Sujet: Il faut arrêter de propager l'idée que les LampesFluoCompactes-LFC sont... N.U.no.443
De: béate
Date: Mon, 14 Jan 2008 18:51:31 -0500 (EST)
A: vision_globale@sympatico.ca

Lampe FluoCompacte
- LFC -
Le choix de l'éclairage domestique n'est pas à prendre à la légère,
son action peut avoir un effet sur la santé de toute une famille.

Il faut arrêter de propager l'idée que les Lampes FluoCompactes (LFC)
constituent un produit écologique
car les LFC génèrent une kyrielle de nuisances :
avec la complicité des autorités, les industriels dissimulent la vérité !.

Le ballast électronique intégré avec self des LFC est responsable d'émissions rayonnées
BF et HF micro-ondes .
Il en résulte de fortes impulsions de courants parasites en sortie du ballast,
celles-ci circulent dans le conducteur de terre et également dans le conducteur d'alimentation.
En raison de la fréquence élevée de ces courants
il y a évidemment un fort rayonnement électromagnétique.
Conscients du problème, les industriels ont donc placé la lampe le plus près possible
du ballast électronique afin de réduire au maximum la longueur des conducteurs
les plus rayonnants en hyperfréquences micro-ondes.
Afin que ces hyperfréquences rayonnées ne perturbent pas les ondes radios,
courants porteurs, etc ... des filtres sont intégrés au ballast
(limites d'émission : Normes EN55015 bande 9KHz à 30MHz).

Les irradiations Hyperfréquences micro-ondes sont dont bien une réalité des lampes Fluocompactes.
Il n'y a aucune ambiguïté : très puissantes à l'allumage ces irradiations HF sont mesurables.
Néanmoins, elles diminuent fortement après une période de plusieurs minutes (montée température).
En conséquence,
contrairement à ce qui est souvent véhiculé dans le grand public, ces rayonnements
ne s'arrêtent pas à 30 cm de la lampe, mais génèrent un lobe d'environ 3 mètres de diamètre :
Les LFC représentent une importante nouvelle source d'immixtion en CEM dans les foyers
de part leur multiplicité, malheureusement les citoyens ne s’intéressent pas
de près à ce sujet car ils s’imaginent être en sécurité . . .
L'ADEME n'a pas étudié les CEM dans la zone des 30 cm.
C'est un faute inexcusable de l'ADEME de ne pas en informer le grand public
(vidéo ancienne version: "La faute inexcusable de l'ADEME")
(nouvelle version actualisée en cours)

La normalisation Française des limites d'irradiations RNI est issue des normes européennes
1999/519/EC

Recommandation du Conseil du 12 07 1999,
relative à la limitation de l'exposition du public aux champs électromagnétiques de 0 Hz à 300 GHz.
.

Ce document est assez complexe à comprendre pour le grand public.
Néanmoins la seule différence notoire avec la réglementation concernant la téléphonie mobile
(DAS)
est la non pulsation des rayonnements HF émis par les LFC.
Les valeurs limites étant identiques avec une plage de fréquences additives pour les LFC de
10 à 400 MHz pour 28 V/m de valeurs limites,
sont calculées moyennées toujours sur une exposition aux irradiations de six minutes !.

Le corps humain possède une capacité de thermorégulation grâce à la circulation sanguine. Néanmoins au-delà de 6 minutes d’irradiation la charge thermique va devenir trop importante,
le corps n’étant plus capable d’éliminer les calories aussi vite qu’il les absorbe.
Il s’ensuit une augmentation de température localisée ou non sur une partie du corps,
qui peut s’avérer très dangereuse si elle n’est pas stoppée.

Cet échauffement induit dans les tissus de l’organisme peut provoquer
des réactions physiologiques et thermorégulatrices temporaires,
notamment une réduction des capacités physiques ou mentales au fur et à mesure
que la température du corps augmente (ex. la fièvre en centième ou dixième de degré).
On a ainsi pu remarquer que l’utilisation des LFC peut provoquer notamment
l’échauffement des hémisphères du cerveau qui peuvent être situés à proximité de la LFC.
En conséquence,
après une longue présence d'une partie du corps à une distance proche d'une LFC
il peut y avoir dépassement de cette période d’irradiation stipulée dans les textes de lois normatifs
et non conformité des taux d'irradiations à la réglementation opposable . . .
Même si la diminution des irradiations est très significative en fonction de la distance,
il est nécessaire de replacer les paramètres de cet éclairage
à vocation industrielle dans un contexte d'utilisation domestique
avec une hauteur sous plafond de 2m50 et
d'une source d'émission pérenne
pour comprendre notamment les effets nocifs sur le Système Nerveux Central (SNC).
C’est pour cela que Next-up organisation accuse les autorités sanitaires nationales
et notamment l'ADEME de dissimulation des risques
et demande la mise en conformité de toutes les ampoules à décharge
de type LFC à usage domestique.

Facteurs aggravants pour une utilisation des LFC dans un contexte domestique :
les personnes peuvent être soumises à des expositions
multiples et simultanées qui génèrent un taux d'irradiation cumulatif.
(Réglementation : Annexe IV, Calculs des Restrictions de bases : page 10)

La notion de distance de l'humain
par rapport aux irradiations HF émises par les LFC est le paramètre essentiel :
une personne de taille moyenne (1m73) aura souvent lors de ses déplacements et séjours
sa boîte crânienne exposée à environ de 30 à 50 cm, voire moins de la source d'émission HF.
L'important étant le rapport dose d'irradiation par rapport au temps.

En conséquence, dans un espace cuisine par exemple :
l'irradiation sera conséquente car la position debout est fréquente.
Pour une personne assise sur une chaise ou dans un canapé, en fonction de la distance,
pour la même période, la dose d'irradiation reçue sera divisée par deux, voire par trois.


Les nombreux éléments métalliques présents dans une cuisine seront des facteurs aggravants.
De même, toutes les personnes qui portent des éléments métalliques endogènes, ou
des bijoux, des lunettes (non titanes), des baleines de soutien-gorges métalliques, etc . . .
seront plus exposées à ces rayonnements électromagnétiques hyperfréquences micro-ond
es.
LFC et les UV
Les LFC produisent un éclairage fluorescent riche en ultra-violets suivant
des ondes bien spécifiques dues à la vapeur de mercure traversée par le courant électrique.
Plusieurs baies d'émission dans les UVB et en particulier à 365 nm dans les UVA.
Par l'adjonction de certains matériaux sur les diffuseurs
les fabricants essayent aujourd'hui de réduire considérablement ces UV.

LFC et l'effet STROBOSCOPIQUE
Dans l'éclairage fluorescent la modulation temporelle de la lumière due au courant alternatif
n'est pas amortie comme par le filament de tungstène (lumière de nature isotrope).
Cette lumière, dite anisotropique vibre à un rythme de 100 battements par seconde
et peut provoquer pour des personnes prédisposées, notamment les EHS :
fatigue visuelle, maux de tête, accélération du rythme cardiaque, épilepsie, etc . . . .
Conscients de ces problèmes, les industriels essayent de limiter cette modulation par l'apport d'améliorations technologiques afin de tendre à rendre celle-ci plus acceptable.
 
tiré de:
Next-up news n°443 L'éclairage enjeux énergétique Comparatif LED LFC
   
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- Dossier économie d'énergie lampes LED et LFC :
- L'éclairage enjeux énergétique ? . . . La réalité des chiffres (comparatif) (ensuite cliquer sur Français).
 
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