Sitchin résumé du livre

 posté le mercredi 23 janvier 2008 03:08

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LA NOUVELLE HISTOIRE DU PASSÉ ET DU FUTUR



     Le 01/12/99. ... Bravo, vous êtes arrivés jusqu'à la fin de cette presque dernière page. Je suis
       vraiment désolé pour vous, amis lecteurs, mais je vais abandonner ce travail d'analyse
                              pendant quelque temps.
       En effet d'autres combats plus urgents me prennent en ce moment beaucoup de temps.
                Il s'agit de l'Association YHAD-FRANCE (You Have A Dream)

                Cette page n'est pas de moi. Je l'ai rajoutée début juin 2000 .
          C'est un résumé du livre de Sitchin, par Roland Guétat, Landro1111@aol.com
     A titre personnel, je ne suis pas d'accord avec les datations de Sitchin, mais en fait cela n'a
     que peu d'importance sur l'ensemble de la démonstration que je tente d'amener sur ce site, à
      savoir que TOUS les textes anciens, que nous appellons "légendes", parlent du passage des
                        "dieux" sur Terre... et non pas de Dieu.
       Qu'également les Eglises, pour asseoir leur pouvoir temporel, nous montent d'énormes
                         bobards depuis quelques millénaires!
 
 

         L’histoire de notre système solaire et de notre humanité à la lumière
                             des textes sumériens

                                  Roland Guétat

                    d’après le livre La douzième planète de l’archéologue Sitchin
                              éd. Traces Oubliées. (épuisé)

                              -------------------------------------

        Ce pourrait être le titre d’un conte fantastique. C’est le titre d’un livre édité par l’archéologue
        Sitchin en 1976, édition Traces Oubliées.

        Sitchin a déchiffré les tablettes d’écriture cunéiforme de la civilisation sumérienne, première
        civilisation digne de ce nom, (dont se sont inspirées les civilisations successives) et affirmait, 6
        ans avant que le satellite IRAS ne signale la course vers la Terre d’un astre « inconnu
        jusqu’alors » (1982) et 12 ans avant que les ordinateurs de la NASA (1988) ne calculent que son
        orbite passe entre Mars et Jupiter, l’existence d’une douzième planète appartenant à notre
        système solaire...

        Ce sont 500 000 ans d’Histoire qui sont contenus dans ce livre extraordinaire qui révèle que des
        astronautes bien plus sophistiqués que les nôtres sont venus sur terre et ont fait chaque fois
        brusquement évoluer l’humanité, après en avoir été les créateurs... Ceci est intitulé en sumérien
        : l’épopée de la Création.

        Tout ce qui nous est parvenu par bribes jusqu’à nos jours, notamment à travers la Genèse
        biblique mais aussi d’autres traditions, s’éclaire d’une manière inouïe avec les traductions
        perspicaces de l’archéologue. Enfin de l’archéologie qui ose décrire le maillon manquant de
        l’évolution à rebrousse-poil du consensus de la pensée ambiante, et qui répond aux questions
        de fond que tout un chacun peut se poser sans jamais obtenir traditionnellement de réponses...
        Comment s’est constitué le système solaire ? D’où viennent ses anomalies ? D’où proviennent
        les humains ? Ne sommes-nous que les fruits du hasard de l’évolution ? D’autres planètes
        sont-elles habitées ?

        N’oublions pas que nous sommes entrés depuis quelques décennies dans la phase dite de
        l’Apocalypse, mot d’origine grecque qui signifie révélation. Et ce livre, de même sans doute que
        les 5 ou 6 autres qu’il a écrits depuis, en anglais, constitue bien une révélation multiple.

        Vous voulez en savoir plus ? Alors écoutez...

        À une époque lointaine, du Soleil ont émané Mercure sur son orbite actuelle, puis une grosse
        planète, Tiamat, sur l’orbite des Astéroïdes, puis, sur leurs orbites actuelles, Vénus et Mars.
        Jupiter, Saturne avec un satellite dénommé Gaga viennent ensuite. En dernier naissent Uranus
        et Neptune. Evidemment tout cela prit beaucoup de temps...

        Venant de l’espace lointain, Nibiru (ou Mardouk ainsi rebaptisée plus tard), n’était qu’une planète
        à peine née, crachant des flammes, émettant des radiations. Dix corps célestes (le Soleil et ses
        neuf planètes) l’attendaient... Les planètes tournant dans le sens contraire des aiguilles d’une
        montre sur le même plan, Mardouk faisait irruption dans le sens opposé.

        Nibiru passa d’abord près de Neptune qui l’attira dans le système solaire. (Fig.1) Nibiru en fut
        déformée mais ce n’est qu’en avoisinant Uranus que s’échappèrent de la voyageuse 4 satellites
        appelés vents. Saturne puis Jupiter provoquèrent le jaillissement de 3 autres satellites et
        incurvèrent davantage son orbite vers le centre du système solaire, vers Tiamat... De celle-ci
        jaillirent alors onze satellites dont le plus important Kingu. A ce moment-là, Gaga se détacha de
        Saturne. Elle devint par la suite Pluton avec son orbite originale.

        « Mais les deux planètes n’entrèrent pas en collision, ce qui constitue un fait d’une très grande
        importance astronomique : les satellites de Nibiru - et non Nibiru-même - s’écrasèrent contre
        Tiamat. Ils déformèrent le corps de Tiamat » tandis qu’une énorme décharge électrique émanée
        de Nibiru neutralisa Tiamat.

 

        « La première rencontre entre Nibiru et Tiamat la laissa fissurée et sans vie » mais cela donne
        l’explication des comètes. « Nibiru, allant à grande allure dans la direction opposée, sur son plan
        orbital propre, brisa, cassa les hôtes de Tiamat dont il fit de petites comètes et leur imposa sa
        force de gravité. » Ce qui donne aussi le pourquoi de leur sens orbital inverse. C’est à ce
        moment-là aussi que le point orbital solaire de Nibiru fut établi, «Nibiru devait toujours retourner
        aux lieux de la bataille céleste. » (fig. 2)

        Ainsi 3 600 ans plus tard Nibiru revint, ayant achevé sa première révolution autour du soleil. » Il
        frappa lui-même Tiamat, la fendant en deux. Un de ses satellites «heurta la moitié séparée
        destinée à devenir la Terre et la fit dériver jusqu’à une orbite où aucune planète n’était encore
        jamais allée. La Terre avait été créée ! tandis que Kingu entièrement dévasté, qui avait acquis
        une orbite indépendante lors du précédent passage de Nibiru, la perdit et devint satellite de la
        Terre désormais appelé la Lune.

        3 600 autres années plus tard, une autre destinée fut réservée à l’autre moitié. Nibiru la frappa
        et la réduisit en mille morceaux. C’est là que furent créés le Ciel et la Terre, les Astéroïdes
        devenant un bracelet martelé dans les cieux séparant les planètes intérieures des planètes
        extérieures.

        Ces événements nous donnent de surcroît l’explication de la concentration des continents d’un
        seul côté tandis qu’à l’opposé existe une cavité profonde, le lit de l’Océan Pacifique.

        La Terre donc reçut sa propre orbite autour du soleil (dont les saisons résultent ) et son
        mouvement de rotation axiale (donnant le jour et la nuit ). Les concepts de la Bible sont
        identiques :

        Et Dieu dit :

        « Qu’il y ait des Lumière dans le Ciel martelé,

        afin de diviser le Jour et la Nuit ;

        Et laissons-les être des signes célestes

        et pour les saisons et pour les jours et pour les Années. »

        Les tablettes s’accordent avec la pensée des savants modernes sur la période suivante. Une
        fois la Terre devenue planète, elle fut une boule bouillante de volcans en éruption remplissant
        les cieux de brumes et de nuages. Dès que les températures commencèrent à refroidir, les
        vapeurs se transformèrent en eau, divisant la face de la Terre en terres sèches et en océans.
        Après quoi se situe le commencement de la vie sur Terre, dans les eaux, tout d’abord puis les
        créatures qui nagent et les oiseaux qui volent. Alors seulement les créatures vivantes selon leur
        espèce : le bétail et les choses rampantes et les bêtes apparurent sur Terre, culminant avec
        l’apparition de l’homme.

        Mais si la vie apparut sur Terre, c’est pour avoir été fécondée par Nibiru alias Mardouk, lors de
        la collision...

 

        La vie, conclurent les scientifiques, ne se développa pas sur les planètes terrestres
        aux composants chimiques lourds, mais aux limites du système solaire. De ses limites
        du système solaire, la Douzième Planète vint en notre milieu, une planète rougeâtre,
        rayonnante, engendrant et irradiant sa propre chaleur, fournissant avec sa propre
        atmosphère les ingrédients indispensables à la chimie de la vie.

         Si énigme il y a, elle réside dans l'apparition de la vie sur Terre. La Terre fut formée il y
        a quelque 4 500 000 000 ans, et les scientifiques croient que les formes les plus
        simples de vie y étaient déjà présentes, quelques centaines de millions d'années
        après. Croire à l'apparition aussi rapide que cela de la vie découle d'une simplicité
        d'esprit qui ne peut pas ne pas être dérangeante.

        Nous possédons également de nombreux indices prouvant que les formes de vie les
        plus vieilles et les plus primaires, datant de plus de 300 000 000 d’années, étaient
        composées de molécules d'origine biologique et non pas non biologique. En d'autres
        termes cela signifie que la vie qui existait sur Terre, si peu de temps après que cette
        dernière ne naquit, était elle-même une descendante d'une forme de vie antérieure et
        non pas le résultat d'une combinaison de gaz et de produits chimiques inanimés.

        Tout cela indique aux scientifiques stupéfaits que la vie, qui ne pouvait pas se
        développer facilement sur Terre, ne s’y est tout simplement pas développée. Dans un
        article pour le magazine scientifique Icarus (sept 1973) le prix Nobel Francis Crick et le
        Dr. Leslie Orgel ont avancé la théorie selon laquelle « la vie sur Terre pourrait être née
        d'organismes minuscules venus d'une planète lointaine ».

         Ils ont propulsé leurs études hors du carcan des réticences bien connues des
        savants pour ce qui est des théories actuelles sur les origines de la vie sur Terre.

        Pourquoi n'existe-t-il qu'un seul Code génétique pour tout ce qui vit sur Terre ? Si la
        vie a commencé dans un bouillon originel, comme le croient la plupart des
        scientifiques, des organismes  à  Codes génétiques multiples auraient dû se
        développer. De même, pourquoi le molybdène joue-t-il un rôle clé dans les réactions
        d’enzymes qui sont essentielles à la vie lorsque qu'on sait que le molybdène est un
        élément extrêmement rare ? Pourquoi les éléments qui sont très abondants sur Terre,
        tel le chrome ou le nickel, sont-ils si  peu importants dans les réactions biochimiques ?

        Cette théorie bizarre avancée par Crick et Orgel ne se bornait pas à dire que toute vie
        sur Terre pouvait être née d'un organisme d’une autre planète, elle suggérait
        également qu'un tel ensemencement  procédait d'un acte délibéré - que des êtres
        intelligents habitant une autre planète lancèrent de cette planète la semence de vie
        sur Terre dans le but d'y enclencher la chaîne de la vie.

         Même sans l’aide des données que nous fournit ce livre, ces deux éminents
        scientifiques avaient presque trouvé la vraie solution. Il n'y eut pas d'ensemencement
        prémédité ; en revanche, il y eut une collision céleste : une planète porteuse de vie, la
        Douzième Planète, accompagnée de ses satellites, entra en collision avec Tiamat et la
        brisa en deux, créant la Terre à partir d’une des moitiés.

        Lors de cette collision, le sol fertile et l'atmosphère de la Douzième Planète
        ensemença la Terre, lui donnant les toutes premières formes biologiques et les
        complexes de vie dont on ne put pas s'expliquer autrement l'apparition  si récente.

         Si la vie sur la Douzième Planète a commencé ne serait-ce que 1% plus tôt que celle
        sur la Terre, elle commença alors 45 000 000 ans plus tôt. Même avec cette marge
        infinitésimale, des êtres aussi développés que l'homme auraient vécu sur la Douzième
        Planète alors que la premiers petits mammifères venaient à peine de faire leur
        apparition sur Terre.

        Ayant cette amorce de vie plus précoce sur la Douzième Planète, il est vraiment
        possible que ses habitants aient été capables de voyager dans l'espace, il y a déjà 500
        mille ans.

        Seuls, les Néfilim - tel est le nom donné dans les tablettes sumériennes, purent
        désigner la terre sous le nom de la Septième planète, puisqu’ils venaient de l’extérieur
        du système solaire. De Pluton à la Terre se comptent effectivement 7 planètes.

        L’ÉPOPÉE DE LA CRÉATION

        Nous y apprenons que les «dieux » vinrent sur Terre conformément à la décision de leur chef,
        Mardouk (version babylonienne) après que le sol de la Terre séchât et durcît pour pouvoir s’y
        poser et entreprendre les premières constructions.

        « Quand du haut des cieux vous descendrez en assemblée, la nuit il y aura un gîte pour chacun
        de vous. - Je l’appellerai Babylone - La porte des Dieux. »

        Il est donc clair qu’ils ne venaient pas sur Terre pour une simple visite mais pour s’y installer
        définitivement. La Terre était à cette époque en pleine période glacière qui commença il y a
        quelques 600 000 ans. Le premier réchauffement eut lieu il y a 550 000 ans. La seconde
        glaciation dura de 480 000 ans à 430 000 ans.

        Premier atterrissage il y a  450 000 ans environ. Le niveau des mers se trouvait 180 à 210 m
        plus bas que de nos jours. Une seule zone étroite et tempérée de notre planète offrait les
        conditions favorable à la vie, du point de vue climatique. Celle du Nil, de l’Indus et celle du Tigre
        - Euphrate. La terre des deux fleuves, la Mésopotamie, fut retenue du fait de ses richesses en
        pétrole, car il est fait état que les Néfilim utilisaient abondamment le pétrole et ses dérivés. On
        sait aussi qu’il amerrirent lors de leurs premières venues sur Terre, (« les hommes-poissons »)
        et seule la Mésopotamie offrait deux mers : l’Océan indien au Sud et la Méditerranée à l’Ouest
        facilitant son accès. Le Golfe persique n’était pas alors une mer mais une étendue marécageuse
        impropre à l’amerrissage. Eridou « maison construite au loin » fut la première base des Néfilim.
        Cela se fit sous l’égide du roi Enki, ainsi que 4 autres villes par la suite. Il y eut des actions
        d’assainissement, de canalisation de rivière, de remblayage, de construction de digues,
        d’assèchement et de purification de l’eau.

        Si Enki atterrit sur Terre - comme nous ne pensons - à la fin de l’âge des Poissons, il fut témoin
        de l’entrée, due à la précession, dans le Verseau, et resta la durée d’une Grande Année (25
        920 ans) jusqu’à ce que commença l’âge du Capricorne ; alors il fut, en effet, seul à commander
        sur Terre pendant une prétendue durée de huit shar’s, soit 28 800 ans, le shar’s couvrant 3600
        ans.

        Pendant qu’Enki œuvrait sur Terre en tant que pionnier, Anou (son père) et son autre fils Enlil,
        sur la 12° planète en observaient les développements. D’après les textes, le responsable de la
        mission sur Terre apparaît être Enlil. Dès qu’il fut décidé de poursuivre la mission, Enlil lui-même
        descendit sur Terre. Une base spéciale, Larsa, fut construite. Cela s’est produit avec l’entrée
        dans l’ère du Bélier. Une nouvelle phase de la colonisation commença : il s’agissait de ramener
        sur Nibiru des cargaisons de grandes valeurs (Or - argent - cuivre...) Cela nécessita l’envoi sur
        Terre de beaucoup de « main d’œuvre » d’outils et d’équipements.

        Les amerrissage ne suffisaient plus. Les transformations climatiques rendirent l’intérieur des
        terres accessibles. C’est à ce moment que Larsa y fut construite, base de contrôle et de guidage
        sophistiquée pour assurer les voyages allers et retours dans l’espace. Les Néfilim disposaient
        alors d’un vaisseau spatial en orbite autour de la Terre et de navettes.

        Enlil resta à Larsa durant 6 shar’s (21 600 ans) tandis que l’on construisait Nippour qui fut
        établie à l’âge du Taureau.

        Il est certain qu’Enlil y avait à sa disposition quelques instruments hautement élaborés : « un œil
        placé très haut qui scrute la Terre » et « rayon élevé qui fouille le cœur de toute la Terre ».
        Nippour était protégé par de redoutables armes : « aucun dieu puissant ne peut approcher son
        extérieur »; « son bras » était « un vaste filet » et en son centre était tapi « un oiseau à la course
        rapide », un oiseau à la « main » duquel les méchants et malfaisants ne pouvaient échapper. Au
        centre de Nippour se trouvaient les quartiers généraux d’Enlil où s’élevait le centre de
        communication de la mission de contrôle, l’endroit d’où les Announaki (espèce de dieux
        inférieurs) qui vivaient sur Terre communiquaient avec leurs camarades dans leur vaisseau en
        orbite autour de la Terre.

        Dans ce centre s’élevait un « haut pilier pointant vers le ciel » par lequel « la parole d’Enlil
        touchait le ciel » ce qui avait pour effet que « l’abondance se déversât sur la Terre » : matériaux,
        nourritures spéciales, médicaments et outils étaient apportés par la navette dès que « l’ordre »
        de Nippour avait été lancé.

        Dans le centre de contrôle était une chambre mystérieuse nommée DIRGA. Ce devait être le lieu
        où étaient conservées les cartes des étoiles, où les ME (les télécommunications des
        astronautes) étaient reçues et transmises. Ce qui rappelle en tout point la Mission de Contrôle
        de Houston qui suivait les astronautes lors de leur mission sur la Lune.

        - 450 000 ans : atterrissage d’Enki sur Terre (ère des poissons)

        à l’ère de la Vierge Ninhoursag, (sœur d’Enki et d’Enlil) est placée à la tête du centre médical
        des Néfilim à Shourouppak.

        A l’ère des gémeaux, Nannar / Shin, fils d’Enlil est installé à Bad -Tibira, centre industriel.
        Naissance de jumeaux dans la famille d’Enki : Inanna /Ishtar et de Outou / Shamash

        A l’ère du Taureau Nippour est établie

        En - 424 080, à l’ère du Bélier, Enlil prend le commandement du lieu Enkidounou : le
        « commandement de la Terre est retiré à Enki qui est alors nommé Ea, le Seigneur des eaux. »

        Des 7 premières villes, Larak est la dernière confiée à Ninourta, fils d’Enlil

                                 LE PLAN DES 7 CITÉS

 

        LA RÉVOLTE DES ANNOUNAKI

        Le Monde d’En-Bas était l’hémisphère Sud où se trouvait la terre d’Arali, « lieu des filons
        brillants ». Les Néfilim connaissaient aussi l’Afrique australe vu les sceaux représentant les
        animaux typiques de ces régions.

        Ea n’était pas le Seigneur d’une « profondeur d’eau » mais le dieu chargé de l’exploitation des
        minéraux de la Terre.

        AB.ZU signifie source profonde originelle, pas nécessairement d’eau. Dans le bassin du
        Zambèze des traces d’activités minières ont été datées de 2000 av. JC jusqu’à 70 000 à 80 000
        av. J.C. ! Ce qui a fait supposer l’origine de l’homme moderne en Afrique.

        Les savants modernes divisent les activités de l’homme sur Terre en 4 âges : de pierre, du
        bronze, du fer ... Cependant toutes les traditions anciennes s’accordent sur la séquence : or,
        argent, cuivre, fer. Il semble que les Néfilim vinrent sur Terre pour l’or et les métaux associés,
        peut-être aussi d’autres métaux rares tel le platine qui permet de créer des batteries. Peut-être
        aussi l’uranium et le cobalt « les pierres bleues qui rendent malades » du Monde d’En-Bas.

        Quelles fut la main d’œuvre employé par les dieux ? Ce sont les Annunaki, « dieux du ciel et de
        la Terre ». Dans les textes sumériens, ils sont décrits comme des dieux subalternes ayant fait
        partie de la colonisation de la Terre, les dieux « qui accomplissent les tâches ». Ils étaient de
        véritables astronautes encore appelés IGIGI. Shamash était le chef des « aigles » dont les
        navettes voyageaient sans cesse entre les vaisseaux en orbite et la Terre.

        Il est vraisemblable que les Néfilim escomptèrent dans un premier temps extraire les minéraux de
        la mer. Cela réfère aux « hommes-poissons » sous les ordres d’Ea (Enki) qui utilisaient des
        « elipu ebiti » bateaux submergés. Par ailleurs, la Terre des Mines était appelée auparavant
        ARALI « lieu des eaux  des filons brillants » ce qui signifiait possiblement une terre d’où l’or
        pouvait être extrait à la batée dans les rivières.

        Ces projets apparemment n’aboutirent pas car peu de temps après l’établissement dans
        l’hémisphère Sud (Terre d’En-Bas et non les Enfers...) une tâche imprévue et des plus dures fut
        confiée aux Announaki : descendre dans les profondeurs de la terre africaine pour y extraire les
        minéraux nécessaires. Ce lieu d’exploitation minière KURNUGIA fut interprété comme « terre du
        non-retour ». Sa signification littérale était : « terre où les dieux qui travaillent dans de profonds
        tunnels entassent les minerais ».

        C’était dans une ère où les hommes n’existaient pas encore, tel que l’affirment les sources
        anciennes. Ishtar relate que les Announaki travaillaient dur, mangeant de la nourriture mêlée à
        l’argile et buvant de l’eau impure.

        Une longue épopée commence ainsi : « Lorsque les dieux comme des hommes devaient
        travailler. » Et ce travail harassant dura 40 « périodes » (40 shar’s soit 40 x 3600 ans = 144 000
        ans ) Les Announaki se révoltèrent et Anou en personne offrit une solution : qu’un lulu, un
        « travailleur primitif » soit créé ! Cela fut accepté sur-le-champ. Les dieux votèrent à l’unanimité
        la création du « Travailleur », « Homme sera son nom » dirent-ils.

        La mutinerie des dieux avaient conduit à la création de l’homme. Ce fut à Mami, la déesse des
        naissances, que fut confié cette tâche avec l’aide d’Ea.

 

        LA CRÉATION DE L’HOMME.

        Tous les textes sumériens affirment que les dieux créèrent l’homme pour qu’il accomplisse leur
        travail. Donnant l’explication des lèvres de Mardouk (dieu dont le nom a été assimilé par la suite
        à la 12° planète, Nibiru, dans les textes mésopotamiens) l’Épopée de la Création rapporte ainsi
        la décision :

        « Je créerai un Primitif  inférieur - Il s’appellera Homme. - Je créerai un travailleur primitif - sa
        tâche sera de servir les dieux - afin qu’ils soient plus à leur aise. »

        Le mot communément traduit par « vénérer » était en fait avod signifiant travailler. L’homme ancien
       et biblique ne « vénérait » pas son dieu, il travaillait pour lui.

                    Et le seigneur Dieu * prit « l’homme »

                    et le plaça dans le jardin de l’Éden

                    pour qu’il le cultive et le soigne

        dit la Bible, au détail près d’une immense importance que les textes sumériens parlent, eux, des
        dieux. (*) La volonté des rédacteurs de la Bible d’imposer le monothéisme a conduit à la
        falsification des faits historiques quitte à les rendre obscures et incohérents :

                    Et Élohim dit :

                    « Créons l’homme à notre image,

                    à notre ressemblance. »

        Or le mot Élohim signifie littéralement « divinitéS » que la Genèse utilise pour parler de
        « Dieu »... Plus loin encore dans la Genèse : « Regardez bien, l’homme est devenu l’un des
        nôtres, il connaît le bien et le mal. » À qui donc peut s’adresser ce dieu unique dans la
        perspective monothéiste, et qui était le « nous » à l’image desquels l’homme devait être créé et
        le fut, puis eut l’outrecuidance de devenir semblable à eux ?...

        Le premier homme (homo sapiens) fut appelé Adam parce qu’il fut créé à partir de l’Adama, le
        sol de la Terre. Il était en d’autres termes, le « terrien ». Il ne lui manquait qu’un certain
        « savoir » (référence à « l’arbre de la connaissance » et une durée divine de vie (référence à
        « l’arbre de vie »)

        Sur les illustrations anciennes la ressemblance entre les dieux (les Néfilim) et les hommes est
        évidente.

        Mais comment donc l’homme fut-il créé ? L’évolution peut expliquer le cours général des
        événements qui se développèrent sur Terre; la vie et les formes de vie, de la créature unicellulaire
        jusqu’à l’homme. Mais l’évolution ne peut pas expliquer l’apparition de l’homo sapiens qui se
        produisit, pour ainsi dire, du jour au lendemain, étant donné les millions d’années que demande
        l’évolution, et le manque de toutes traces d’étapes antérieures pouvant indiquer un changement
        progressif à partir de l’homo erectus. L’hominidé du genre homo est un produit de l’évolution.
        Mais l’homo sapiens est le fait d’un événement révolutionnaire et soudain. Il est apparu de
        manière inexplicable il y a 300 000 ans, des millions d’années trop tôt ! Les savants n’ont
        aucune explication. Les textes sumériens et babyloniens en ont une ; l’Ancien Testament aussi :
        il fut créé par les dieux.

        Les anciens textes citent précisément l’époque à laquelle l’homme fut créé. Les Announaki se
        révoltèrent 144 000 années terrestres (40 shar’s) après leur atterrissage sur Terre il a quelques
        450 000 ans, en période glacière. La création de l’homme eut alors lieu il y 300 000 ans !

        Le point clé se trouve dans le conte qui montre Enki endormi, que l’on vient réveiller pour le
        prévenir que les dieux ont décidé de former un Adam et qu’il était de son devoir d’en trouver la
        façon ; il répondit : « Cette créature dont vous avez prononcé le nom - Elle EXISTE ! » et il ajouta
        : « Apposez sur elle l’image des dieux ; »

        Les Néfilim ne créèrent pas l’homme à partir de rien. Il prirent une créature existante et la
        manipulèrent pour « y apposer l’image des dieux ».

        C’est un singe humanoïde qui dut être la créature initiale, un homo erectus dont un conte
        sumérien dit ceci :

                    Lorsque l’humanité fut créée
                    Ils ne savaient pas manger le pain,
                    Ils ne connaissaient pas le port du vêtement
                    Ils mangeaient des plantes avec leur bouche comme des moutons
                    Ils buvaient l’eau des fossés »

        Un tel animal humain est également décrit dans l’Epopée de Gilgamesh :

                    Des poils touffus recouvraient tout son corps
                    Ses cheveux étaient semblables à ceux d’une femme...
                    Il ne connaît ni gens, ni terres
                    Il côtoie les animaux sauvages aux points d’eau ;

        Un chasseur dans le même texte raconte sa rencontre avec un tel être :

                    « Il remplissait les fosses que j’avais creusées
                    il détruisait les pièges que j’avais posés
                    les bêtes et les créatures de la steppe
                    il les a fait glisser de mes mains. »

        De nombreux sceaux cylindriques restituent l’image de l’homme singe ébouriffé parmi ses amis,
        les animaux.

        Pour les Néfilim l’idée avait été de domestiquer un animal qui conviendrait. Mais l’homo erectus
        posait un problème. D’un côté, il était trop intelligent et sauvage pour ne devenir qu’une simple
        bête de somme docile. D’un autre, il n’était pas vraiment fait pour la tâche : il fallait changer son
        corps physique, et son cerveau pour qu’il pût comprendre le langage et les ordres. Il n’était pas
        question d’une lente domestication, vu l’urgence de la situation.

        Des textes anciens mentionnent que la divinité Bélus fit apparaître divers «êtres hideux produits
        par un principe à double forme ». « Il y avait, en résumé, des créatures avec les membres de
        toutes les espèces d’animaux dont il reste des dessins préservés dans le temple de Bélus à
        Babylone » écrivait un certain Bésorus.

        Il est vraisemblable que ces êtres étaient le produit de manipulations génétiques sortis des
        laboratoires biologiques des Néfilim, expériences sans succès commémorées par l’art et les
        statues.

        Les textes sumériens mentionnent aussi des êtres humains déformés créés par Enki (Ea) et la
        déesse mère Ninhoursag. Après 6 tentatives imparfaites fut créé l’homme parfait nommé Adapa.
        Adam par la Bible ou homo sapiens par nos savants. Grâce à ce produit final, les Néfilim se
        trouvaient génétiquement compatibles avec les filles de l’homme, pouvaient les épouser et avoir
        des enfants avec elles. Mais cette compatibilité n’aurait pu exister si l’homme n’avait été
        développé à partir de la même «graine de vie » que les Néfilim. Ce dont font état le concept
        mésopotamien et la Bible par le «mélange du sang d’un dieu et de l’argile terrestre. Le lulu (le
        Travailleur primitif) signifie littéralement

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