Le Jumeau Noir et Mondes de matière et d'antimatière

12 - Les univers secrets

Par TUESDAY LOBSANG RAMPA
Paris :  Éd. J'ai Lu, 1991, 312 P.
Montréal : Éditions La Presse [c1972] {1er trimestre}, 222 pages, tirage de 1979.
Montréal : Éditions Stanké, [c1979] ,  [1989?]

12- Les univers secrets / traduit de l'anglais par Henriette Nizan, sous la direction de Jean-Louis Morgan.  -- Montréal : Editions La Presse [c1972] tirage de 1979, 318 p. ; 17 cm. -- Paris : Éditions J'ai lu, 1991, c1972.*  -- [Montréal] : Stanké, [c1979] , 222 p. ; 21 cm.,  [1989?]

{Les Univers Secrets, par Rampa: (pages 51 à 57 )(Extrait)}[17] Le Jumeau Noir et Mondes de matière et d'antimatière.

    Depuis des siècles, les initiés de l'Extrême-Orient savent qu'il existe un monde correspondant à celui où nous vivons et qu'ils nomment le Jumeau Noir. Les hommes de science occidentaux se sont pendant des années moqués de ce genre de choses, persuadés dans leur ignorance, que seules existent les découvertes de la science occidentale. Pourtant, assez fréquemment, le Prix Nobel a été décerné à un homme qui a découvert certains faits ayant rapport au monde de l'antimatière.

    C'est en 1927 qu'un physicien britanique s'apperçut qu'un monde de l'antimatière existait bel et bien, mais il eut des doutes sur la valeur de sa découverte, doutes qui, apparemment, provenait d'un manque de confiance en soi. Plus tard, un autre physicien - américain, cette fois - et qui se nommait Carl Anderson, photographia des rayons cosmiques traversant une chambre spéciale. Il y trouva les traces d'un électron différent des autres. En fait, des anti-électrons et, pour sa découverte, qui avait été précédée par celle de 1927, Anderson reçut le Prix Nobel.

    Les savants occidentaux admettent maintenant (et il y a des siècles que les initiés d'Extrême-Orient le savaient) qu'un atome d'hydrogène et son correspondant d'antimatière pourraient produire une explosion auprès de laquelle la bombe atomique ferait l'effet d'un pétard mouillé. Mais entrons un peu plus avant dans le sujet.

    Toute vie, toute existance est mouvement, flux, ascension et chute, croissance et décroissance. La vue elle-même consiste en mouvement, puisque les cônes et les bâtonnets sur lesquels se peignent les impressions visuelles répondent à des vibrations (mouvements) émises par l'objet considéré. Rien au monde n'est immobile. Une montagne qui semble une structure solide est, finalement, une masse de molécules en mouvement, tournant les unes autours des autres comme des éphémères par un soir d'été. À une échelle plus vaste, on peut la comparer au cosmos, car le cosmos est composé de planètes, de mondes, de météores qui tournent et tournent dans un mouvement perpétuel. Rien n'est immobile. On n'est pas même immobile dans la mort.

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