Disposant de sources d'énergie extrêmement compacts et puissantes les Américains s'intéressent maintenant aux voyages interstellaires. C'était la raison de leur prospection à travers différents pays européens. Cela ne les empêche pas de déclarer par les voies officielles (NASA) que le dossier ovni est totalement dénué d'intérêt.

Si on peut synthétiser de l'antimatière par compression, en violant ainsi le principe de conservation de "l'énergie-matière" ceci signifie qu'on se dote non seulement d'armes absolument terrifiantes, miniaturisables et utilisables, mais aussi d'une source d'énergie totalement nouvelle. Ainsi, lorsqu'on a synthétisé une certaine quantité d'antimatière on peut se servir d'une partie de celle-ci pour rééditer l'opération, réaliser une nouvelle "compression de champ" et produire de nouveau de l'antimatière. L'énergie devient ainsi gratuite. C'est une idée qui déconcerte de prime abord étant donné que le principe de conservations de l'énergie-matière, s'étant substitué au principe de conservation de la matière est en quelque sorte inscrit dans nos arcanes de pensée. Mais, c'est bien connu, un principe peut en cacher un autre. C'était le cas pour les deux précédents. Cela ne choque aujourd'hui personne d'imaginer que l'énergie délivrée par une bombe atomique implique "la disparition d'une certaine quantité de matière", un "défaut de masse". Le fait de faire apparaître de l'énergie (sous forme d'antimatière) dans notre propre univers relève du principe sous-jacent "l'énergie-matière est conservée entre les différents feuillets d'univers ", un concept qui finira par faire son chemin. Politiquement, cette découverte représenterait un bouleversement majeur. Cela signifierait que les problèmes de recherche d'énergie seraient en fait des faux problèmes et que l'humanité, au prix d'un saut technologique supplémentaire pourrait disposer d'une énergie gratuite, non-polluante, de manière illimitée. Mais alors, pourquoi ne pas créer cet âge d'or sans attendre ? La réponse est simple. A côté de la nouvelle source d'énergie il y l'arme qui va avec et celle-ci est totalement monstrueuse. Si on dotait les terriens d'une telle source d'énergie qu'est-ce qui nous garantirait que des imbéciles ne chercheraient pas à utiliser l'arme plutôt que le générateur électrique? Sur Terre les hommes de l'âge de pierre inventèrent le feu. Cela leur permit se supporter le froid de l'hiver et de mieux assimiler des aliments en les cuisant. C'étaient les début de la chimie. Mais très vite on inventa la métallurgie, la flèche incendiaire et la poudre, puis le missile de croisière, etc.

Après lecture du livre on pourra toujours spéculer sur le bien-fondé de telles suppositions concernant la maîtrise de la
synthèse massive d'antimatière (par rapport aux informations liées aux engins hypersoniques qui seront, elles, parfaitement étayées techniquement). Sans déflorer le contenu du livre je citerai simplement une ramarque faite par un des scientifiques américains rencontrés en Angleterre. Lorsque je lui ai demandé "avez-vous pensé à diffuser cette technologie ?" il me fit la réponse suivante :

- Et à qui vendrions-nous votre pétrole ?

Les choses vont en fait beaucoup plus loin que cela et nous ramènent aux documents Ummites. Si on sait synthétiser
massivement de l'antimatière, alors n'importe quel pays peut disposer d'une source d'énergie illimitée, chez lui, sans avoir à dépendre des autres. Si on extrapole ensuite ce saut technologique à l'étape suivante, si on dispose de l'antimatière en tant qu'énergie de base, on est capable d'opérer des transmutations de n'importe quoi en n'importe quoi, c'est à dire de transformer les pierres des chemins en tungstène ou en cuivre ou en or (j'ignore combien de décennies ou des siècles il nous faudra pour accéder à un tel: niveau). Mais théoriquement c'est envisageable. La seule richesse devient alors le savoir-faire, l'information, qui peut par définition être dupliquée à l'infini. Alors les deux problèmes liés, qui sont ceux des matières premières et des déchêts disparaissent (les déchets industriels peuvent être dégradés par exemple en hélium). Il n'y a plus de pays pauvres et de pays riches puisque l'énergie et le matière matières peuvent être créés partout "ex nihilo". Economiquement, politiquement, l'organisation de la planète serait à repenser de A à Z. Pour maîtriser un tel progrès il est indispensable d'être intelligent puisqu'il devient entre autre impossible d'en foutre plein la vue à son voisin avec des richesses ostentatoires. L'argent disparaîtrait, les casinos de las Vegas et de Monaco devraient être reconvertis en centres de loisirs. Que deviendraient alors les six mille princes du sang de l'Arabie Saoudite ?

Nous vivons une époque formidable, quoique fort dangereuse. Mais l'Apocalypse et l'Age d'or ne sont que deux facettes d'un même "problème".

Après lecture de l'ouvrage le lecteur sera à même de se forger sa propre opinion. A mon avis les éléments fournis
concernant le vol hypersonique seront décisifs. Une des premières conclusions est que la seule motivation des
gouvernements ayant eu accès aux informations afférentes au dossier OVNI a été d'en extraire des armes nouvelles, de plus en plus monstrueuses. C'est aussi valable pour les pays européens, dont la France. Ca n'est pas un hasard si le président de l'association COMETA est un général en retraite, Denis Letty, et que le préfacier de la plaquette diffusée en 1999 par l'association, le général Norlain soit l'ancien directeur de l'Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale.

Les communautés scientifiques européennes sont complètement hors-jeu. Les avis proférés leurs seins sont totalement
non-pertinents. Il arrive souvent que des gens me demandent "qu'est-ce que les scientifiques pensent de vos idées et de vos prises de position ?"

A cela j'ai tendance à répondre : "Les scientifiques pensent-ils ?". Cela demanderait à être vérifié. Toujours est-il que ces gens n'ont pas leur pareil pour émettre des avis péremptoires sur des sujets dont ils ignorent pratiquement tout.

Finissons par une petite note d'humour. Ci-après, " l'ufologue ":

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Complément en date du 30 août 2002.

Comme je l'ai dit, l'ouvrage ne pourra être disponible qu'en janvier 2003. Il faudra donc que mes lecteurs patientent pour y découvrir un certain nombre de révélations étayées par des annexes techniques, démontrant entre autre la maîtrise des Américains vis à vis du vol hypersonique, progrès découlant directement des études qu'ils ont menées sur les ovnis. On verra également qu'il existe une très forte présomption pour que les Américains aient développé ces fameuses "armes au plasma", initialement évoquées dans les textes Ummites. Au passage ils les auraient miniatirisées.

Entre temps, les choses bougent pas mal. Dans mon site j'ai du mettre deux nouveaux dossier, d'un consacré au projet Haarp, et l'autre à celui des Crop Circles. Dans un autre on trouvera une critique des informations liées au fameux bombardier américain B2. Ceci complètera les informations concernant le bombardier hypersonique US (dix mille kilomètres à l'heure à 60 km d'altitude. Vole sans créer d'ondes de choc. Rayon d'action : 20.000 km, sans besoin d''être ravitaillé). C'est ce "bombardier antipodal" qui sera décrit dans le livre. Toutes ces informations se répondent les unes les autres. Mon livre apportera vis à vis de celles-ci des "clefs de lecture". Mais je ne peux malheureusement pas déflorer ces informations contenues dans le livre. Je suis aussi impatient que le lecteur de le voir sortir.

J.P.Petit
Directeur de recherche au CNRS
 


Voici un article paru dans la Pravda :

Secret American Space Planes
To Dominate Planet Earth

Des avions secret américains pour dominer la planète Terre.

Voici la traduction des passages essentiels de cet article assez long. Le texte anglais suit :

Les USA ont travaillé en secret sur une nouvelle génération d'avion spaciaux. Au début des années 1990 les services secrets russes ont découvert que les Etats-Unis testaient un avion top-secret dans une de ses bases aériennes (la date colle. Il s'agissait des premiers essais d'Aurora à Groom lake. Ceci se réfère à la photo du sillage "en pointillé" prise par un témoin et qui est commentée et expliqué dans mon livre). Les américains ont développé des mesures de sécurité exceptionnelles autour de cet appareil, qui n'a été testé que de nuit (sauf le jour où cette photo a pu être prise). Les Russes n'ont pas réussi à voir cet appareil, appelé Aurora, ni à le photographier. Cet appareil mystérieux serait censé voler à 40 km d'altitude et plus (en fait 60. Il est même stallisable). Les scientifiques pensent qu'il peut voler à Mach 6, à 7200 km/h et même plus (en fait à dix mille). Les performances de cet appareil sont dues à la puissance de ses moteurs et au dessin de son fuselage et de ses ailes (non. Les moteurs ne sont pas excessivement puissants. Aurora est basé sur un secret qui sera révélé dans le livre à paraître le 2 janvier). Cet appareil est furtif (oh que oui !)..... Les russes possèdent une unique photo d'Aurora, prise lors d'un ravitaillement en vol par un KC-135. Les américains ont inventé un nouveau type d'appareil (oui) qui est proche d'une fusée (non). ... Les Russes peuvent rivaliser avec les Américains pour des vols en haute altitude avec leurs appareils Sukoï-2711, Mig-29 et Mig-31. Néanmoins ces appareils sont incapables de voler aux altitudes évoquées, c'est à dire dans la région de l'atmopshère qui est proche du vide spatial. C'est la raison pour laquelle le fait de prendre pied dans cette portion de l'espace proche de la Terre est si importante stratégiquement. Le premier qui y parvient gagne (les Américains ont gagné avec Aurora. Les Russes avaient un projet similaire : Ajax, qu'ils n'ont pu mener à terme. Tout sera décrit dans mon livre). Il s'agit bien là d'appareils d'un genre tout à fait nouveau, qu'il s'agisse d'avions espions, de chasseurs ou d'appareils de transport (tout à fait d'accord). Les américains ont étudié la gamme des appareils X-33, X-34, X-37 et X-38. Ces appareils, construits en alliage de titane, sont propulsés par des moteurs fusée cryogéniques. Ces appareils utilisent des céramiques et des éléments en graphite et certaines de ces technologies furent soit achetées soit volées aux russes. L'altitude maximale atteinte est de 120 kilomètres. La vitesse peut atteindre 15.000 km/h (ces appareils sont les successeurs du célèbre X-15 mais Aurora est basé sur une technologie totalement différente). Le X-34 a atteint 20.000 km/h et 150 km d'altitude. Ces appareils peuvent être soit pilotés, soit sans pilote et faire l'objet d'un décollage vertical ou sur une piste de roulement.... Ces
appareils sont exclusivement orientés vers la défense et la mise en orbite de satellites. Ils sont été développés dans le cadre de la Guerre des Etoiles. Ils peuvent être équipés de puissants systèmes d'observation, d'armes spatiales. En fait, les Etats-Unis sont en train de mettre sur pied une "armée de l'espace" (prolongeant leur armée de l'air), ce qui leur donnera la maîtrise totale de l'environnement de la Terre. Ces appareils seront totalement hors d'atteinte d'une classique défense terrestre basée sur des batteries de missiles. Cette "armée de l'espace" sera capable d'atteindre n'importe quel point de la planète à n'importe quel moment (les américains en sont déjà là depuis 1998). ... Le major général Serguei Kolganov, membre de l'académie des sciences dit "Je ne pense pas que la Russie puisse rivaliser avec les américains sur ce terrain. Nous avons des missiles capables d'atteindre des cibles à 100 km d'altitude, mais les appareils américains volent plus haut. Nous, les Russes, nous avons de bonnes idées, mais Américains n'ont pas fait que rêver à ces choses, ils les ont réalisées. Pour le moment nos scientifiques ne travaillent à aucun projet qui puisse permettre de rivaliser avec les avions spatiaux américains".