Greffes d'organes -> effets 1

11 - POUR ENTRETENIR LA FLAMME

      Par TUESDAY LOBSANG RAMPA
      Paris : Éd. J'ai Lu, 1989, 256 P.
      Monaco : Éd. Rocher, 1987
      Montréal : Éditions de l'homme, 1972.--1971*

- {POUR ENTRETENIR LA FLAMME, par RAMPA: (pages 160 à 162)(Extraits 61)} Greffes d'organes -> effets 1.

Question: « Que penser de l'engouement actuel pour les transplantations de coeurs et les autres interventions chirurgicales où on greffe dans un corps des organes étrangers, des valves en plastique, des tubes, etc. D'un point de vue purement matériel, physiologique, la chose paraît devoir être considérée comme une réalisation semsationnelle, mais fait-elle l'affaire? L'emploi de divers produits chimiques neutralisera-t-il la tendance normal du corps à rejeter n'importe quel élément étranger qu'on y introduit de cette manière? Ou bien, pareil rejet est-il inévitable simplement parce qu'en introduisant dans le corps un nouvel organe parfaitement sain pour remplacer un membre malade, on n'obtiendra pas un amalgame parfait entre l'élément éthéré toujours malade de l'organe en question et la contrepartie matériellle qu'on y introduit artificiellement? Et, d'ailleurs, y a-t-il vraiment un gain réel pour l'individu qu'on opère, si le résultat de cette intervention est quelques mois ou même quelques années d'invalidité ajoutée à son séjour actuel sur Terre. À moins toutefois qu'il n'utilise vraiment le temps ainsi gagné pour apprendre quelques lçons qui en valent réellement la peine et qui autrement auraient été reportées à une autre incarnation ».

    Eh bien! voilà certainement des paroles d'or. Il y a plusieurs centaines de siècles, au temps de l'Atlantide, les gens savaient faire des transplantations d'organes. En ce temps-là, il était possible de greffer un bras ou une jambe, possible aussi de remplacer coeur, reins et poumons. Mais, c'est par une intervention providentielle de la Nature que fut anéantie une civilisation qui accomplissait de telles choses. Les gens de cette époque essayèrent de remplacer des cerveaux et ils produisirent des monstres amoraux.

    Au fond, il n'y a pas grande difficulté à remplacer un coeur. Il s'agit simplement d'un procédé mécanique. Il faut exciser le coeur et calibrer le coeur de remplacement de façon que ce nouvel organe s'adapte exactement aux « conduits » qui restent. N'importe quel chirurgien compétent pourrait réussir pareille opération.

    Dans le monde physique, on a produit ainsi un demi-invalide. Après tout, quand on exécute une opération aussi radicale, on n'arrive pas à remettre bout à bout certains vaisseaux sanguins et certains nerfs. L'organisme tout entier en est fortement ébranlé, si bien que ce patient très malade se voit atteint d'un mal supplémentaire: l'altération de son corps. Néanmoins, pareil malade peut survivre pendant un nombre illimité d'années, survivre en menant une existence de demi-invalide.

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