Au pays de la Lumière Dorée 3

03- L'HISTOIRE DE RAMPA

          Par TUESDAY LOBSANG RAMPA
          Paris :  Éd. J'ai Lu,©1963, 1971,1980, 1981, 1984, 1986.
          Paris : Éditions A. Michel, 1972, ©1963.
          ©1960-> en anglais

- {L'HISTOIRE DE RAMPA: (pages 101 à 110)(Extraits)}[23] Au pays de la Lumière Dorée 3.

    L'Homme Éminent reprit la parole:

    - Tu as le choix, mon cher Lobsang. Tu peux, la conscience en repos, abandeonner ton corps dès à présent et rester ici. Mais si tu retournes sur Terre, l'échange des corps ne se fera pas tout de suite. Avant que tu ne prennes une décision, je dois te dire qu'en revenant sur Terre, tu retrouveras la peine, l'incompréhension, l'incrédulité et même la haine, car il existe une force du mal qui tente d'empêcher tout ce qui est favorable à l'évolution humaine. Tu devras lutter contre ces forces mauvaises.

    - Mon choix est fait, répondis-je. Vous m'avez montré la voie. Je continuerai jusqu'à ce que ma tâche soit accomplie, et si je dois prendre un autre corps, eh bien, je le prendrai.

    Une torpeur m'envahit. Mes yeux se fermèrent malgré moi. La pièce s'estompa et je perdis conscience. Le monde semblait tournoyer sur lui-même. J'entendais à mes oreilles une sorte de rugissement et un murmure de voix. Et, sans pouvoir m'expliquer pourquoi, j'avais l'impression d'être attaché. Étais-je de nouveau en prison? Les Japonais m'avaient-ils capturé? Mon voyage à travers la Russie était-il un rêve, avais-je vraiment été au « Pays de la Lumière Dorée »?

    - Il reprend conscience, dit une voix rude. Hé, réveillez-vous, cria quelqu'un à mon oreille. J'ouvris péniblement mes yeux douloureux. Une femme russe me regardait, les sourcil froncés. .. j'étais dans une salle d'hôpital en compagnie d'une cinquantaine d'autres hommes. Alors la douleur m'envahit, se répandit dans tous mes membres, pareille à une onde de feu. Respirer était difficile. Je ne pouvais pas bouger.

    - Bah, il s'en sortira, dit la doctoresse au visage impassible ...

    Je demeurai étendu, le souffle coupé par la douleur que je ressentais au côté gauche. Ici, on ne donnait pas de drogues pour calmer la douleur.

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