http://www.finart.be/UfocomHq/sysarme_2.htm
 
 

       Les armes non conventionnelles et les OVNIs (2)

 
                                Par Yves, Ufocom – science (mars 2001)
 
 
Si les OVNIs sont plus que des OVNIs (objets volants non identifiés) ou, plus précisément, des phénomènes aériens non
identifiés, et, s’ils sont des engins d’un autre lieu ou d’un autre temps, la technologie qui leur est propre est bien plus avancée
que la nôtre. Je le sais : il y a bon nombre d’hypothèses majeures dans la phrase précédente et aucune parmi elles n’est
actuellement soutenue sans ambiguïté par des données concrètes. Toutefois, ce travail ne vise pas une discussion éternelle de
ces points. Mon but ici est plutôt celui d’examiner certains aspects de notre technologie et cet examen nous ramènera, que vous
le croyez ou non, à la question des OVNI.
 
 
Un étrange livre qui m’a été prêté….
 
L’armement était et demeure encore un domaine très compétitif en ce qui concerne la recherche et il a certainement été une des
forces motrices et innovatrices pendant les derniers 50 ans. Dans ce sens, l’analyse de la recherche militaire semble cohérente
du moment où l’on songe à l’évaluation de nos compétences militaires. Il est clair que, dans ce domaine, une classification « top
secret » s’impose. Il arrive cependant que des données coulent parfois en dehors des murs bétonnés des laboratoires militaires.
Il arrive même que de telles données soient publiées. Parmi quelques publications récentes, un ami m’a confié un livre intitulé
Les armes de l’ombre, de Marc Filterman (Editions Carnot, 1999, voir référence plus loin). Dans ce livre étrange, l’auteur, un
spécialiste d’ondes hyperfréquence ou micro-ondes, passe en revue certaines armes non conventionnelles telles les armes
nucléaires, bactériologiques et chimiques. Je connais assez bien les deux derniers domaines. Je trouve que le chapitre sur les
armes chimiques est raisonnablement bien fait, de même que celui sur les armes génétiques et microbiennes, malgré le léger
soupçon de science-fiction mentionné par l’auteur.
 
Nous allons donc examiner quelques pages intéressantes de ce livre dans lesquelles les armes non conventionnelles sont
présentées. Parmi ces armes, Marc Filterman parle de celles portées par les satellites qui orbitent autour de la terre. Toute
sorte d’armes classiques, comme les têtes nucléaires par exemple, peuvent être chargées sur de tels satellites. On peut toutefois
supposer que des armes plus secrètes pourraient également être chargées de la même manière. Ces armes pourraient être des
instruments émetteurs-radio (ou RF, fréquence radio), et par conséquent, des brouilleurs radar ou radiocom. L’usage de
brouilleurs à force brute mis à part (peu compatible avec les ressources d’énergie restreintes sur un satellite), on pourrait
concevoir que de telles armes fonctionnent de façon plus subtile, soit par des émissions répétées de signaux à l’encontre du
radar ennemi (une mesure de réaction typique), ou alors, en renvoyant des échos complexes qui provoqueront un crash
informatique massif lors du traitement du signal. Un ami, employé à la DGA (Délégation Générale à l’Armement) m’a confirmé
ce point. Il est en tout cas théoriquement possible de générer l’arrêt total d’un ordinateur ou d’un réseau d’ordinateurs par le
biais des émissions radio. Il est fort possible que de tels outils aient été testés récemment dans le cadre militaire.
 
 

Dans l’air…

 
Parmi les armes RF, les générateurs électromagnétiques à pulsations (EMP) et les générateurs à forte puissance micro-ondes
(HPM) sont certainement aussi effrayants que leurs noms. Ces dispositifs sont conçus pour générer des émissions puissantes
d’ondes radio (HPM) ou des impulsions à différentes fréquences (EMP). Une telle émission massive d’ondes radio peut avoir
un impact dramatique sur toute sorte d’équipement électronique. Sur ce sujet, rappelez-vous de ce qui est arrivé lorsque des
officiers de l’armée US ont découvert combien certains dispositifs sur un Mig-25, atterri au Japon par son pilote qui demandait
l’asile politique, étaient primitifs. Ils ont ri. Les Russes avaient l’air tellement stupide en utilisant encore leurs tubes dépassés au
lieu des jolies chips électroniques…  Toutefois, ils ont cessé de rire lorsqu’ils ont compris que l’avion avait été conçu de façon
très intelligente. L’équipement sensible était caché au milieu de l’avion et utilisait des composants électroniques, alors que les
parties les plus exposées aux ondes radio à haute fréquence utilisaient les vieilles diodes, triodes, pentodes et le dispositif
d’amplification, 10 à 100.000 fois moins sensible aux armes EMP / HPM.
 
Cependant, la peur des armes RF, est-elle vraiment justifiée ? Certains événements plus ou moins récents nous mènent à
conclure que ces craintes sont parfaitement raisonnables. La première occurrence EMP qui a été documentée a eu lieu après un
test nucléaire à haute altitude sur le Pacifique sud – qui a, en fait, abouti en une panne de courant massive aussi loin que le
Hawaï, à quelques 3.000 km de distance. Il est donc tout à fait possible qu’un engin puissant qui explose sur Chicago puisse
avoir des effets sur des villes comme New York ou Los Angeles.
 
De la même manière mais sur une autre échelle, la compagnie française des chemins de fer (SNCF) a demandé récemment aux
autorités militaires de cesser leur usage de radars en proximité des chemins de fer car cet usage avait pour effet de brouiller les
circuits électroniques du TGV et d’autres engins modernes. Il paraît même que des trains avaient effectué des arrêts d’urgence,
causés par les émissions radar. Antérieurement, le même phénomène se produisait par rapport aux voitures privées qui
subissaient des fausses alarmes et parfois même des arrêts de moteur, dus à une panne de leur système électronique d’injection
d’essence. De tels engins sont même vendus, à l’heure actuelle, à des communautés occupées à faire valoir l’application des
lois ! En fait, ces éléments ne sont-ils pas évocateurs des mots et des descriptions de témoins de rencontres OVNI ? S’agit-il
ici de simples coïncidences ? Qui sait…
 
La puissance des armes HPM est incroyable. Nous sommes bien au-dessus des 1MW de domaine de puissance maintenant,
au vu des rumeurs selon lesquels des bombes de 10 GW, de la taille d’une valise, sont déjà sur le marché…  A part cela, des
armes RF ont déjà tué. Ce n’est pas le but de ce travail de discuter la dite « expérience de Philadelphie ». Plusieurs sites Web
en présentent les données et offrent diverses interprétations du phénomène. Malgré le silence de la marine US, nous pensons au
USS Eldrige qui, le 22 juillet 1943, était au centre d’une expérience qui demeure toujours classifiée de nos jours. Les buts de
cette expérience restent peu clairs. Il est toutefois raisonnable de supposer qu’il s’agissait d’une expérience d’émission d’ondes
radio et qu’elle impliquait plusieurs dispositifs de type radar. Ce qui arrive au cours d’une expérience est toujours sujet à
controverses, exception faite des pertes humaines. Il est clair que plusieurs personnes sont mortes ou ont été sérieusement
blessées, physiquement et/ou psychiquement, lors de l’activation des générateurs à fréquence radio….
 
Le cas du porte-avions Forrestal est moins controversé. Voici le rapport, fait par le Lt Gal. Robert L. Schweitzer.
Souvenez-vous de ce nom car il reviendra plus loin dans ce texte.
 
« Permettez-moi de vous emmener sur le pont [du porte-avions] Forrestal, en juillet 1967. Des F-4 ont été chargés
dans le Golfe du Tonkin avec de l’armement prêt pour la sortie en mission. Le balayage radar sur le pont a soulevé
une défaillance de l’écran de protection d’un des F-4. En quelques secondes, un des missiles s’était détaché et roulait le
long du pont ; une conflagration absolue en a immédiatement découlé et nous avons mis environ sept mois pour
réparer le Forrestal. Au total, 134 officiers et marins ont perdu la vie, rien que pour une démonstration de physique
quantique et d’électrotechnique qui peut, et a été, utilisée pour créer des armes. »
 
Ce cas n’est qu’un cas, parmi plusieurs autres. Nous y reviendrons plus loin.
 
 

Une préoccupation mondiale majeure

 
L'intérêt de l'armée US pour les armes RF n'est pas récent, vu qu'il a vraisemblablement débuté avec la naissance de la
communication radio. Toutefois, étant donné que nos sociétés dépendent de plus en plus de l'électronique pour les affaires, les
transports et la communication, elles deviennent aussi de plus en plus susceptibles à une attaque qui ciblerait justement un tel
équipement sensible. S'agit-il ici d'un maigre scénario? Certainement, non. Plusieurs autorités militaires ont désormais souligné
que les armées "occidentales" utilisent pour la plupart les dispositifs civils de communication lesquels ne sont pas vraiment
protégés contre les armes RF.
 
Pour rester dans ce contexte, nous pouvons lire encore une fois le témoignage du Lt Gal. Schweitzer, exprimé devant
l'ensemble du comité économique du 105ème Congrès US:
 
"Vous pouvez utiliser [de telles armes] contre le système bancaire, afin d'empêcher toute transaction monétaire et
financière. Elles peuvent aussi être utilisées avec ces impulsions intenses dans le but d'attaquer les systèmes de
transport, ferroviaires et autres. Tout dépend de l'électronique, aussi bien les relais ferroviaires comme le transport
aérien et ce dernier est toujours un sujet spectaculaire dans les cibles visées par les terroristes. De telles armes peuvent
entraver le décollage et l'atterrissage d'avions. Elles peuvent faire descendre un avion. […]  Elles peuvent interrompre
la pression et l'écoulement dans les tuyauteries de pétrole, de gaz ou d’huile. Elles peuvent provoquer des pannes dans
la signalisation routière. Elles peuvent entraver le fonctionnement de centrales nucléaires et causer leur arrêt. Elles
peuvent également corrompre et modifier tout type de donnée digitale."
 
A qui pourraient-ils bien profiter, de tels crimes? Naturellement, il y a toujours l'hypothèse de "l'autre camp". Après tout, la
course à l'armement entre les hémisphères dits occidental et rouge date d'une cinquantaine d'années. Avez-vous, par exemple,
déjà entendu parler de "elipton"? Voici ce que l'on peut lire sur le site de Don Roper (professeur à l'Université du Colorado):
 
"Nous apprenons de sources roumaines que l'arme 'Elipton', mentionnée par le politicien russe Vladimir Zhirinovsky,
est un système d'armement basé sur l'interférence gravitationnelle. Les sources mentionnaient un rapport entre l'usage
de ce type d'arme et les causes du tremblement de terre arménien. L'arme est également connue sous le nom de
"marteau" et paraît pouvoir déclencher des tremblements de terre en provoquant des différences d'accélération
gravitationnelle dans des endroits où des tensions accumulées existent."
 
Et voici la déclaration de Vladimir Zhirinovsky, faite à ce sujet en 1994:
 
"Cette arme est plus puissante que les armes nucléaires car ses conséquences sont différentes et aussi parce qu'il n'y a
aucun antidote contre elle. C'est là sa force. Il n'existe pas de moyens de défense contre elle. C'est pareil pour l'arme
sonique. Cette arme existe aussi. Voici ce qui arrive: lors de la détonation d'une cartouche, le bruit est tel qu'il décime
une division militaire entière. Oui, c'est bien cela: ils sont tous morts… L'elipton a le même effet. Il n'y a pas de
radiation ni de feu. Il n'y a pas de blessures. Une division militaire entière disparaît tout simplement. Cette arme est
semblable à l'arme nucléaire mais avec cette dernière il y a la radiation. Elle a un effet endommageant. Les neutrons
pénètrent le corps humain et ils causent la destruction. Il n'y a pas de dommage avec l'arme sonique mais toute vie est
immédiatement détruite. En demandant si les Américains ou d'autres avaient l'arme, la réponse était, non, personne ne
l'a. Les scientifiques russes l'ont développée en exclusivité."
 
Vérité, canular, science-fiction ou information erronée? Qui sait…  Rappelons-nous cependant que l'information erronée
devient opérationnelle du moment qu'elle est basée, du moins en partie, sur des données vraies et concrètes.
 
En revenant à la déclaration faite par le Lt Gal R.L. Schweitzer, on pourrait argumenter que l'image a été obscurcie
expressément par le Général qui visait en partie l'ouverture des robinets financiers pour subvenir aux recherches civiles et
militaires en matière. Toutefois…  Plus nous connaissons le mode de fonctionnement de nos sociétés et l'interdépendance et
interpénétration de l'économie, plus sérieusement nous devrions nous soucier de toutes ces liaisons. Cela mis à part, même le
Général admet que la cible n'étaient pas "les Russes" et que la collaboration a eu lieu plusieurs fois:
 
"Lors de la rencontre à Bordeaux, France, en 1994, les Russes ont fait mention de leur travail jusqu'à cette date, y
compris une description assez détaillée de toute une série d'armes à fréquence radio et de documents indiquant la
stratégie, la doctrine, la tactique et les techniques sur l'usage de ces armes. Voyez-vous, je ne suis pas un de ceux qui
disent "les Russes arrivent" – ce n'est pas l'enjeu actuel. Ils sont nos amis et ils travaillent ensemble avec nous, en tout
cas pour l'instant. Nous espérons que ce sera le cas pour la suite aussi."
 
Quelle pourrait alors être la cible? Des terroristes? C'est possible. Revenons un peu sur ce que notre ami américain a dit:
 
"Il y a une année de cela, ce mois-ci à Londres – mais il n'y a pas de consensus là-dessus dans la communauté des
renseignements ni ailleurs mais, franchement et après avoir tout considéré en détail, je pense que la dispute sert à
protéger le fait que l'évènement ait eu lieu [remarquez ici la méthode utilisée par des officiers UK pour une
information erronée]. Toutefois, le London Times, nullement un tabloïde, informait en juin 1996 des attaques faites
aux institutions financières et bancaires, assez pour montrer les dommages possibles. Par la suite, ils ont extorqué une
somme énorme d'argent, £ 40 millions. On m'avait dit qu'il s'était agi d'un canular. Une semaine plus tard, il y a eu un
reportage indiquant que le gouvernement examinait sérieusement l'affaire et que, oui, les évènements ont bien eu lieu."
 
Cette hypothèse est soutenue par le bas prix de telles armes qui de toute évidence pourraient être construites par des amateurs.
Voici, en effet, ce que le Lt Général ajoute:
 
"De jeunes ingénieurs ont relevé le défi que nous leur avions posé, en tout cas en partie: ils sont allés dans une
boutique radio et ont acheté les composants nécessaires pour fabriquer une arme RF, montée sur une camionnette.
J'avais suggéré une fourgonnette mais ils n'en avaient pas, alors ils l'ont montée sur une camionnette. Ce dispositif
sera testé ce mois-ci. Je suis sûr qu'il va fonctionner. Le coût est de l'ordre de $ 800. Ces armes à faible puissance
peuvent effectivement avoir un énorme impact sur les infrastructures. Je vous cite brièvement certains des effets
qu'elles peuvent avoir sur l'infrastructure: elles peuvent avoir un effet sur le réseau national d'énergie, sur toute chose
contenant une puce électronique, sur les panneaux de circuits intégrés et toute sorte d'équipement électronique."
 
A cet égard, mon contact au DGA a une opinion légèrement différente. Il croit que ces dispositifs nécessitent, pour être
pleinement efficaces, à la fois d'une charge considérable d'énergie (celle-ci pourrait toutefois être fournie par un dispositif
explosif classique) et d'un niveau technologique assez élevé, afin d'ajuster parfaitement les différents composants d'une "bombe
électronique". Il signale néanmoins que, même si nous n'avons pas encore vu des attaques terroristes avec usage de telles
armes, nous ne sommes pas protégés contre des actions du genre, surtout en considérant l'afflux récent de savoir-faire et de
technologie "russes". Il ajoute également que la préoccupation des forces armées n'est pas centrée sur l'usage de telles armes
mais plutôt sur les moyens de se protéger d'elles. Ce qui est fort intéressant…
 
 

Les dispositifs RF tuent encore

 
Malgré mes doutes concernant l'usage de ces armes par des terroristes, il est fort possible que des dispositifs militaires aient tué
des centaines de personnes récemment.
 
Vous souvenez-vous du vol TWA 800? Cet avion, un B747-100, en route de l’aéroport JFK vers l'Europe a explosé pendant
le trajet le long de la côte de Long Island. L'explication officielle: explosion du réservoir central de carburant. Il existe
cependant une telle quantité de simulations, témoignages et de données qu'il est difficile de croire que l'avion a effectivement
"explosé". Plus précisément, la reconstruction de l'appareil et les enquêtes sur l'accident ont démontré que l'avion a
probablement été heurté par un objet, un missile de structure non conventionnelle peut-être, et qu'il n'a explosé que bien plus
tard.
 
Ainsi, cet accident aurait été tragique, mais "seulement" un accident. Quel rapport avec le dispositif RF? Et bien, plusieurs
enquêteurs ont insisté sur le fait que le missile n'avait pas heurté les réacteurs, tel qu'un missile conventionnel guidé par
infrarouge aurait fait en étant attiré par la chaleur des moteurs, mais plutôt la partie centrale d'émission radio de l'appareil. De
plus, quelques minutes avant sa destruction, l'avion avait eu une panne électrique. Enfin, lors de l'accident, l'avion était "trop bas
et trop en retard" pour la marine US, en manœuvre juste au-dessous… et au-dessus, pour ce qui peut être considéré comme
une zone hautement contrôlée.
 
Et ce n'est pas tout. Elaine Scarry (voir réf. plus loin) indique dans un article remarquable que dans la même zone à côté de
Long Island, deux autres – voire, probablement trois – avions se sont déjà écrasés dont la cause était une panne massive de
courant à bord. Ceci concerne le vol TWA 800, mais également les vols Swissair 111 et Egyptair 990. Pour les deux premiers,
il y a une coïncidence frappante: l'accident a eu lieu au même endroit, avec des avions partis de JFK suivant une trajectoire de
vol similaire, à la même heure et le même jour de la semaine. La probabilité de deux événements indépendants l'un de l'autre est
donc proche de zéro, peut-être moins qu'une chance parmi 50 millions…  Ces remarques mises à part, Eliane Scarry propose
l'hypothèse suivante pour expliquer la panne de courant: une émission RF massive. Devinez qui était sur place lorsque le vol
Swissair 111 s'est écrasé? Bingo! La marine, et plus généralement, les militaires…
 
Dans les deux cas, on est tenté de supposer que la région était peuplée alors d'une forte activité militaire, déployant de vaste
moyens électriques, des fréquences radio destinées possiblement à "endurcir" des dispositifs électroniques, tels que l'on utilise
pour équiper des missiles peut-être…  Tout bizarrement, ce qui a eu lieu lorsque le vol TWA 800 s'est écrasé, n'était pas un
exercice mais une "mission", protégée par le bien connu tampon "top secret".
 
Un pas de plus: cette région connaît une forte fréquence de trafic aérien et plusieurs événements au seuil d'accidents y ont eu
lieu. Certains de ces événements avaient impliqué des appareils militaires ou de type militaire. Ainsi, selon la "une" des journaux,
les vols US Air 3684 (mars 1996), TWA 884 (en route vers Tel Aviv, deux fois, juillet et novembre 1996), Northwest Airlines
775 (mars 1997) étaient tous juste à quelques km et même mètres les uns des autres …
 
Mais voilà que j’ai gardé le meilleur pour la fin…Il paraît que cette même région a été témoin de nombreuses collisions
manquées entre avions et des OVNIs…  En novembre 1995, le vol Lufthansa 405 a informé sur un contact avec un OVNI.
Voici ce que les membres de l’équipage ont dit :
 
« C’était très proche et […] il semblait être à quelques 2.000 ou 3.000 pieds au-dessus de l’aile gauche, juste une
mille et, euh, dans la direction opposée… Il n’a pas… il n’avait pas, euh, des feux normaux, des feux de
balisage, rouges ou verts. Juste une lumière blanche au devant, avec une longue lumière verte. Cela
ressemblait à un OVNI. »
 
La même histoire pour le vol Swissair 127, en août 1997, selon les dires de l’équipage :
 
« Je ne sais pas ce que c’était mais il nous a survolé de…. quelques centaines de pieds…  Je ne sais pas si c’était une
fusée ou quoi, mais cela allait incroyablement vite dans la direction opposée […]  C’était trop rapide pour être un
avion. »
 
Ce ne sont que deux cas, parmi d’autres cas documentés. Encore une fois, on a une équation du type ‘forte activité militaire =
OVNI proche = constante’.
 
 

Cibles d’ailleurs ?

 
Une des théories sur les armes RF est celle qui maintient qu’elles pourraient être utilisées lors d’un conflit non conventionnel,
commencé à niveau local ou planétaire. A nouveau, les adversaires pourraient être des groupes terroristes ou des Etats, mais ils
pourraient également être des adversaires non conventionnels. Et toute l’histoire pourrait viser la protection de nos forces
armées contre certains des effets électriques de « rencontres exotiques » comme par exemple, celles d’avions militaires avec
des OVNI. S’agit-il de science-fiction médiocre ? Peut-être. C’est une hypothèse qu’il convient d’analyser à l’aide d’une
déclaration du Lt Gal. Schweitzer :
 
« A partir de 1949, l’intense intérêt de l’ex-URSS dans le développement de ces armes semble provenir de leur prise de
conscience quant à leur infériorité par rapport aux occidentaux dans la course de l’électronique et, en même temps, de
leur conviction que les armes RF ont la puissance pour être efficaces contre notre électronique sophistiquée. Il est
moins clair pour moi et pour d’autres, dans quel but ils se montrent si disposés à transférer et à laisser proliférer les
technologies RF qu’ils ont développées avec autant de soin et si bien, néanmoins, ils sont en train de le faire. [De plus]
Le Président Eltsine a proposé au Président Clinton un programme commun de « défense plasmoïde » contre les
ICBM. Tandis qu’il n’est pas très clair pour beaucoup de scientifiques ce que le Président Eltsine voulait dire, une telle
défense, en admettant que l’on parvienne à l’obtenir, créerait probablement un bouclier qui aurait pour effet d’ioniser
l’atmosphère, ce qui ferait échouer les missiles. »
 
Il a encore rajouté :
 
« La façon dont [les armes RF] sont conçues dans la recherche faite aux USA, rend celles-ci parfaitement sûres
[ailleurs…]. Elles sont absolument sûres pour les êtres humains car elles obéissent aux normes de protection pour les
humains. C’est, en effet, un avantage. Elles sont devenues des armes non létales dans ce sens. »
 
Les personnes des vols Swissair 111 et TWA 800 auraient probablement des avis différents, s’ils le pouvaient.
 
Références:
 

Déclarations du Lieutenant Général Robert L. Schweitzer

http://www.soci.niu.edu/~crypt/other/schweit.htm
http://209.207.236.112/irp/congress/1997_hr/j970617s.htm
http://cryptome.org/rfw-jec.htm
 

A propos des armes EMP/EP

Marc Filterman, “Les armes de l’ombre”, Editions Carnot, Chatou, 1999.
http://cryptome.org/rfw-jec.htm
http://www.fas.org/nuke/intro/nuke/emp.htm
http://www.airpower.maxwell.af.mil/airchronicles/kopp/apjemp.html
http://www.house.gov/jec/hearings/radio/schriner.htm
http://www.de.afrl.af.mil/pa/factsheets/HPMicro.html
http://www.brad.ac.uk/acad/nlw/censdera.html
http://www.dallas.net/~pevler/
http://www.cadre.maxwell.af.mil/warfarestudies/iwac/IWCBT/EWemptgulf.htm
http://www.parascope.com/articles/0797/em.htm
http://www.sonic.net/~west/ewar/ewar.htm
http://www.infowar.com/mil_c4i/mil_c4i_021698b.html-ssi
http://www.jaycor.com/eme/auto.htm
 

A propos de “elipton”

Lovece, Joseph, "CIA Asked to Review 'Buck Rogers' Weapon", Defense Week, 1994
http://www.time.com/time/magazine/archive/1994/940110/940110.russia.html
http://csf.colorado.edu/dfax/mn/mn9413.htm#T-0027
 

Les vols TWA 800 et Swissair 111

http://serendipity.magnet.ch/more/twa800.html
http://www.angelfire.com/hi/TWA800/index.html
http://www.parismatch.tm.fr/archives/news/twa800/
http://cryptome.org/twa800-emi.htm
http://whatreallyhappened.com/RANCHO/CRASH/TWA/twa.html
http://users.erols.com/igoddard/twa-core.htm
http://www.all-natural.com/twa800.html
http://hometown.aol.com/bardonia/part2.htm

Commentaires de Elaine Scarry au sujet des vols 800 et 111

Scarry, Elaine, “Ce que les boites noires ne disent pas”, Le Vrai Journal, 5, 2000
http://www.twa800.com/index.htm
http://www.twa800.com/news/scarry-9-21-00.htm
 

Remerciements à Alain H. pour ses commentaires.

Yves, Ufocom - science
Traduit de l'anglais par Eva, équipe traduction Ufocom
A Michelle et aux autres