Maladie mentale et infirmité.


"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA  -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm,  1997. {(pages 227 et 228)(Extrait 26)}.

    « Quel but un  enfant peut-il avoir dans la vie quand il est arriéré, infirme ou aveugle de naissance? Je sais que jamais rien d'inutile n'arrive, mais je ne vois pas de raison justifiant la présence de tous les enfants en retard dans leur développement mental que nous avons dans notre société. Je vais avoir l'air cruel, mais comment ces pauvres âmes pourraient-elles apprendre quoi que ce soit? Ne vaut-il pas mieux, pour leur bien à eux, qu'ils meurent? »

    Réponse. Certains de ces enfants attardés sont nés dans cet état parce qu'avant de vinir sur Terre, ils ont choisi ce type de vie afin d'acquérir ce type d'expérience. Après tout, comment pourriez-vous vous initier aux sensations d'un enfant arriéré si vous n'avez jamais été arriéré et guéri de cette infirmité, comment pouvez-vous venir en aide aux enfants arriérés?

    Certains cas d'enfants arriérés pourraient être considérablement améliorés. Leur arriération peut provenir de négligence à la naissance ou simplement d'une mauvaise éducation ou encore du fait qu'ils sont nés de parents âgés. Mais la plupart de ceux de cette dernière classe ont une  « relation médiocre » avec le Sur-moi et, de ce fait, les messages qui leur sont destinés ne sont pas convenablement transmis. Naturellement, il y a, dans le monde, bien des gens qu'on devrait renvoyer « à la maison » tout comme on envoie des animaux « à la maison » quand ils souffrent de maladies incurables; mais c'est là une attitude qu'on ne peut pas observer à l'égard des êtres humains parce que l'opinion publique s'y oppose. En théorie, le meilleur parti à prendre serait de faire mourir un arriéré mental - en théorie. En fait, cependant, il serait impossible de distinguer entre ceux qui seraient incurables du point de vue de l'enseignement et ceux qui, effectivement, n'apprennent que l'amertume. Un autre point se pose ici: une personne incurable aujourd'hui et, de ce fait, candidate à l'euthanasie, pourrait être guérie demain ou la semaine prochaine grâce aux progrès de la science.

********************