P. de chatillon.....energie libre, chapitre2......le quadrhyton....et l'annuelle en octobre, a BEAUPORT.

mardi 23 septembre 2008 01 h 02
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..
...p. de chatillon.....
voici sa notice a tous ....( http://www.incapabledesetaire.com/rebelog.htm ) :

Je vous offre une chance unique.

 

 

Mise à jour : Deux quadrhytons ont été acquis, il n’en reste que trois.

 

 

Fin 30 septembre - Quantité : 3  - mise actuelle : $60.00

 

PS : Gang à B. recontactez-moi.
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voici ce qu,est le quadrhyton:

Chapitre #7 : Réalisation de l’accélérateur : Quadrhyton

 

 

 

 

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Coûts des matériaux: $25.00

Temps de réalisation : 2 jours.

 

Le quadrhyton est une de mes réalisations. Combinant le rhyton ancien et un quadruple tuyau toroïdal utilisé par Schauberger et prétendument inventé par Euler, de là son nom, il permet d’accélérer la vitesse de l’eau pour la projeter contre toute attente de la physique moderne, dans un jet qui peut atteindre 3/8 de pouces à plus de 3 fois la vitesse normative, produisant un jet d’eau qui atteint 8 pouces pour une colonne d’eau de 4 pouces de hauteur. (L’exemple fut réalisé avec une colonne d’eau optimale ne dépassant pas la gorge du quadrhyton.)

 

Bien que sa réalisation nécessite certaines habiletés manuelles, il est à la portée de tous. En plus de reproduire un jet d’eau hors-norme, sa construction fait cheminer l’eau d’une façon idéale, assurant ainsi de lui communiquer la vitalité du vortex.

 

Au contraire d’une sculpture quelconque, l’aspect extérieur n’apportera rien d’autre qu’une valeur purement esthétique. La recherche d’une courbe parfaite ne sera donc pas à l’extérieure, mais à l’intérieure. Comme il est aussi difficile de construire une corne par l’intérieure que de construire un navire dans une bouteille, il faut donc utiliser une méthode différente pour s’assurer une qualité adéquate dans la finition intérieure, dont la glisse de l’eau devient significative dans le résultat final.

 

Pour y arriver, il faudra sculpter un négatif de la paroi interne du quadrhyton sur un médium quelconque, cette âme sera ensuite recouverte d’une croûte avant d’être dissoute, une méthode qui procure une finition interne d’une grande qualité.

 

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Voici deux âmes de quadrhyton de 10 pouces. L’âme de droite en styromousse est le prototype original. La quadruple torsade fut sculptée à la main sur un cône de styromousse, avant d’en réaliser un moulage permettant de reproduire des copies de cire au besoin, comme celle à gauche.

 

Le moulage n’est pas une étape indispensable et  l’âme peut être sculptée directement sur la cire ou le styromousse pour la réalisation individuelle, évitant ainsi une étape supplémentaire qui ne visait à l’origine, qu’à produire des copies aux fins d’expérimentations.

 

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L’âme sera ensuite simplement recouverte d’une croûte qui peut-être en ciment comme les deux quadrhytons de gauche, ou en résine de synthèse comme ceux de droite, dont celui situé à l’extrême droite fut la dernière évolution.

 

La réalisation terminée, l’âme de cire peut-être fondue ou celle de styromousse dissoute à l’acétone, laissant une empreinte parfaite de l’âme dans le quadrhyton.

 

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Il peut-être de toute grosseur comme en témoigne ici le « mammouth » un quadrhyton de 24 pouces dont on peut apercevoir la gorge en bas. Cette bête est capable de propulser un jet d’eau de 3/4 de pouces avec une puissance similaire à celle d’un aqueduc.

 

Le concept derrière l’utilisation du tuyau toroïdal ou  tuyau ovale conique est de récupérer une eau de la croûte (nom du bol surplombant la corne) en lui fournissant un accès à un chemin idéal de l’eau en mode résistance vortex, d’ou elle accumulera du spin (rotation radiale). Bien engagé dans un des canaux intérieurs de la corne faisant office de conduit toroïdal, l’eau accumulera ce spin pendant qu’elle chemine sur le pourtour de la corne. Tout au long de la corne, ces différents corridors d’eau alimentés du spin radial optimal, redresseront graduellement leurs spins dans l’axe de la corne, communiquant à l’eau un ajout de vélocité, qui doit être capturée au fur et à mesure de leurs parcours dans le tuyau.

 

Le redressement du spin sera effectué par la modification graduelle de l’angle du conduit toroïdal autour de la corne pour l’amener en direction de l’axe de la corne. La capture de l’énergie sera réalisée en effilant graduellement (forme conique) le conduit toroïdal, obligeant l’eau à glisser plus rapidement et l’empêchant de retourner à sa vélocité antérieure. Au fur et à mesure du parcours, les différents corridors d’eau seront mariés avant d’être expulsés de la corne.(...)




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Chapitre #2 : Une découverte insolite

 

« Tous ceux qui ont défendu que l’univers n’était que gravitationnel, ne sont que des ignorants, des crapules, ou encore un savant mélange des deux. » Pierre De Châtillon

 

Fondamentale de l’ancienne science attraction/résistance, à quel endroit pouvait-on apercevoir la présence de cette énergie ?

 

Si elle existait vraiment, on devait pouvoir la constater de visu. Opposer une telle résistance à l’attraction, nécessitait des moyens au moins aussi importants que l’attraction elle-même, ces moyens devaient être tributaires d’un réservoir d’énergie quelconque dont la présence devait nécessairement être visible ou laissez des traces.

 

Vortex : Qu’est-ce qui empêchait la terre de s’effondrer sur le soleil ?

 

La balle qui tourne au bout d’une corde, tourne tant que ma main alimente la rotation et retombe aussitôt que l’énergie provoquée par le mouvement de ma main disparaît. L’attraction étant simulée par la corde, plus la corde se raidira, plus la balle tournera rapidement offrant une résistance de plus en plus grande, raidissant la tension de la corde. Tout semble valable, tant que nous n’observons pas de différence notable entre le modèle et la réalité.

 

Mais il y a une différence notable entre le modèle et la réalité, car si la balle est immobilisée de mouvement sur elle-même, dans la réalité toutes les planètes révolutionnent sur elles-mêmes. Dans un modèle balle-corde, la révolution des planètes deviendrait accessoire, une simple réaction à une autre énergie ou à un surplus d’énergie dispensé par une attraction drabe, dont la résistance résultante, tenait la planète à distance du soleil... Un gaspillage peu convaincant.

 

Autrement le modèle balle-corde n’est pas valide et ne permet pas une nette représentation du phénomène. Soit par un manque de liberté de la balle qui ne permet pas de distinguer une rotation, soit parce que cette balle et cette corde ne sont que ça, une balle et une corde et que leurs rotations n’ont rien à voir avec un vortex, caractéristique essentielle pour initier le travail de résistance.

 

Pour faire la part des choses, il fallait dénicher un modèle permettant une liberté sur tous les axes.

 

De fait, c’est à l’observation d’un réservoir rempli d’eau qu’il est possible de constater certaines caractéristiques significatives supportant la théorie de l’attraction-résistance. 

 

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Si on perce un orifice dans un réservoir d’eau, l’eau en sera expulsée. Soumis à la constante gravitationnelle, le poids de l’eau surplombant l’orifice occasionnera une pression propulsant l’eau à l’extérieur. Dès le passage de l’orifice, la pression s’effondre brutalement pour communiquer à l’eau une vélocité maximale en fonction d’une deuxième constante permettant la mesure de la vélocité de l’eau expulsée et qui sera de 8 fois la racine carrée de la hauteur de la colonne d’eau surplombant l’ouverture ( V = 8ÖH). 

 

À l’exemple, une colonne d’eau de neuf mètres de hauteur propulsera l’eau à l’ouverture, à une vitesse de 24 mètres par seconde.

 

Non négociable, cette constante ne changera pas !

 

Non négociable, cette constante ne changera pas ?

 

Pas sur.

 

Elle ne changera pas, à moins que l’orifice ne soit disposé sur la face ventrale et que son écoulement n’engage un vortex (tourbillon) dans le réservoir.

 

Lorsque l’eau du bassin se met à tourner, vitesse en toute relation avec la dimension de l’ouverture et la forme du bassin, la vélocité de l’eau expulsée par l’orifice diminuera rapidement au fur et à mesure que la vitesse de rotation s’accroîtra, démontrant une résistance à l’attraction. Ultimement, cette lutte entre attraction et résistance ne trouvera équilibre qu’en déformant la surface de l’eau jusqu’à y occasionner une profonde dépression appelée « vortex ».

 

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En fait, dès que l’eau se met à tourner dans le bassin, la pression s’effondre dans un étroit cône central surplombant l’orifice d’expulsion, s’accompagnant d’une diminution proportionnelle de la hauteur de la colonne d’eau dans ce cône, formant le vortex. À partir de ce moment, la vélocité tombe pour se stabiliser à environ le 1/3 de ce qu’elle était, ne respectant plus la constante de vélocité sur la base de la colonne d’eau entière, mais sur la hauteur réduite de la nouvelle colonne centrale d’eau, celle située entre la base du vortex et le trou d’expulsion.

 

Pour l’exemple mentionné, la vélocité de sortie suivra une courbe proportionnelle à la hauteur nouvelle de la colonne centrale d’eau, passant de 24 mètres secondes à moins de huit mètres seconde, dès que le vortex est stable. Comme la vélocité d’expulsion continue d’être en accord avec la constante pression-vélocité, mesurable à partir de la hauteur réduite de la colonne d’eau sous le cône central, il fallait convenir que la pression à cet endroit n’était plus en accord avec la constante gravitation pression.

 

On a beau regarder ce modèle sous tous les angles, une question ne cesse de harceler. Puisque rien ne se crée et rien ne se perd et que la pression s’effondre au centre du vortex, ou est passée la pression manquante ?

 

Nous possédions peut-être un modèle capable de représenter le vortex et des effets s’inscrivant adéquatement dans la théorie attraction-résistance, mais un modèle qui soulevait de sérieuses questions.

 

La pression dynamique, c’est l’énergie. L’oeil d’un ouragan est une zone de grand calme. Le centre d’un vortex est vide, car il n’y a pas d’énergie présente. S’il n’y a pas d’énergie au centre d’un vortex, cette énergie ne peut avoir disparu et doit nécessairement être ailleurs.

 

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Dans un ouragan, des bandes concentriques de tempêtes entourant le pied à intervalles réguliers, sont l’endroit ou se manifeste le potentiel énergétique le plus important et aussi le plus destructeur d’un ouragan. Considérant que ces bandes concentriques possèdent des vents qui circulent radialement au vortex en spiralant sur eux-mêmes, il était possible de voir ici une bien curieuse similitude avec un système planétaire, dont les planètes circulent autour du soleil en tournant sur elles-mêmes, décrivant un mouvement spiral.

 

Dans une telle hypothèse appliquée à un système planétaire, la résistance à l’attraction du soleil occasionne les deux mouvements de la Terre produisant une incessante spirale. Cette spirale est composée de la rotation axiale de la terre, soit son orbite autour du soleil et centre d’attraction du vortex, additionné de la rotation de la planète sur elle-même dans un mouvement radial en relation avec le soleil.

 

La combinaison de ces deux énergies dirigées dans deux directions différentes, combine l’ensemble de l’énergie de la résistance.

 

Si la comparaison était valable, il devait être possible de retrouver quelque part en périphérie d’un vortex d’eau, une pression dynamique hors norme, qui serait directement alimenté par cette rotation radiale.

 

D’autre part si cette rotation radiale existait bel et bien et qu’elle était le réservoir d’énergie alimentant la résistance, il devait exister une façon de provoquer artificiellement le transfert de cette réserve d’énergie et de dérouler cette rotation radiale pour la marier avec la puissance axiale perpendiculaire et ainsi obtenir une eau d’une plus grande puissance qu’on serait en droit de s’y attendre.

 

En plongeant l’extrémité d’une paille en périphérie du vortex au moment de sa création, il était possible de constater qu’en plus de la pression latérale transmise par la rotation radiale, la paille se retrouvait animé de perturbations grandissantes au fur et à mesure que le vortex se créait, suggérant la présence d’un autre mouvement de l’eau à cet endroit.

 

 

C’est à partir de ce raisonnement que j’élaborai une première expérimentation sans succès, puis une deuxième, puis une troisième, puis une autre, puis une autre...

 

 

« Au fil des semaines, j’accumulais des boîtes et des boîtes d’expérimentations ratées, à tenter de comprendre tout ce que j’avais lu sur le sujet et je passais le plus clair de mon temps à me détremper dans les éviers, les douches et les bains de la maison, à comprendre et observer les vortex.

 

C’est à 4 heures am la nuit du 12 février 2008, alors que je tentais encore une fois de comprendre l’écoulement d’eau dans un bassin à forme ovoïde appelé par la suite « le saladier maudit » , que se produisit un phénomène inusité.

 

Il n’y avait que quelques centimètres d’eau dans le bassin que je tenais à bout de bras. L’eau commença à s’écouler par l’orifice et le vortex se forma en dépit des tremblements de ma main et des vacillements de l’eau.C’est alors qu’un très bref jet d’eau d’une grande vélocité, fut expulsé par l’orifice ventral du bassin, pour me frapper le visage, situé à peine un peu plus bas que l’orifice.

 

Malmené, je mis plus d’une heure à calmer l’effrayante quinte de toux occasionnée par l’eau qui m’avait pénétré le nez et la gorge, alertant toute la maisonnée au passage. C’est aussi le temps que j’ai mis avant de me questionner sur ce qui avait pu provoquer ce jet d’eau d’une puissance surprenante  et inattendue.

 

Doutant une manipulation ayant redirigé par inadvertance la pression en provenance de l’aqueduc, je mis beaucoup de temps avant d’être capable de reproduire le phénomène. 50 fois, 100 fois j’ai observé l’eau s’écouler du saladier maudit, avant de comprendre que le tremblement de ma main affectait très légèrement les paramètres d’écoulement de l’eau du bassin ovoïde, reproduisant la courbe idéale et provoquant l’expulsion de ce jet d’eau surprenant.

 

La seconde fois, je reçus le jet d’eau directement dans un oeil... Maudit saladier »

 

Pierre De Châtillon

 

 

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En grande primeur : « Le saladier maudit »  (échelle en pouces)

Quoique le lecteur puisse en conclure, ce plat de forme ovoïde ne fut pas nommé ainsi à cause de l’accident qu’il a occasionné en me projetant l’eau au fond de la gorge ou dans les yeux. Il ne fut pas non plus nommé ainsi à cause de la percée qu’il provoqua, permettant l’observation d’un phénomène aussi inusité.

 

Il le fut suivant la discussion qu’il provoqua lorsque ma douce moitié a constaté « qu’en plus d’avoir vampirisé la moitié de sa cuisine, j’avais pris un de ses plats préférés. ». Assez curieusement, le fait qu’il ne m’avait jamais effleuré l’esprit jusqu’à ce jour que l’on puisse avoir un plat de cuisine préféré, n’a pas été un argument convaincant pas plus qu’il ne fut conciliateur dans la discussion qui s’ensuivit, raison pour laquelle son nom est passé de « saladier » à « saladier maudit ».

 

La mesure était simple, la puissance de ce jet d’eau atteignait 2,8 fois la vélocité de celui occasionné par une colonne d’eau incohérente (sans vortex) de même hauteur. Un jet simplement impossible qui ne possédait aucun respect de l’ordre établi. Au-delà des certitudes exprimées dans les réponses clichées proposées par la science populaire, le raisonnable en prenait pour son rhume et il y avait manifestement un os. Non seulement l’énergie qui n’était plus dispensée en vélocité continuait d’exister dans la mécanique du vortex, mais il était possible de l’extraire.

 

Mais il était possible de l’extraire.

 

En relation avec la dimension de l’orifice de sortie du récipient, l’eau se mettra en résistance et commencera à tourner autour de l’orifice. Cette rotation axiale, c'est-à-dire autour de l’axe du vortex, aura comme d’effet de regrouper l’eau en faisceaux autonomes, qui orbiteront le vortex à une vitesse relative à la distance au vortex* tout en tournant sur lui-même dans le radi du vortex.

 

*Appelé flots laminaires par la physique moderne, cette désignation serait inappropriée en fonction de la théorie attraction-résistance puisque le flot laminaire est la théorie d’un comportement physique ne faisant intervenir aucune force exotique. Ceux qui voudront analyser en profondeur cet aspect de l’histoire et de la physique moderne pourront référer à « Couette – Taylor », du nom des chercheurs associés à sa découverte et à l’interprétation du phénomène.

 

 

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S’ordonnant par densité, l’eau la plus lourde et la plus froide sera maintenue contre la paroi, pendant que l’eau la plus légère occupera la zone la plus proche du centre du vortex. La vitesse de rotation radiale des faisceaux s’accroîtra, jusqu’à atteindre un plafond en relation avec la vitesse de la rotation axiale du faisceau, qui est elle-même inversement proportionnelle à la distance au centre du vortex.

 

Sur le plan planétaire, la vitesse à laquelle la terre tourne sur elle-même et celle à laquelle elle tourne autour du soleil forment avec sa distance au soleil une constante de la cycloïde du vortex planétaire, partiellement expliqué par la constante planétaire de Bode situant les orbites des planètes. Une constante qui devrait s’avérer très similaire à celle régissant les intervalles séparant les bandes concentriques de tempêtes entourant le pied des ouragans.

 

Ainsi, l’eau en périphérie d’un vortex, les planètes en périphérie du système solaire, les corridors orageux distants de l’oeil, seront plus lents à tourner autour du vortex que ceux à proximité immédiate du centre, mais en revanche, ils tourneront plus vite sur eux-mêmes. C’est précisément à ce mouvement de rotation radiale, invisible dans l’eau et qui se produisait dans tous les vortex naturels, à laquelle des chercheurs autonomes comme Viktor Schauberger prêtait ce nom « d’eau travaillante », soulignant la présence « d’une énergie plus grande que celle du poids de l’eau qui la constituait. »

 

« Une énergie plus grande que celle du poids de l’eau qui la constituait. »

 

La rotation radiale, appelée « spin » par Schauberger, ne doit pas être confondue avec l’eau tourbillonnant autour de l’axe immédiat du vortex. Curieusement et en dépit de sa vitesse de rotation axiale, cette eau ne sera pas expulsée du vortex par l’orifice et tendra, lorsque la forme du vaisseau est appropriée, à établir une circulation toroïdale à l’intérieur du tourbillon. L’eau qui sera la première à quitter le vortex, qu’il soit enfermé à l’intérieure de couche d’eau dans un plan d’eau ou réalisée dans un récipient approprié, sera celle qui sera la plus éloignée du vortex ; celle qui sera la plus dense ; la plus froide ; et la plus travaillante puisque possédant la plus grande vitesse de rotation radiale de tout le lot; la plus apte à résister à l’emportement axial du vortex ; capable de s’infiltrer entre les couches des différentes densités pour s’expulser au centre du vortex, raison de la présence des truites des rivières à ces endroits privilégiés et de leurs mouvances sans effort dans les rapides.

 

« Bien traitée », cette eau, s’étant maintenant parée d’une rotation radiale optimale par la résistance, sera en mesure de fournir un travail.

 

Bien traitée!

 

Avez-vous compris maintenant le sens de mes paroles?

 

Le lecteur averti aura compris que le cheminement et les hypothèses décrites précédemment, constituent l’essentiel du raisonnement visant à reproduire mon travail.

 

Plus de coûts en énergie, plus d’exploitation, plus de riches, plus de pauvres. Un véritable tendon d’Achille pour une société d’exploitation.

 

L’énergie étant le support de la structure sociale moderne, sa disparition soudaine ne pourrait qu’entraîner un tourbillon de changements vers le meilleur, mais de changement tout de même. Il est manifeste que tous ne souhaitent pas le mieux-être pour le peuple et que pour certains, le mot énergie libre sonne comme « gratuit ». Il y a fort à parier que la répression serait sévère.

 

Si l’énergie libre vous était donnée à nouveau, sauriez-vous la protéger et la défendre contre une telle répression et contre tous ceux qui voudraient vous l’arracher ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre #3 : Les deux énergies

 

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Il y avait un jour où le concept  « énergie » n’existait pas sur la terre.

 

Sphinx, pyramides, mégalithes, monts. À l’analyse de ces gigantesques artefacts provenant d’une histoire ancienne et mystérieuse et de beaucoup d’autres dont il ne nous reste que les témoignages d’auteurs anciens, une question surgit immanquablement : mais d’où les anciens tiraient l’énergie nécessaire à réaliser ces constructions?

 

Aurions-nous construit le barrage de la Baie-James en 20 ans si nous n’avions pu bénéficier que de la sueur des travailleurs, des brouettes en bambou et de la corde de jute ? Pas pantoute.

 

C’est précisément ce qu’est la grande pyramide de Kheops, une oeuvre de proportion similaire à celle de la Baie James au Québec, qui de la conception à la finition fut réalisée dans une fourchette de temps similaire, 20 ans. Pas de bulldozer, pas de camion, pas de machinerie, pas de moteurs, pas de pétrole, pas d’électricité, rien. Que des brouettes en bambou, de la corde de jute et des esclaves. Construite en bloc de 20 à 400 tonnes, des matériaux si inappropriés à notre monde moderne, que la reconstruction d’une telle oeuvre serait aujourd’hui irréalisable dans une fourchette de temps aussi réduite, en dépit de la machinerie moderne.

 

De la Grèce antique à la fin du moyen âge, l’Europe fut parsemée de châteaux, tout construits sur le sommet des plus hautes collines. Autour de ces châteaux, de nombreuses communautés essaimèrent et se développèrent. Où prenaient-ils leur eau ? Une source ? Beaucoup, ne sont que des sommets arides ne recevant même pas suffisamment de pluie pour supporter une ébauche de vie. Des porteurs tous les matins qui effectuaient un trajet impossible dans un étroit sentier bordé de falaise escarpée, parfois sur plus de deux kilomètres pour revenir avec leur chargement d’eau?

 

Véritable bastion de guerre visant à se protéger de tout envahisseur, une telle obligation n’aurait eu comme conséquence qu’une grande vulnérabilité à tout siège guerrier.

 

Ces questions n’ont rien de simple. L’analyse des structures de la grande pyramide de Kheops et des châteaux moyenâgeux laisse entrevoir des portions d’architectures à peine effleurées et à la vocation tout à fait inexplicable dans la grande saynète « esclave, bambou et corde de jute » servie par l’interprétation moderne de l’histoire.

 

Nos ancêtres portaient une très grande attention à leur eau de consommation et la traitaient avec des soins très particuliers allant bien au-delà d’un simple traitement bactéricide. Pour eux, à l’exemple des vins, l’eau était vivante et traversait au cours de sa vie différente étape, d’où elle acquérait un mûrissement la rendant apte à la consommation. La consommation d’eau distillée, bouillie, chaude ou stagnante n’était envisageable qu’en survie et jamais il ne serait venu à l’idée de qui que ce soit de consommer cette eau immature.

 

Le Kalevala, cet ancien texte nordique dont les origines se perdent dans la nuit des temps, nous apprend que l’eau était déjà à cette époque considérée comme le plus ancien des remèdes alors qu’elle n’est à peine qu’une façon de se désaltérer pour nous. Certaines sources d’eau étaient si prisées pour leurs vertus, que leur origine était un sceau de qualité. Importée par navire parfois sur des milliers de kilomètres, sa conservation et son transport était soumise à des règles d’un art maintenant disparu et qui se résume aujourd’hui à la chlorination. Les civilisations préromaines transportaient l’ensemble des liquides qu’ils consommaient dans des amphores dont la forme particulière assurait la poursuite d’un processus naturel de tourbillonnement, conservant les propriétés énergétiques de l’eau. Énergie.

 

C’est à cet endroit que les langages se confondent, les traductions s’épivardent et que les spécialistes cessent de parler.

 

 

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Pour celui qui savait regarder, la main de Dieu apparaissait partout. Ce qui semble empreint de mysticisme et ressemble à s’y méprendre à une véritable tirade religieuse est un tribut de notre éducation moderne. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder là ou ces ancêtres regardaient. Un simple boyau d’arrosage légèrement ouvert permet de constater qu’un jet d’eau amorphe à la sortie du boyau, sera traversé d’importantes perturbations dès qu’il aura parcouru quelques pouces. Il se tortillera ainsi sans jamais retrouver sa forme originale.

 

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Ce que la science moderne décrira comme un mouvement de l’eau appelé « effet laminaire », simple conséquence d’une glisse des couches les unes sur les autres, l’ancienne philosophie voyait au contraire dans cette torsade transversale, la manifestation de cette force de résistance occasionnée par Dieu.

 

La composition de cette torsade transversale, celle même qui fait appel à la mécanique des vortex et qui apparaît dans la ronde des planètes autour du soleil, dans les tourbillons d’eau, dans les méandres d’une rivière, dans la croissance des plantes, se résuma à une prouesse mathématique qui se résuma à un chiffre et qui traversa les millénaires, le ratio d’or soit 1,61.

 

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Le ratio d’or permet de construire la spirale de Fibonacci, qui est en essence la représentation mathématique d’un vortex. Un chiffre qui n’est pas anodin, puisqu’il fut utilisé par Euler et Bernouilli pour le calcul des convolutions de Bernouilli en dynamique des fluides, une association plutôt récente qui laissa place à de nombreux papiers dans les cercles de math.

 

 

Avant la période romaine, le concept « énergie » identifiait une phase de l’eau dans laquelle elle acquérait une capacité de travail. Loin de s’arrêter, cette capacité de travail se poursuivait durant un long moment. Cette particularité lui conférait à la fois des propriétés curatives particulières pour le métabolisme et une aide à l’effort de l’homme.  Tout comme si le pétrole servant au fonctionnement des voitures était aussi la base d’une alimentation de haute qualité pour l’humain de la société moderne, l’eau était en mesure de fournir un effort.

 

Avec l’emporium romain, l’eau devient soudainement le centre d’un grand intérêt. C’est à travers le corporatisme romain et avec l’aide d’un état républicain que la noblesse s’empara des rivières et de l’ensemble de la capacité hydraulique de ses territoires. Au même moment apparaissent aussi des composantes permettant de tirer parti de la force hydraulique comme le piston, la turbine à eau. À partir de ce moment,  l’histoire de l’eau prend une direction radicalement différente. Centralisation des sources d’approvisionnement, centralisation de la distribution, centralisation des moulins à grains hydrauliques, en complexe moteur industriel digne d’une économie de marché qui dépassait largement l’organisation communale et démontrait plutôt qu’une exploitation systématique du peuple grâce à « l’économics », était déjà commencée.

 

Une bien étrange révolution se produisait.

 

 

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Tuyauterie conique asymétrique: Asymétrique parce que l’eau ne pouvait y  circuler que dans une seule direction, de la grosse extrémité à la petite, occasionnant un tourbillon qui pousse l’eau.

 

Une tuyauterie de transport de l’eau emboîtée, similaire à celle existant aujourd’hui, commence à remplacer la tuyauterie conique asymétrique qui existait précédemment. C’est aussi à cette époque que cesse la construction de conduites d’égouts de section ovoïde, pour être remplacée par celle à arche et ronde, manifestement plus facile à réaliser et moins coûteuse.

 

Si la santé de l’eau des rivières avec une dénivellation suffisante était significativement meilleure que celle d’une eau stagnante, rien ne permettait de lui trouver des vertus appréciables.Puisque des moulins à eau existaient déjà à l’époque romaine, il était possible de croire qu’ils existaient à une époque antérieure. N’aurait-il pas alors fait parti de l’arsenal de construction grec, ou égyptien, mais rien. Nulle part. Aucune évolution.

 

Le jour #1, les Romains inventèrent le moulin à grain hydraulique , instauré en complexe industriel.

 

Certaines considérations pourtant importantes, s’échappent en cours de route.

 

Une eau qui stagne dans un vaisseau inapproprié est impropre à l’usage. L’amphore et la tuyauterie à section ovoïde/conique (section transversale ovoïde et section longitudinale conique) représentaient des vaisseaux appropriés aux yeux de nos lointains ancêtres. La complexité de réalisation d’une telle tuyauterie, nécessitait des techniques de fabrication nettement plus élaborées que la simple réalisation de tuyaux ronds qui s’emboîte et beaucoup plus facile à faire.

 

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Schauberger était un brillant individu et un fin observateur. S’il n’a jamais rien inventé, il a tout redécouvert.

 

Homme de la nature, fort et bienveillant, il n’a pu flairer à temps le piège dans lequel il s’engageait. Un piège d’argent, de brevets commerciaux et de censure nationale qui l’écarta entièrement de ses réalisations dont la plus grande partie disparut après sa mort.

 

En plus d’être peu publié, les traductions de ses travaux le furent dans un contexte à saveur ésotérique, transformant des expressions comme « énergie mécanique » en « énergie vitale », et délaissant un aspect pragmatique nécessaire à soulever une quelconque curiosité scientifique.

 

« Ingénieur forestier mort dans les années 50, la contribution de cet homme de génie à la compréhension de phénomène jusque-là relégué aux oubliettes par la science officielle,  est inestimable.

Philosophe et grand amateur de pêche en rivière, c’est en observant le comportement des truites de rivière que Schauberger fit un lien avec le climat de la planète.

Les truites préféraient de loin baigner dans une eau froide et tourbillonnante, plutôt que chaude et stagnante. C’est la raison pour laquelle elles privilégiaient le bas des rapides où l’eau possédait ces vertus.

Chaude et stagnante avant les rapides, fraîche et tourbillonnante après les rapides!

C’est durant les périodes les plus chaudes de l’été, au moment ou l’eau a accumulé le plus de chaleur, que Schauberger observa que ses amies les truites, ne cherchaient plus les endroits les plus profonds des décharges susceptibles de contenir de l’eau froide généralement privilégiée par le pêcheur d’expérience. Les truites remontaient alors les rapides pour se maintenir dans des endroits où les courants étaient les plus importants.

Schauberger nota qu’elles privilégiaient particulièrement les endroits dont l’arrangement naturel occasionnait la formation de vortex tourbillonnant, pour laquelle, elles s’arrachaient littéralement la position centrale intérieure, l’eau la plus froide.

Ce mystère s’effaça lorsque Schauberger comprit enfin que la truite s’installait ainsi au plus près du compresseur de réfrigération, le vortex lui-même. »

 

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Que non seulement ce vortex procurait à la truite une eau des plus froide, riche en oxygène et lourdement chargé de sédiment, mais lorsque la truite se trouvait dans l’axe longitudinal du tourbillon d’eau, elle retrouvait à cet endroit la présence d’une énergie mécanique lui permettant de remonter le courant puissant de la rivière, sans avoir d’effort à faire.

 

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Aussi fort à la théorie qu’à l’appliqué, le vortex et l’énergie de l’eau, tant vitale que mécanique qui existe à cet endroit, sont au centre des préoccupations de Schauberger. Ils sont en fait la pierre d’assise de ses travaux et de l’ensemble de ses réalisations.

 

Toutes les eaux n’ont pas la même capacité de désaltérer le corps.

 

L’énergie vitale de cette eau est une caractéristique très importante. Cette charge en oxygène et en sédiments, en plus de sa température très basse de 4°C, la classait au rang d’eau de source. Une connaissance, que Schauberger explique avoir observé chez de vieux cultivateurs qui continuaient de conditionner leur eau suivant une pratique ancienne. Après avoir rempli d’eau propre un grand vaisseau de cuivre à fond rond, ils y déposaient un morceau de terre glaise et à l’aide d’une cuillère aussi en cuivre, ils faisaient tourner l’eau dans le sens inverse des aiguilles d’une montre en cognant le bord du récipient avec la cuillère. Après un moment, cette eau, enrichie de la manoeuvre, devenait un produit de grande valeur qui était consommé avec soin et procurait des bénéfices incomparables aux plantes.

 

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Asclepius

 

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Le mouvement devait être obligatoirement dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, ce qui conférait à l’eau une ionisation négative, prédisposant à l’alcalinité et fondamental dans les échanges intercellulaires de tout organisme biologique. De la même façon, l’amphore par sa forme particulière conduisait les liquides à tourner sans arrêt, suivant une circulation cycloïde, prolongeant leurs durées. Une pratique qui se poursuit toujours par l’utilisation de baril ventru pour le mûrissement du vin.

 

Bien que crucial pour votre santé et donc d’une très grande importance surtout en ces moments troubles, cette simple recette va clore le sujet de l’énergie vitale corporelle, qui n’est pas l’objet de ce travail.

 

Bol de cuivre à fond rond, eau de pluie à 4°C, morceau d’argile bentonite commune (facultatif), tournée en sens inverse des aiguilles d’une montre grâce à une cuillère de bois ou de poterie, pendant 1 minute ou 2 en cognant sur la paroi avec ténacité. On laisse reposer quelques minutes avant de consommer régulièrement et d’utiliser à tout besoin. Une eau très pénétrante et franchement nourrissante, qui possède des effets bénéfiques mesurables, je ne peux qu’en suggérer l’essaie.

 

La majorité des éviers modernes déversent de l’eau de mauvaise qualité simplement par la conception de leurs tuyauteries. Le bulleur, ce petit filtre grillagé installé sur le bec, est un appareil visant à aérer l’eau et donner un beau jet qui n’éclabousse pas lorsqu’il frappe l’évier. L’infusion d’air dans l’eau avant qu’elle ne quitte le bec, fige l’eau dans sa descente et l’empêche de tout mouvement. Incapable de tourner, l’eau sera incapable d’acquérir les vertus recherchées. Quoi qu’il en soit, identifiez un évier comme source de la consommation d’eau de la maisonnée. Sélectionnez l’évier qui possède la plus longue chute, avant que l’eau ne rejoigne le fond de l’évier. Dévissez et enlevez le bulleur à l’extrémité du bec et utilisez cette eau pour la consommation.

 

Mais si la forme caractéristique de l’amphore s’expliquait mieux, tout ceci n’expliquait en rien la tuyauterie à section transversale ovoïde ou encore celle à section longitudinale conique et leurs relations avec les vortex.

 

Le vortex est la représentation idéale de cette eau travaillante, relaté par Schauberger. C’est cette eau travaillante qui sourd des sources sur le sommet des montagnes, elle est celle qui arrache le plus de sédiments des rives, elle est celle qui est le plus oxygénée, elle est celle qui remonte le tronc des arbres pour nourrir les feuilles.

 

 

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Le cycle de l’eau de Kircher.

 

Même que Schauberger n’hésitait pas à inter relier la présence des vortex des lacs en association avec les sources d’eau des montagnes avoisinantes.

 

Le dictionnaire des antiquités Grecques et Romaines confirme que les anciens Grecs possédaient les connaissances permettant le transport et le refroidissement de l’eau.

 

Incidemment, cette énergie cachée qui gorgeait l’eau la rendant capable de réaliser un travail, était aussi essentielle au développement de la vie. 

 

Pouvait-on espérer bénéfice plus important pour l’homme que l’énergie de Dieu?

 

« L’utilisation d’implosion comme la nature le fait, plutôt que l’explosion » martèle Schauberger.

 

Implosion, succion, vortex, eau travaillante. Des mots et des concepts qui possèdent tous une étroite relation, à travers une capacité de l’eau insaisissable.

 

« La seconde fois, je reçus le jet d’eau directement dans un oeil. Maudit saladier »

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre #4 : Le bout que la science moderne ne montre pas

 

« Vous la voulez-ou votre chute d’eau? demanda l’installateur de chutes d’eau, avec un air nonchalant. »

 

Pour Schauberger, les formes ovoïdes revêtaient une grande importance et elles furent toujours au coeur de ses réalisations.

 

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Loin d’être un apport artistique purement décoratif, ces formes étaient au contraire le principal vecteur du résultat final.

 

La forme devient le fond.

 

Ces mêmes formes ovoïdes, furent aussi privilégiées dans la création d’amphores et autres récipients. Bien que la poterie par sa conception produira généralement des formes de nature organiques, certaines se démarquaient par la complexité apparemment accessoire de leur conception.

 

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De ces poteries, certaines étaient conçues spécialement pour la distribution de breuvages. La jarre à eau sur tripode avec un orifice de sortie, nous provient à travers la Grèce, mais des vaisseaux semblables, utilisant ces courbes, sont parvenus de tous les coins du monde. En considérant la forme du fond, il est possible de se rendre compte que dans tous les cas, le fond suit une courbe ovoïde, similaire à celle fabriquée à partir d’un oeuf d’autruche, en haut à droite. Seules les poteries utilisées à la dispense de liquide étaient construites de cette façon.

 

Lors du passage au monde romain, cette jarre au cul distinctif disparaît pour laisser place à l’aqueduc dans les cités et à l’outre en peau pour son transport. La forme parfaite que devrait avoir la jarre faisait l’objet de beaucoup de palabres parmi les artisans qui les créaient. Une recherche de forme qui s’est poursuivie par la suite, dans la confection du rhyton.

 

Selon l’histoire populaire moderne, le rhyton est un vase à boire rituel qui arbore souvent une forme de corne ornée d’animaux divers. Héron nous apprend que le rhyton permettait d’acheminer au choix du vin ou de l’eau dans la bouche du buveur, choix qui était sélectionné en obturant de minuscules orifices faisant effet de prise d’air. Destinée à produire un effet spectaculaire chez le profane, couper le vin avec de l’eau au moment de sa consommation, était une pratique courante dans l’ancienne histoire.

 

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Mais tous les rhytons ne correspondent pas à cette description de Héron. La plupart des récipients à boire furent nommés ainsi, faute d’une meilleure catégorie de classification et en réalité, ils ne permettent pas cette sélection de breuvage multiple.

 

En dépit des formes asymétriques et comme dans le cas de la jarre à eau, toute la fabrication était architecturée autour d’une prise centrale du liquide visant à favoriser un effet tourbillonnant. Les rhytons à boire qui n’étaient pas destinés à couper le vin, possédait néanmoins un effet surprenant pour le buveur profane qui recevait en bouche un flot démesuré de liquide en relation avec la dimension de l’orifice à boire du rhyton. Mais plus encore, puisque le rhyton s’accordait avec les anciennes pratiques du culte de la corne d’abondance et ce liquide représentait la santé et la vie pour le buveur.

 

Il y avait nécessairement un lien et il ne restait maintenant qu’à le découvrir.

 

 

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C’est le mathématicien Euler dans son encyclopédie « Mecanica » qui apporta un élément de solution et qui me permit de comprendre que les travaux de Schauberger était loin de la découverte de génie, mais était plutôt un fil du savoir qui s’étendait jusqu’à nous depuis l’histoire ancienne, dont Schauberger n’était que la partie visible.

 

Mathématicien et physicien suisse qui vécut à Saint-Pétersbourg jusqu’à sa mort en 1783, Euler, comme Nostradamus, comme Davinci et bien d’autres, était un apparatchik de la monarchie. Ses efforts permirent un grand développement de l’algèbre, un langage d’exégètes qui fut créé de toutes pièces et qui visait à protéger le savoir de la curiosité populaire. Euler fut un étudiant des Bernouilli et comme les philosophes-scientifiques de ces époques, ses travaux touchèrent de nombreux sujets.

 

Il s’intéressa particulièrement à la mécanique des fluides, la façon dont les fluides se comportent lorsqu’ils sont en mouvement. À la remorque des Bernouilli, il faisait une démarcation claire entre l’hydrostatique qui avait cours jusque-là et qui traitait l’eau comme une simple masse statique et l’hydrodynamique , soit le comportement des fluides lorsqu’ils sont en mouvement.

 

Soulevant la controverse dans les milieux scientifiques de l’époque, l’hydrostatique assurait le point de vue d’une meurtrière dans le grand mur du savoir, qui évitait soigneusement de traiter un fluide autrement que comme un corps, ayant un poids et soumis aux mêmes lois de la gravité que le reste. Élaborant longuement les mouvements des fluides, il explique que l’enveloppe extérieure des fluides d’un tourbillon, possède une forme ovoïde. C’est par cette enveloppe d’eau de forme ovoïde que l’eau la plus travaillante, c'est-à-dire celle située dans les couches les plus éloignées du vortex, peut s’expulser du vortex en se glissant entre cette enveloppe et la base du vortex liquide.

 

Euler poursuit en expliquant que bien qu’il soit « possible d’obtenir le même résultat en réalisant une croûte rigide qui sera le plus parfait des ovoïdes, ceci est tout à fait inutile grâce à un tuyau de son invention. »

 

Bingo! En deux mots, Euler venait de quérir toute mon attention sur le lien historique de sa découverte, la fameuse croûte, le fameux bassin ovoïde, le maudit saladier. Il venait du même coup d’identifier l’origine du tuyau toroïdale de Schauberger.

 

Assez?

 

Non seulement Euler nous révèle qu’il est dans la chaîne d’invention du fameux tuyau toroïdale de Schauberger, mais de plus il communiquait en quelques pages toutes les mathématiques nécessaires à la compréhension du cheminement parabolique de l’eau.

 

Mais déjà je ne voyais plus rien de tout ceci.

 

Je n’avais plus d’yeux que pour cette représentation d’un engin qu’Euler avait lui-même effectué.

 

 

 

 

 

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Je n’en croyais pas mes yeux en découvrant qu’Euler, 300 ans avant Schauberger, avait concocté les plans d’une turbine similaire à celle de Schauberger, basée sur la dynamique des fluides et tirant parti du fameux tuyau fonctionnant sans apport d’énergie extérieure.

 

D’une conception technique nettement en avance sur son temps, Euler ne possédait pas les matériaux nécessaires et fut incapable de réaliser le tuyau toroïdal de son vivant. Ce n’est qu’après sa mort que sa turbine ne fut construite avant de devenir une oeuvre de laboratoire.

 

L’histoire populaire ne répond plus....

 

Euler, Segner, Avery, ne sont que quelques exemples de ceux dont les réalisations furent maquillées pour dissimuler ce crime contre le petit peuple. À partir de l’époque romaine, les magouilles de la noblesse associée, assuraient la destruction du savoir populaire en le démonisant. Cette pierre angulaire engendrait la matière brute à l’exploitation, un enfant populaire incapable d’apprendre de son histoire et qui ne vieillirais jamais, nous.

 

Le savoir c’est le pouvoir. En effaçant l’énergie libre, ils s’assuraient une domination sans précédent dans l’histoire du monde, puisqu’ils pouvaient exploiter à loisir leurs prochains.

 

Le tourbillon, la croûte et les accessoires, ne font que tirer parti d’une énergie latente et inutilisée, la même énergie présente partout et qui bouge les planètes. L’ajout de cette énergie dans la balance, permet de surpasser le simple poids de l’eau.

 

Le « travail » de l’eau se manifeste par un « spin », une vitesse de rotation radiale élevée, qui l’empêche de maintenir sa cohésion, lorsque libéré sous la force de la gravité. Ainsi, l’eau ne descendra pas vers le sol, mais « éclatera » radialement sous la force centrifuge, aussitôt son expulsion du conduit d’orifice.

 

 Dans un vortex, la seule façon d’obtenir l’expulsion de l’eau dite « travaillante », est que ce tourbillon soit réalisé dans un vaisseau possédant une croûte rigide en forme d’oeuf.  L’expulsion de l’eau à travers une trompe graduelle terminant une croûte ovoïde, occasionne un redressement du spin de la rotation radiale dans la direction du jet de sortie, l’accélérant plus qu’il ne l’aurait été par la seule gravitation. Tant que la trompe est graduelle, le vortex se maintiendra, jusqu’à l’endroit le plus réduit du tuyau.

 

 

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L’utilisation d’une tuyauterie conique réduisant graduellement le tuyau avant de l’élargir soudainement à chaque segment, régénère le tourbillon poussant continuellement l’eau vers l’avant,  réduisant les dénivellations requises pour transporter l’eau à l’horizontal.

 

La conque, par ses formes cycloïdales représente un support périphérique à 2 dimensions pour l’eau. Lorsque le cheminement précis et les nécessités de cette eau vive sont connus, il est possible d’offrir à l’eau un guide, un tuyau qui la dirigera dans un chemin idéal ayant cette fois 3 dimensions, supprimant la conque.

 

Sous la force centrifuge, la section transversale ovoïde de ce tuyau assure un redressement continu du spin de rotation radiale à tout moment du parcours. En rétrécissant la section graduellement tout au long du parcours, le liquide est accéléré par un effet venturi.  

 

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Ainsi traité adéquatement, ce faisceau d’eau vive ne pourra plus être considéré comme un alignement de gouttes d’eau s’entrechoquant dans un tube, mais comme une chaîne indémaillable, initiant un phénomène appelé « l’effet chaîne ».

 

Tous ont déjà pu constater une chaîne qui tombe d’une surface sous l’effet de la gravité. Maillon par maillon, sa vitesse s’accélérera tant qu’il y aura chaîne, chaque maillon débutant sa chute libre avec la vitesse déjà acquise par la chaîne en mouvement.

 

Chaque maillon possédera une énergie potentielle qui est celle de la masse et l’accélération des maillons de chaîne qui le précède. Plus la chaîne en chute libre est longue, plus cette énergie potentielle sera puissante. Il n’est plus possible de considérer chaque maillon individuellement comme un objet soumit à des lois statiques, mais devra être analysé dans un contexte dynamique, dans lequel il appartient à une chaîne en mouvement. En supposant que cette chaîne puisse être allongée à l’infinie, il devient alors possible d’appareiller le passage de cette chaîne  et d’en moduler la puissance potentielle simplement en modifiant la hauteur de chute.

 

Implosion!

 

Comprenez-vous le sens de mes paroles maintenant?

 

En acheminant l’eau vive dans un tuyau spiralant de section transversale ovale, l’eau devenait chaîne.

 

L’invention de Schauberger, n’est qu’une répétition d’un savoir ancestral, déjà décadent et mal compris au moment de la censure des monarques. Dès que la corne pouvait être techniquement réalisée, ce qui n’est déjà pas une mince tâche, la conque n’était plus nécessaire. Libéré de cet équipement, il devenait possible d’optimiser l’effet et d’en décupler la puissance.

 

Probablement l’inventeur d’origine de l’arrête traversant le tuyau toroïdale, son intervention dans le fil de ce savoir censuré, fut capital. Aveugle aux mécanismes sournois des brevets, une-machine-à-canaliser-le-savoir-entre-les-mains-de-certains, il fut incapable de réaliser qu’il venait de s’aliéner tout l’Empire de l’Ouest. Ce n’est qu’à sa mort qu’il eut ce commentaire : « Ils m’ont tout volé »

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre #5 : Énergie libre, la vraie histoire.

 

"Construis, mon ami, un temple monolithe, semblable à la céruse, à l'albâtre, un temple qui n'ait ni commencement ni fin, dans l'intérieur duquel se trouve une source de l'eau la plus pure, brillante comme le soleil. C'est l'épée à la main qu'il faut chercher à y pénétrer, car l'entrée est étroite. Elle est gardée par un dragon qu'on doit tuer et écorcher. En réunissant ses chairs et ses os, il faut en faire un piédestal sur lequel tu monteras pour arriver dans le temple où tu trouveras ce que tu cherches. Car le prêtre, qui est l'homme d'airain que tu vois assis près de la source, change de nature et se transforme en homme d'argent, qui lui-même, si tu le désires, peut se transformer en homme d'or..." 

Zosime

 

Les Égyptiens possédaient une grande connaissance de ces techniques et les avaient utilisées pour la construction des pyramides, nous explique Schauberger. En utilisant ces méthodes de traitement de l’eau, la pression pouvait en être accrue au besoin et ainsi effectuer n'importe quelle tâche. Mais ils ne l’inventèrent pas. Les origines se perdent dans la nuit des temps.

 

 

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Le sampo est l’un des sujets au coeur du Kalevala.

 

Démonisée, cette vielle outre de peau de forme cycloïdale peinte par Gallen-Kallela en 1896 suggère une représentation symbolique puisque le Kalevala nous explique la construction d’un sampo exigeant des connaissances techniques rigoureuses, qui dépassaient de loin la simple jarre à eau.

 

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Fabriqué des mains d’un maître artisan, plusieurs jours étaient nécessaires à sa réalisation. Construit de «  côtes », de « cornes » et de « récipients » en métaux divers et surmonté d’un couvert de toutes les couleurs, il pouvait moudre le grain, purifier le sel, forger le métal. Sa valeur était si importante que le sampo pouvait faire la différence dans la richesse d’un pays. C’est lors d’un transport qu’il tomba dans la mer, ou il ne cessa jamais de tourner.

 

L’explication d’une représentation symbolique est intéressante, mais n’est pas satisfaisante à tout point de vue. Sampo, qui tourne librement, n’est pas un mot commun. Il existe quelques endroits de par le monde qui sont encore associés à ce mot. 

 

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Certains lieux très anciens laissent entrevoir un bassin aux bords arrondis, démontrant la présence de conque de grande dimension. Sampo est un mot qui signifiait plus que le symbole ou la technique de construction elle-même, et qui a été conservé en dépit de la décadence du savoir.

 

Tout démontre que le sampo de style « techno », similaire à celui de Schauberger existait depuis l’Atlantide. Il disparut sous la censure des monarques aux alentours de 3000 avant JC.

 

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Cette estampe japonaise datant du 19ième siècle, pourrait vraisemblablement être un sampo d’une technologie similaire à celle du Kalevala ou de Schauberger. Comme l’eau n’est qu’un médium de travail tirant parti de la force gravitationnelle, l’utilisation d’un médium plus dense comme le mercure est une façon d’accroître l’énergie tout en réduisant les dimensions de l’appareil et cette technologie fut expérimentée par Schauberger.

 

Une description qui semble cadrer avec celle d’anciens textes indiens traitant de la construction d’un moteur fonctionnant au mercure.

 

 

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De cette époque, il ne reste que des représentations symboliques comme ici Ganesh une déité hindoue. La forme de la trompe est la même que celle du sampo de Gallen Kallela

 

 

 

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Ou les deux serpents se battant pour la possession du monde qui nous est parvenue à travers les Perses et identifiant la bonne direction et la mauvaise. Le culte d’Héliopolis faisait grand usage de ce symbole dont en témoignent encore les minarets anciens. Le culte d’aphrodite dérivait du culte d’Ishtar dit aussi Ashtoreth, dit aussi le culte d’Astarte.

 

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Un jour Astarte, le lendemain Vénus et un autre mythe était né. N’oublions pas que même Da Vinci avait à sa botte une armée de peintres copistes qui ne faisaient que reproduire des peintures tout comme le faisaient les moines copistes pour les textes. Les formes cycloïdales étaient trop évocatrices, les coquillages étaient mieux.

 

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Voici l’Oeuf d’Astarte. Deux artisans s’engageant dans une conque gigantesque possédant une trompe se terminant sous terre. Tout ce qu’il fallait pour desservir une petite communauté en eau et en énergie.

 

C’est à cette époque qu’un symbole et un nouveau nom commencent à se dessiner pour identifier les conques, la licorne. Le nom devint populaire à la remorque d’un usage commun et la corne emblématique figura sur toutes les jarres à eaux jusqu’à l’empire romain. Comme ici sur la façade de la conque, la licorne était toujours représentée par un animal de trait aux muscles puissants exprimant la force et le travail,qui n’a rien à voir avec la gazelle à corne provenant de l’éducation populaire moderne.

 

 

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Ici à Bagdad, aux environs de 3000 avant J.-C., la licorne et le sampo.

 

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Jarre à eau tripode et licorne. Grèce

 

 

Immédiatement avant notre ère, fleurissait autour de la méditerranée une véritable culture de ce savoir. Les philosophes réapprenaient l’usage de ces forces appartenant à la grande théorie unificatrice de l’univers des anciens, Dieu.

 

 

 

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C’était l’époque des amphores, des jarres à eaux et des rhytons et les artisans développaient des techniques de travail adaptées aux matériaux de l’époque et à ces formes magiques. En haut à gauche, la forme de la corne et la représentation de pieuvre, suggère l’idée d’une nouvelle évolution du nom, mais aussi celle d’une utilisation différente, prenant appui sur une distribution centralisée d’eau amorphe, activée à sa sortie. À droite, une série de fond de jarre à eau possédant des orifices de dimension différente suggère un mécanisme de calibration des conques, tâche qui doit être réalisée à la création de la conque.

 

Les tours d’observation d’étoiles.

 

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Magnifiques témoins d’une autre époque et visibles à travers l’Europe, ces tours étaient au coeur des anciennes cités-états telles qu’elles étaient constituées dans la Phrygie antique.

 

Construites à l’identique et de proportions similaires, ces tours rondes au toit conique pouvaient atteindre une trentaine de mètres. Quelques planchers munis d’ouvertures étaient accessibles à l’aide d’une échelle et le plancher supérieur possédait 4 ouvertures en direction des points cardinaux. Ni un grenier de réserve et incapable de supporter un siège, Oera Linda nous les décrits comme des sites d’observations d’étoiles, doublées de phares servant aux communications et nécessitant un personnel de support assez impressionnant.

 

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Construction exceptionnelle d’une qualité supérieure, elles furent identifiées à un culte pagan et détruites ou abandonnées durant les rafles chrétiennes du 4ième et 5ième siècle et il n’existe aucune référence du christianisme à ces tours.

 

Particularités significatives, en plus d’une base parfois ovoïde, elles possèdent tous un double mur de pierres et mortier renforcé et l’ouverture permettant l’accès est invariablement située à plus de deux mètres du sol. Des caractéristiques qui apparaissent aussi dans l’architecture de certaines tours Martello aux origines militaires douteuses, comme celle-ci à Québec, qui fit aussi office de moulin à vent à une époque reculée.

 

 

 

 

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Ces mêmes particularités se retrouvent aussi dans certains ouvrages antiques et parfois communautaires comme ici. Des noms de références comme «  Saint-Samson » ou « Saint Jean-Batiste », démontrent la grande importance que nos ancêtres accordaient à ces artefacts unusuels.

 

C’est l’époque romaine. Celle ou la conque s’évanouit et celle ou surgit la nouvelle énergie, provenant de l’eau, de l’air et des esclaves maintenant nécessaires, dispensés par le très honorable seigneur de la terre, moyennant rétribution, cela va de soi.

 

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Il était maintenant possible de monnayer l’énergie et le commun pouvait être exploité à souhait.

 

Après le 5ième siècle au calendrier rapiécé de l’empire, la censure est bien engagée. Ce savoir sera dorénavant dissimulé et au seul bénéfice de la monarchie Le cycloïde, l’eau travaillante, la licorne, exit. Le commun n’avait plus qu’à besogner pour le seigneur des terres pour gagner sa pitance. Un esclavage paramétrisé dans un plan génial ou les rois n’étaient plus votés, mais se reproduisaient de père en fils, la noblesse.

 

C’est en dissociant l’énergie mécanique des vortex que la symbolique entière disparût pour ne laisser que la représentation de l’énergie vitale sous la forme de la corne d’abondance ou le cornucopia*. Aussi appelé « füllhorn » en allemand, dont la prononciation est « Fuel horn » en anglais, signifiant littéralement « corne à énergie »

 

L’énergie mécanique censurée, elle ne possédait plus de mot spécifique pour l’exprimer dans le langage, la signification n’a pas suivi.

 

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Véritable représentation d’un vortex, le cornucopia est un symbole très ancien qui fut repris au moment de la grande censure romaine. Il avait l’avantage de ne plus laisser voir de serpents ou de forces cachées, et d’identifier plus spécifiquement la force vitale plutôt que mécanique, ce qui allait permettre à l’Emporium de dénaturer plus facilement le savoir et ainsi laisser un symbole vide de sens. Le cornucopia est la représentation d’un vortex.

 

 

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La nouvelle évolution du symbole représentant cette énergie vitale était beaucoup plus vicieuse. Elle utilisait une symbolique de moins en moins descriptive, alliant religion populaire, mythe et magie.

 

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Loin de disparaître pourtant, l’énergie mécanique de l’implosion demeurait, mais elle serait dorénavant enchaînée.

 

  

 

Chapitre #6 : Techniques de capture

 

 Il y avait dans la citadelle le jardin suspendu, ouvrage, non pas de Sémiramis, mais d'un roi syrien postérieur à celle-ci : il l'avait fait construire pour plaire à une concubine. On raconte que cette femme, originaire de la Perse, regrettant les prés de ses montagnes, avait engagé le roi à lui rappeler par des plantations artificielles la Perse, son pays natal. Ce jardin, de forme carrée, avait chaque côté de quatre plèthres ; on y montait, par des degrés, sur des terrasses posées les unes sur les autres, en sorte que le tout présentait l'aspect d'un amphithéâtre. Ces terrasses ou plates-formes, sur lesquelles on montait, étaient soutenues par des colonnes qui, s'élevant graduellement de distance à distance, supportaient tout le poids des plantations ; la colonne la plus élevée, de cinquante coudées de haut, supportait le sommet du jardin, et était de niveau avec les balustrades de l'enceinte. Les murs, solidement construits à grands frais, avaient vingt-deux pieds d'épaisseur, et chaque issue dix pieds de largeur. Les plates-formes des terrasses étaient composées de blocs de pierre dont la longueur, y compris la saillie, était de seize pieds sur quatre de largeur. Ces blocs étaient recouverts d'une couche de roseaux mêlés de beaucoup d'asphalte ; sur cette couche reposait une double rangée de briques cuites, cimentées avec du plâtre ; celles-ci étaient, à leur tour, recouvertes de lames de plomb, afin d'empêcher l'eau de filtrer à travers les atterrissements artificiels, et de pénétrer dans les fondations. Sur cette couverture se trouvait répandue une masse de terre suffisante pour recevoir les racines des plus grands arbres. Ce sol artificiel était rempli d'arbres de toute espèce, capables de charmer la vue par leur dimension et leur beauté. Les colonnes s'élevaient graduellement, laissaient par leurs interstices pénétrer la lumière, et donnaient accès aux appartements royaux, nombreux et diversement ornés. Une seule de ces colonnes était creuse depuis le sommet jusqu'à sa base ; elle contenait des machines hydrauliques qui faisaient monter du fleuve une grande quantité d'eau, sans que personne pût rien voir à l'extérieur. Tel était ce jardin qui, comme nous l'avons dit, fut construit plus tard. » Diodore

 

 

Fort de l’exclusivité et de la distinction procurée par ce savoir, un véritable réseau d’échange prit place à travers les cours européennes issues des provinces romaines. Des échanges de livres, de philosophes et d’artisans, permettant de réaliser des oeuvres capables d’épater la galerie et d’impressionner le manant, mais aussi de cultiver cette exclusivité autorisant un ascendant imparable sur le commun.

 

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Premier prix de la science contemporaine, dans un monde hydrostatique qui ne tient pas compte de l’eau travaillante, le « perpetuum » devenait une démonstration de l’aberration humaine. Il y avait une loi de la conservation de l’énergie et cette loi devait être respectée. Le reste étant impossible, la formule de raisonnement validerait dorénavant la réalité.

 

C’est durant la période appelée « moyen-âge » de notre histoire populaire, que la puissance mercurielle devint le nouveau mot clé pour identifier ce savoir. La signification de mercurielle implique une connaissance du savoir philosophique reposant sur l’action des forces de l’univers sur la terre. Incidemment, il est possible que ce terme origine d’une particularité des vortex qui laissent apparaître des perturbations visibles dans le flot, au moment des alignements de mercure avec les autres planètes.

 

L’eau vive déposée dans une roue à coupole ou le long d’un arbre muni d’un tuyau serpentant décroissant ou non, furent les dernières évolutions populaires de l’application, qui furent manifestement éradiquées lors des croisades. Souvent appelées « mouvement perpétuel », leurs constructions bancales tiraient le meilleur parti des seuls matériaux disponibles à une époque de grande noirceur, cuir bouilli, argile, pierre et cuivre.

 

 

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C’est en 1629 que Giovanni Branca, un architecte et ingénieur italien répertoria un certain nombre d’engins tirant parti de l’énergie des vortex à l’usage de la haute classe.

 

La noblesse était peu bavarde sur de tels usages de la gravité. Par ailleurs, alors que le peuple n’avait que de temps pour les obligations de la vie, ils étaient les seuls à pouvoir financer la construction des pièces d’équipements nécessaires à la réalisation de tels engins.

 

 

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Le tour de « Rose » et le tour « Holtzapffel » étaient des merveilles d’ingénierie permettant le déplacement de l’oeuvre et celui des couteaux, autorisant la réalisation de formes complexes, incluant toute la gamme de cycloïdes.

 

De tels outils nécessaires à la réalisation de courbes cycloïdes n’étaient pas à la portée de tous et beaucoup de cette classe noble, n’hésitaient pas à utiliser ces outils eux-mêmes pour créer des formes tirant parti de ce savoir.

 

À droite, tiré du « Theatre des instruments mathématiques », un tour ingénieux permettant de réaliser une corne par l’intermédiaire d’un extenseur angulaire interchangeable, modifiant l’angle des filets de la corne. Un outil qui m’aurait été d’un grand secours.

 

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« Au reste, quoique le calcul sur lequel est fondé l’effet de cette nouvelle sorte de machines, ne soit pas à la portée de tout le monde, on peut aisément se convaincre de ses avantages, si l’on pense qu’en employant la même dépense d’eau suivant les méthodes ordinaires, il n’en échappe une bonne quantité qui ne contribue en rien au mouvement de la machine et que celle qui frappe sur les aubes de la roue, y produit un effet d’autant plus faible, plus le mouvement de la roue sera rapide. Mais en mettant l’eau en action selon ce nouveau projet, aucune partie des forces, dont elle est susceptible, ne se perd inutilement, et le mouvement de la machine ne diminue pas l’effet des forces de l’eau... »

 

« ...D’ou il est clair que cette nouvelle manière de profiter d’une dépense d’eau donnée est beaucoup plus avantageuse que les manières ordinaires, attendu qu’elle est capable de produire un effet qui est jusqu’à 6 fois plus grand.... »

 

« ... Mais s’il y a une source ou un réservoir qui ne fournit qu’une certaine quantité d’eau dans un temps donné, il faut construire la machine en sorte que, quand elle est en action, cette quantité d’eau soit suffisante à entretenir le vaisseau toujours plein... »

 

Euler

 

 

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Euler avait accès à la classe aristocratique et possédait l’ensemble des données nécessaires à la mise en équation. Manifestement à la botte de l’Emporium, il assurait un positionnement stratégique en inventant un tuyau de sa conception plutôt que de discuter du principe derrière autrement que sous forme mathématique. Il semblait ainsi répondre à l’émergence d’un savoir populaire qui commençait à se répandre.

 

Le moulin Barker, utilisé dans certains moulins à grains,  fonctionnait selon ces principes, mais nécessitait l’approvisionnement à partir d’une source. De plus Johann Andreas Von Segner, un mathématicien hongrois qui vécut à la même époque avait évoqué avec Euler la fabrication d’un tel engin.

 

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De nombreuses inventions utilisant ces principes se développèrent au cours du 19ième siècle comme la turbine Avery, du nom de son inventeur. Bien qu’il collabora à la mise au point d’une turbine à vapeur, la plupart de ses turbines fonctionnaient selon les principes des vortex et de la tuyauterie ovoïde. Le fruit de son travail disparut à sa mort.

 

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Et Schauberger fut l’un des derniers en liste. La corne, l’ovoïde, l’implosion, réinventant tout ce qu’il y avait à réinventer, dans un monde ou les dés étaient pipés.

 

Un des derniers, mais pas le dernier.

 

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Un de ceux qui suivit les traces de Schauberger, fut Abou Mohammad Al-Masih. Fermier syrien sans éducation, il réinventa au cours des années 70, un appareil tirant parti des forces de l’implosion. Inversé cette fois puisque la pente du vaisseau supérieur permettait de remonter l’eau qui renversait ensuite dans un grand bol situé à la base et relié sur le même axe. L’eau, munie de la rotation radiale recherchée est relâché après centrifuge, et retombe dans le bol qui par sa forme récupérera l’énergie de la rotation radiale, telle une vague qui roule sur le rivage abrupt. Il n’a rien inventé puisque la configuration particulière du vaisseau permettant de remonter l’eau, pièce centrale de son projet, faisait déjà parti de la quincaillerie démontrée par Euler. Une méthode simple, mais d’une efficacité redoutable.

 

Promis à un avenir brillant, passant en quelques années de l’ombre à la reconnaissance de ses paires, il mourut à l’aube du nouveau millénaire. Peu diffusé internationalement, ce sont les Allemands qui les premiers s’introduisirent auprès du syrien. Après avoir fait réaliser une description technique manifestement incomplète de l’engin par un consultant technique, Al-Masih se retrouva accolé à un agent de promotion syrien, naturalisé Allemand, qui fait encore office de relation publique à ce jour.

 

Tout d’un coup, la machine qui fonctionnait sans apport d’énergie extérieure, cessa de l’être. Elle devint un engin servant à hisser l’eau à un plateau supérieur, avant de devenir un engin qui n’a jamais réellement fonctionné, mais qui pourrait s’il était réalisé en très grande dimension, nécessitant beaucoup d’investissement, selon les dire de son agent de promotion très intéressé par l’idée.

 

« Fuck le monde l’univers et le reste », un autre animal qui ne pense qu’à la piastre.

 

Et il y en a eu d’autres, beaucoup d’autres, mais l’argent des banques n’était manifestement pas intéressé, avec raison.

 

 "Les Naassènes disent que le serpent est la substance humide ainsi que Thalès de Milet le disait aussi, et qu'aucune des créatures immortelles ou mortelles animées  ou inanimées n'existerait sans lui."

 

L’utilisation des vortex convient à tous les fluides.

 

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Air eau. L’histoire démontre que ces connaissances étaient bien maîtrisées. Il devenait facile de comprendre que le rétrécissement de la cheminé de Da Vinci n’était devenu qu’une simple buse à pression et que de nombreux bureaux d’affaires utilisent ces principes de résonnances simples comme des murs paraboliques, focussant le son à des points précis permettant à ceux qui en connaissent la location d’être à l’écoute de ce qui se passe à l’autre extrémité.

 

Une arme à feu qui possédait la force d’un canon et pouvait lancer des éperons de métal ou des chaînes. Un navire étonnant qui est tiré d’une gravure étrusque sur métal du 6ième siècle, laissant apparaître un Christ marchant sur les eaux. Une maîtrise exceptionnelle des formes cycloïdes, similaires à celles des réalisations de Schauberger.

 

De nombreuses autres inventions utilisant un concept similaire, trop rapidement classés « matières à nigauds » par la science moderne, devront être revues à la lumière de ces connaissances.

 

Le goulot des bouteilles de Pepsi ou la Plaza de l’eau des Studios Universels de Los Angeles, toilettes, trompettes, ne sont que quelques-uns des endroits ou il est possible de distinguer des bribes de ce savoir, dissimulé à notre insu dans notre monde moderne.

 

Les buses de pression sont de celles-ci. Utilisant l’effet venturi est un de ceux-ci. Le fonctionnement des buses de pression est connu depuis longtemps.

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Tout comme la buse d’un boyau d’arrosage domestique permettant d’acheminer l’eau avec une grande vélocité, celle-ci utilise l’effet venturi. Ainsi, un rétrécissement très graduel et sans aspérité du boyau (la buse), permettra de tirer une meilleure vélocité de la pression d’eau existante dans le boyau. Bien que ceci soit la même technique graduelle utilisée dans le tuyau toroïdal, une buse ne redirige pas l’eau dans une course toroïdale. Sa capacité de transfert vélocité pression, est celle d’un court segment d’arc d’un tuyau toroïdal.

 

D’ailleurs, la linéarité de la buse empêchant la course parabolique de l’eau, fut souvent apportée comme un facteur limitatif de l’efficacité, réalisé en fonction d’une équation simplifiée des travaux d’origine d’Euler ne tenant pas compte du facteur parabolique.

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre #7 : Réalisation de l’accélérateur : Quadrhyton

 

 

 

 

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Coûts des matériaux: $25.00

Temps de réalisation : 2 jours.

 

Le quadrhyton est une de mes réalisations. Combinant le rhyton ancien et un quadruple tuyau toroïdal utilisé par Schauberger et prétendument inventé par Euler, de là son nom, il permet d’accélérer la vitesse de l’eau pour la projeter contre toute attente de la physique moderne, dans un jet qui peut atteindre 3/8 de pouces à plus de 3 fois la vitesse normative, produisant un jet d’eau qui atteint 8 pouces pour une colonne d’eau de 4 pouces de hauteur. (L’exemple fut réalisé avec une colonne d’eau optimale ne dépassant pas la gorge du quadrhyton.)

 

Bien que sa réalisation nécessite certaines habiletés manuelles, il est à la portée de tous. En plus de reproduire un jet d’eau hors-norme, sa construction fait cheminer l’eau d’une façon idéale, assurant ainsi de lui communiquer la vitalité du vortex.

 

Au contraire d’une sculpture quelconque, l’aspect extérieur n’apportera rien d’autre qu’une valeur purement esthétique. La recherche d’une courbe parfaite ne sera donc pas à l’extérieure, mais à l’intérieure. Comme il est aussi difficile de construire une corne par l’intérieure que de construire un navire dans une bouteille, il faut donc utiliser une méthode différente pour s’assurer une qualité adéquate dans la finition intérieure, dont la glisse de l’eau devient significative dans le résultat final.

 

Pour y arriver, il faudra sculpter un négatif de la paroi interne du quadrhyton sur un médium quelconque, cette âme sera ensuite recouverte d’une croûte avant d’être dissoute, une méthode qui procure une finition interne d’une grande qualité.

 

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Voici deux âmes de quadrhyton de 10 pouces. L’âme de droite en styromousse est le prototype original. La quadruple torsade fut sculptée à la main sur un cône de styromousse, avant d’en réaliser un moulage permettant de reproduire des copies de cire au besoin, comme celle à gauche.

 

Le moulage n’est pas une étape indispensable et  l’âme peut être sculptée directement sur la cire ou le styromousse pour la réalisation individuelle, évitant ainsi une étape supplémentaire qui ne visait à l’origine, qu’à produire des copies aux fins d’expérimentations.

 

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L’âme sera ensuite simplement recouverte d’une croûte qui peut-être en ciment comme les deux quadrhytons de gauche, ou en résine de synthèse comme ceux de droite, dont celui situé à l’extrême droite fut la dernière évolution.

 

La réalisation terminée, l’âme de cire peut-être fondue ou celle de styromousse dissoute à l’acétone, laissant une empreinte parfaite de l’âme dans le quadrhyton.

 

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Il peut-être de toute grosseur comme en témoigne ici le « mammouth » un quadrhyton de 24 pouces dont on peut apercevoir la gorge en bas. Cette bête est capable de propulser un jet d’eau de 3/4 de pouces avec une puissance similaire à celle d’un aqueduc.

 

Le concept derrière l’utilisation du tuyau toroïdal ou  tuyau ovale conique est de récupérer une eau de la croûte (nom du bol surplombant la corne) en lui fournissant un accès à un chemin idéal de l’eau en mode résistance vortex, d’ou elle accumulera du spin (rotation radiale). Bien engagé dans un des canaux intérieurs de la corne faisant office de conduit toroïdal, l’eau accumulera ce spin pendant qu’elle chemine sur le pourtour de la corne. Tout au long de la corne, ces différents corridors d’eau alimentés du spin radial optimal, redresseront graduellement leurs spins dans l’axe de la corne, communiquant à l’eau un ajout de vélocité, qui doit être capturée au fur et à mesure de leurs parcours dans le tuyau.

 

Le redressement du spin sera effectué par la modification graduelle de l’angle du conduit toroïdal autour de la corne pour l’amener en direction de l’axe de la corne. La capture de l’énergie sera réalisée en effilant graduellement (forme conique) le conduit toroïdal, obligeant l’eau à glisser plus rapidement et l’empêchant de retourner à sa vélocité antérieure. Au fur et à mesure du parcours, les différents corridors d’eau seront mariés avant d’être expulsés de la corne.

 

La construction

 

Construire le quadrhyton est simple. « La forme est le fond »

 

Le point de départ consistera à déterminer la dimension de la corne à réaliser.

 

Il faudra ensuite fabriquer un cône de cire ou de styromousse*, qui possédera ces dimensions et sur lequel seront dessinées les quatre spirales marquant l’endroit où seront disposés les tuyaux.

 

*Le styromousse sera préférable à la cire.

*Généralement bleu ou rouge, il faut sélectionner un styromousse en feuille à base de polystyrène, semblable à ceux utilisés par la construction. Les styromousses à base d’uréthane (jaune) ne peuvent pas être utilisés, car ils sont indissolubles et ne peuvent être enlevés du produit fini, qu’avec beaucoup de peine.

 

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Prototype de quadrhyton styromousse 10 pouces,

sur lequel il est possible de voir clairement le

redressement graduel des spires entre la base et l’extrémité.

 

L’espace interstitiel existant entre les tuyaux sera ensuite soigneusement évidé pour ne laisser que l’âme finale, qui sera habillée d’une fine couche de cire appliquée au pinceau, histoire de posséder une belle glisse, avant d’être plongée dans un réservoir à la dimension légèrement plus grande que la corne, remplie du médium qui deviendra la croûte, ciment, plâtre ou résine de synthèse.

 

Selon la croûte utilisée, il faudra évaluer la portée des dimensions. À l’exception des croûtes massives, toutes mes cornes ont pissé l’eau dans toutes les directions au premier essai et ont dû être reprisées. Même l’épaisseur des croûtes massives doit être déterminées avec soin, puisque la pression interne peut-être étonnante. Bien que possédant une croûte massive en ciment, la « mammouth » s’est fendu à trois reprises sous sa propre pression interne.

 

Avant de se lancer dans la réalisation d’un animal puissant, il serait préférable d’apprivoiser le sujet en réalisant une corne similaire à ci dessus. Des erreurs de conceptions à la réalisation d’un mammouth, peuvent s’avérer très coûteuses.

 

Quoiqu’il en soit, la dimension de la corne devra être déterminée à partir de celle du nez et du volume d’eau désiré à cet endroit. Le rapport idéal de dimension est de 1 – 4 – 20. Une expulsion par un orifice maximal de 1 pouce, nécessitera une gorge de 4 pouces et la corne possédera une longueur totale de 20 pouces. L’orifice est dit maximal puisque dans une corne de cette dimension, il pourra se situer n’importe ou entre 0 et 1 pouce. En fonction d’une corne de dimension donnée, la dimension de l’orifice ne changera pas la vélocité de l’eau expulsée, mais le débit.

 

Comme la corne ci-haut est de 10 pouces, elle possède sont une sortie de ½ pouce, et une gorge de 2 pouces. La première tâche sera donc de réaliser un cône de styromousse de 10 pouces de long et possédant un diamètre à la base de 2 pouces. Le nez sera laissé en pointe, puisqu’il facilitera le travail de réalisation des canaux et permettra à la toute fin de procéder à sa mise au point, en ajustant la dimension de l’orifice de sortie pour atteindre une performance optimale.

 

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Corne sur laquelle fut surlignée un des canaux toroïdaux et la référence angulaire de ses spires.

L’entrée de l’eau dans la gorge s’effectue à 33°, les spires sont déroulées au fur et à mesure du passage de la corne, pour expulser l’eau du nez à 88°.

 

La base du cône sera divisée en quatre, de façon à procurer des repères égaux pour marquer le départ des canaux.

 

Chaque tuyau toroïdal effectue 2.5 tours dans la corne parce que l’eau ne peut-être redressé plus rapidement. Un angle plus serré occasionne des perturbations à l,expulsion et à l’inverse, un angle plus grand ne donnera pas un spin optimal pour le volume de la corne.

 

L’eau aura accumulé un spin maximal après 1.5 tour, soit le spin maximum pour la plus courte hauteur de colonne d’eau possible. Une information peu utile pour la conception du quadrhyton puisque son objectif est un redressement graduel du spin dans l’axe de la corne, mais qui devient essentiel lorsque l’on désire propulser l’eau dans une autre direction que celle de l’axe de la corne.

 

Lorsque l’eau quitte le bol, elle doit pénétrer la corne à précisément 33°, angle de vortex pour initier la résistance.

 

Le départ de la première demi-spire de l’un des tuyaux sera donc à 33° et comme l’axe de la corne est 90° laissant 57° à récupérer, chaque demi-spire verra son angle s’apprécier de 11° supplémentaires.

 

La première demi-spire démarrera à 33° pour se terminer à 44°,

La seconde demi-spire démarrera à 44° pour se terminer à 55°,

La troisième demi-spire démarrera à 55° pour se terminer à 66°,

La quatrième demi-spire démarrera à 66° pour se terminer à 77°,

La cinquième demi-spire démarrera à 77° pour se terminer à 88°, complétant ainsi l’ensemble de la corne.

 

 

4 canaux suivant cette course seront creusés sur l’âme, dont la forme conique assurera une réalisation optimale de la forme ovale conique des canaux.

 

La corne sera divisée sur la longueur en 5 parties égales et ces repères seront marqués sur les quatre côtés de la corne, vis-à-vis les repères déjà réalisés à la base de la corne. Chacun de ces repères sera ensuite muni d’une ligne qui possédera exactement l’angle approprié pour cette section. Ainsi, en partant de la gorge de la corne les 4 premiers repères de la base seront tracés à 33°, le suivant à 44° etc.

 

Une corde ou un petit tuyau semi-rigide, sera ensuite enroulé sur la corne en assurant le respect des angles de chaque spire et servira à tracer une ligne identifiant précisément le centre du dos du tuyau toroïdal. Cette tâche sera répétée de chaque côté de la corne.

 

Tous les repères complétés, il ne reste qu’à enlever ce qui ne sert à rien et en utilisant un papier sablé de gros calibre collé sur un crayon ou une paille, il sera possible de dégrossir les tuyaux.

 

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L’ouverture interne du quadrhyton nécessite une communication centrale de la corne empêchant la réalisation de tuyaux entiers comme ceux de Schauberger. Ceci est la raison pour laquelle je parle parfois de corridor plutôt que de tuyaux. L’arche des tuyaux, soit le dos, devra être ovalisée et respecter autant que possible la forme de gauche, dont la largeur sera automatiquement conditionnée par la place disponible sur le cône de styromousse.

 

L’utilisation d’un papier à sabler plus fin permettra d’apporter une finition plus délicate, avant d’appliquer une couche de cire fondue très mince. Il n’est pas indispensable d’utiliser de cire particulière, de la simple chandelle fondue fera très bien l’affaire. Si la cire tend à s’amalgamer sur le styromousse pour former des aspérités indésirables, il n’y a qu’à travailler l’âme sous l’eau chaude avec les mains.

 

Il ne reste maintenant qu’à déterminer ce que sera le médium utilisé pour la croûte et l’épaisseur optimale associée. Le ciment est lourd, robuste, lent à prendre et offre une glisse interne raisonnable. Le plâtre est lourd, moyennement robuste, il est rapide à prendre et offre une glisse interne raisonnable. L’époxy est léger, robuste, lent à prendre et offre une belle glisse interne. L’époxy peut-être comparé à l’application d’une couche de vernis très résistant. Puisque l’âme est en styrène, il faudra sélectionner une résine qui n’affectera pas sa stabilité, tant que la croûte n’aura pas fini de durcir. Pour cette raison et aussi pour la chaleur dégagée lors de la réaction chimique, les résines à base de styrène sont à proscrire.

 

Le prix des matériaux sera aussi un facteur à considérer puisqu’une corne comme le mammouth réalisé en résine d’époxy, coûtera près d’une centaine de dollars, alors que la même réalisation dans une croûte de ciment ou de plâtre n’en coûtera qu’une dizaine.

 

Quoi qu’il en soit, dès que l’on aura sélectionné le médium, il ne suffira plus que de confectionner un moule qui enveloppera l’âme, en laissant un espace interstitiel visant à donner du corps à la croûte. Une croûte de ciment possédant 1/8 de pouce, ne résistera pas. Quel que soit le médium, une croûte minimale de ¼ de pouce assurera une bonne rigidité. L’enveloppe du moule, pourra à la rigueur n’être qu’une simple feuille de carton à bricolage qui aura été roulé en cornet, prêt à recevoir l’âme.

 

La croûte séchée adéquatement sera façonnée à la main, pour laisser apparaître toute la gorge encore emplie de styromousse et un orifice minuscule sera effectué du côté du nez. Quelques gouttes d’acétone dans la gorge, dissoudront en quelques instants le styromousse. Avec de l’eau chaude et une curette, les débris et la cire restante pourront être facilement retirés.

 

Après une inspection visuelle visant à retirer les dernières aspérités, nous passons aux essais qui permettront de déterminer les défectuosités et de procéder à l’ajustement final de la respiration de la corne.

 

Eau froide seulement! En tout temps. D’une part, certains médiums ne résisteront pas à l’eau chaude et d’autre part, la performance de la corne se retrouve handicapée.

 

Un jet minuscule, mais puissant devrait être expulsé par le nez de la corne dès que celle-ci est pleine jusqu’à sa gorge. Une inspection visuelle devra s’assurer qu’il n’y a aucune fuite. La corne, tout comme la conque, ne doit jamais perdre d’eau et devra être réparée au besoin. Chaque défectuosité qui laisse échapper de l’eau, en plus d’être une perte de pression, laissera entrer l’air dans les tuyaux toroïdaux et brisera une partie de la performance de la corne. La perte de performance par la mauvaise conception ou la rupture de l’un des canaux, représente une asymétrie de la performance des canaux qui peut parfois être déterminée à la simple écoute de la corne, qui émettra alors une vibration, ressemblant à une plainte sourde indiquant la présence de cavitation dans l’un des tuyaux. Il est parfois impossible de réparer des problèmes de cornes, particulièrement lorsqu’il s’agit de problème de conception.

 

La cavitation se produira, lorsqu’un volume d’eau tente d’occuper un espace de volume différent modifiant les rapports de pression interne occasionnant des poches de turbulences. Bien que ceci possède un effet variable sur la performance finale, la cavitation aura comme conséquence d’occasionner au fil du temps, une dégradation prématurée de la croûte et des performances de la corne qui iront de pair avec la fragilité du médium utilisé pour la croûte.

 

Cette étape réalisée, il est possible de procéder à l’ajustement de la respiration de la corne.

 

La respiration d’une conque ou d’une corne est l’ajustement de la quantité d’eau travaillante qui sera produite. Une forme de corne idéale et une alimentation suffisante en eau produiront un vortex, dans la mesure ou l’orifice du nez de la corne est d’une dimension suffisante pour alimenter et maintenir le vortex à sa vitesse maximale. L’ajustement de l’équilibre délicat entre l’alimentation de la conque et son orifice de sortie était le fruit d’un savoir artisanal élaboré.

 

Un orifice de sortie trop étroit expulsera une eau à la vélocité recherchée, mais en limitera le volume. Un orifice trop grand expulsera plus d’eau que celle à rotation radiale élevée et sa vélocité de sortie s’en trouvera dégradée. La dimension idéale se trouve entre la dimension type d’origine sur lequel les calculs furent fondés, et sa demie. Ainsi si la corne est 1 – 4 – 20 pouces, la dimension idéale de l’orifice de sortie sera de ½ pouce à un pouce.

 

La première étape sera de couper le nez à l’endroit où le diamètre de l’orifice atteindra la dimension minimale et de vérifier la performance de la corne, de façon à posséder un point de comparaison. Si la vélocité de sortie est au rendez-vous, il suffira ensuite de couper 1/16 de pouce du nez et de comparer la performance. Généralement la performance sera optimale dès les premières coupes.

 

Si la vélocité de sortie n’est pas au rendez-vous, c’est donc qu’il y a une défectuosité dans la réalisation et il faudra tenter de le réparer avant toute chose. 

 

La réalisation d’un petit quadrhyton demandera au plus deux jours de travail, alors qu’il faut compter le double pour un gros appareil. En respectant les paramètres de construction et avec un peu de soin, une personne habile de ses mains n’aura pas de difficulté à réaliser un quadrhyton fonctionnel dès le premier essai.

 

Un résultat impressionnant et la seule puissance de l’eau expulsée, soulèvera maintes curiosités. De plus, son utilisation pour passer l’eau de consommation, facilite beaucoup le processus du tournage de l’eau.

 

« Vous ne pourrez plus retirer vos yeux sur ce qui vient après. », vous ai-je dit en débutant cette documentation.

 

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Je vous ai dit aussi : « L’eau aura accumulé un spin maximal après 1.5 tour, soit le spin maximum pour la plus courte hauteur de colonne d’eau possible. Une information peu utile pour la conception du quadrhyton puisque son objectif est un redressement graduel du spin dans l’axe de la corne, mais qui devient essentielle lorsque l’on désire propulser l’eau dans une autre direction que celle de l’axe de la corne. »

 

Si on coupe une corne au tour 1.5 (1.5 tour de la gorge), l’eau ne tombera pas. Chargée d’énergie, elle éclatera littéralement sous la force centrifuge de son spin. Maintenant que ce spin est acquis, cette eau n’a plus à être soumise à la gravité et il est maintenant possible de la réacheminer dans n’importe quelle direction et effectuera le même travail.

 

Puisque nous y sommes, pourrions-nous la remonter dans son propre bol sous l’effet de son propre spin?

 

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Le paradoxe d’Euler

 

Paradoxe : « Opinion qui va à l’encontre de l’opinion commune. Action, fait, événement qui est en contradiction avec la logique ».

 

Appelé paradoxe sous le joug de la loi de l’hydrostatique, puisqu’il fallait au départ être certain que tous doute de sa réalisation, cette représentation d’Euler est présentée à tous les étudiants de la physique moderne comme le summum de l’irréalisable rêve humain et précisément dessiné pour démontrer le ridicule de la chose, la recherche du perpetuum.

 

Disposons le tout sur une roue libre, remanions 6 cornes entières au tour 1.5, pour lancer ce jet latéralement de façon à ce qu’il actionne la rotation de cette roue en centrifuge et nous possédons déjà une turbine très basse vitesse, qui n’a pas d’équivalent pour une aussi faible dénivellation d’eau.

 

Pas d’équivalent?

 

À l’étape décrite, elle est semblable à celle qui fut documentée par Ludwig Herbrand, un ingénieur allemand qui, dans les années 30, fut appelé pour évaluer et calculer les paramètres de certaines génératrices récemment installées à la centrale hydro-électrique de Rheinfelden en Allemagne, alors qu’il était encore étudiant. Le comparatif de cette analyse fut l’objet d’un article dans un magazine spécialisé.

 

Il lui apparaît alors que le générateur sous examen, fournissait plus d’énergie qu’il aurait dû, selon la théorie en vigueur. Un des générateurs de Rheinfelden, avec un débit de 50 mètres cubes par seconde et une dénivellation de seulement un mètre, fournissait autant d’énergie qu’un autre générateur près de Ryburg-Schwsrstadt possédant un débit de 250 mètres cubes par secondes avec une dénivellation de douze mètres. Ce fait fut confirmé par le le professeur Finzi, inventeur des équipements, mentionnant au passage au jeune Herbrand que tout ceci correspondait aux spécifications identifiées.

 

Ludwig Herbrand mena une bataille incessante les 20 années qui suivirent, pour obtenir la reconnaissance de cette technologie. Il envoya des centaines de lettres aux gouvernements, aux industries et institutions internationales, qui déclinèrent tous poliment les propositions, soulignant une violation de la loi de l’énergie et identifiant souvent le caractère indésirable de telles propositions.

 

Mais j’occasionnerai une déception bien éphémère, en disant que ceci n’est pas le mouvement perpétuel et qu’aussi révolutionnaire que soit le principe, cette turbine est tout à fait incapable de remonter l’eau à son origine.

 

Et la loa...c’est la loa...

 

Dans ce circuit, l’eau parcourera toujours la même distance d’une corne, accumulant en cours de route une quantité d’énergie X, qu’elle retransmet à la sortie. Que l’engin tourne ou pas, cette quantité d’énergie ne changera pas. Or pour que l’engin tourne plus rapidement, il faudrait plus d’énergie.

 

« Ainsi traité adéquatement, ce faisceau d’eau vive ne pourra plus être considéré comme un alignement de gouttes d’eau s’entrechoquant dans un tube, mais comme une chaîne indémaillable, initiant un phénomène appelé « l’effet chaîne ».

 

Tous ont déjà pu constater une chaîne qui tombe d’une surface sous l’effet de la gravité. Maillon par maillon, sa vitesse s’accélérera tant qu’il y aura chaîne, chaque maillon démarrant sa course avec la vitesse déjà acquise par la chaîne en mouvement.

 

Chaque maillon possédera une énergie potentielle qui est celle de la masse et l’accélération des maillons de chaîne qui le précède. Plus la chaîne en chute libre est longue, plus cette énergie potentielle sera puissante. Il n’est plus possible de considérer chaque maillon individuellement comme un objet soumit à des lois statiques, mais devra être analysé dans un contexte dynamique, dans lequel il appartient à une chaîne en mouvement. En supposant que cette chaîne puisse être allongée à l’infinie, il devient alors possible d’appareiller le passage de cette chaîne et d’en moduler la puissance potentielle simplement en modifiant la hauteur de chute. »

 

Cet engin est inapte à ramener l’eau à sa source, car la chute de chaîne est simplement trop courte. Elle ne fournit toujours qu’une « cornée » de base d’énergie quelque soit la vitesse, car elle n’a pas de référence physique.

 

En effet, dès que l’eau amorphe s’engage dans la corne tournante, un effet laminaire de l’eau occasionnant le glissement des couches d’eau les unes sur les autres, comme les pelures d’un oignon, absorbera tout contact avec la réalité physique de la corne, pour laisser une eau qui s’échappera en fonction des circonvolutions de l’appareil à la vitesse résultante de l’effort de gravité, qu’elle soit en mouvement ou non.

 

Pour engager ce mouvement et être en mesure d’allonger cet effet chaîne à la longueur requise, il est nécessaire d’apporter des modifications à la corne pour donner à l’eau une référence physique de la corne et de son mouvement déjà existant, de façon à démarrer à cette vitesse.

 

Bref, la chaîne doit être allongée. Nous sommes maintenant précisément à l’endroit ou j’ai dû ramer pendant plus de trois mois à la création de prototypes et de techniques permettant de reproduire, sans indice de ce que serait le résultat final.

 

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Voici quelques-unes des expérimentations qui furent réalisées. La plupart n’ont pas fonctionné.

 

Une expérimentation qui n’a pas réussi. Ni la suivante. Ni la suivante...

 

Stop! J’ai terminé ici. Avec les principes de base et tout ce que vous ai dit, un peu de curiosité et de ténacité, n’importe qui peut franchir le dernier pas seul, ce qui était l’objectif de ce travail.

 

Avez-vous compris le sens de mes paroles?

 

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La découverte d’un concept aussi important que celui-ci dans l’ancienne histoire, permettait une révision en profondeur et du même jet de découvrir une foule de techniques utilisant ce savoir dans des domaines divers.

 

Tout ceci est beaucoup trop important pour être laissé entre les mains de la gang d’exploitants qui régissent notre société. Beaucoup trop important pour ne devenir qu’un autre produit commercial dans les mains d’un entreprenor de la piastre ou la propriété d’un seul.

 

Ceci doit reposer sur un groupe d’individus responsables associés dans leurs tâches et leurs volontés, capable de parer aux limites de mes propres capacités et de pousser cette balle.

 

Prochain chapitre :

 

L’annuelle de Châtillon.

 

C’est à cet endroit que nous en reparlerons.

 

Pierre de Châtillon

 

 

 

 

 

Section Courrier – FAC – Whatever.

 

Avec un quadrhyton, vous devez réaliser que vous acheminez un jet d’eau qui possède plus de puissance que le simple poids de l’eau qui le contient. Aucune pression, mais une grande vitesse. L’étape suivante à réaliser est donc la mise en place d’un mécanisme permettant de capturer la puissance de ce jet, pour le mettre au travail et ramener l’eau à son origine. Il occasionnera ainsi un débordement qui sera directement tributaire de la qualité du mécanisme permettant de remonter l’eau. Bien que théoriquement il soit possible d’atteindre un rapport de 1,24, les limitations techniques, qualité des tuyaux, etc, ne devrait pas permettre de dépasser 1,15, et je n’ai pas dépassé 1,1. Un raffinement sera nécessaire pour pousser le mécanisme, mais tout ceux qui se lanceront dans le pas suivant devront composer avec le ,1 de surplus.

 

Tout ceci nous amène à la construction d’un quadrhyton propulsant un jet suffisamment important pour que ce surplus de 10% devienne suffisamment significatif, pour l’opération d’un mécanisme permettant de récupérer, comme une turbine qui serait à l’extrémité du jet par exemple.

 

Ceci nécessite un appareillage permettant la récupération de la puissance du jet, d’une grande qualité même avec un quadrhyton de la taille du mammouth.  La taille de conque nécessaire à produire une puissance de jet utilisable minimale, devient vite démesurée pour une utilisation individuelle.

 

Comme l’efficacité du quadrhyton tire parti de la gravité pour accélérer l’eau, il faut simplement accroître la gravité pour passer à l’étape suivante. Comme ceci n’est pas possible, il faut la simuler en utilisant la force centrifuge et en disposant le quadrhyton dans ce nouvel axe. Puisque le quadrhyton tournera et utilisera la force centrifuge, ce jet pourra transférer son énergie à la propulsion centrifuge. C’est ce que Schauberger a fait dans sa turbine de chalet.

 

Il n’y a pas de lézard. Tout ceci est expliqué simplement, car tout ceci est très simple. Un engin artisanal peut-être réalisé par tout bon artisan, mais les formes et les tuyaux sont difficiles à répliquer, limitant la répétabilité. Ainsi, les caractéristiques particulières de la forme, ont demandé la mise au point de techniques de reproduction qui fut un travail de longue haleine.

 

Pour différentes raisons, j’ai choisi de ne pas communiquer publiquement ces techniques de reproductions, ainsi que la façon d’allonger l’effet chaîne, ainsi que d’autres découvertes. Ceci se fera de main à main à des individus qui auront compris la responsabilité qu’ils porteront et assureront en association, la formation d‘artisans et la diffusion du savoir.

 

Parce que ceci est bien plus qu’un autre outil permettant au petit de s’en sortir, ou un Klondike pour un autre entrepreneur d’affaires, ou une matière à gérer pour un gouvernement, c’est un héritage offrant à nos enfants une liberté que nul d’entres nous ne sommes aujourd’hui en mesure de vraiment imaginer.

 

Ne manquez pas l’annuelle De Châtillon!

 

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« Incroyable que ça donne presque 2 fois l’énergie fournie »

 

Pas précisément. D’une part, ceci n’est pas de l’énergie, mais la vélocité de l’eau à la sortie. Euler avait théorisé qu’elle pouvait être accélérée jusqu’à 6 fois, mais 2,8 est le meilleur résultat que j’ai atteint.

 

D’autre part, il n’est pas possible de parler de surénergie produite, puisqu’il n’y a aucune énergie à y mettre. Ainsi, tout ce qui est récolté ne possède aucun coût. L’eau ici n’est pas consommée et n’est qu’un médium de récupération, ça pourrait être du mercure.

 

Pour être en mesure de déterminer l’énergie produite, il faut ajouter la dépense énergétique du mécanisme permettant de remonter l’eau au sommet. La puissance de la turbine est celle de la somme de ses tuyaux hélicoïdaux par la vitesse centrifuge. À 400 rpm, 6 cornes de 24 pouces donnent 2 forces continues et l’énergie centrifuge à cette vitesse de rotation permet la récupération de 2 à 4 forces supplémentaires pour de courtes périodes, puisqu’elles sont prises au détriment de la vitesse de rotation, qui s’engagera dans une spirale d’arrêt si la performance demandée est trop importante.

 

Accroître le volume des tuyaux où la vitesse de rotation, accroît la puissance, mais elle se fera au détriment d’une mécanique dont les seuils de tolérances devront être repoussés, impliquant un coût de réalisation plus important.

 

 

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« Le styromousse blanc aggloméré peut-il être utilisé? »

 

Le styromousse blanc, du type utilisé pour l’emballage des équipements fragiles et pour la construction, ne peut pas être utilisé. La dimension des cellules ne permet pas une finition interne de qualité.

 

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«... un nez de 8 centimètres de sortie plein est-il réalisable? »

 

Si « plein » signifie l’assurance lorsque terminé que le quadrhyton aura au moins 8 centimètres de sortie, il faudra calculer 20% de plus au nez pour permettre le travail de finition. Un quadrhyton de 10 centimètres intérieur à la sortie, possédera une gorge intérieure de 40 centimètres de diamètre et aura une longueur de 2 mètres. Il contiendra à tout moment environ 100 litres d’eau, avec une pression dynamique qui s’accroît fortement lorsque l’on s’approche du nez.

 

C’est un très, très gros engin même pour celui qui a réalisé l’exemple fourni. Comme on désire un produit durable tant à la pression qu’à l’usure, tout en conservant les coûts raisonnables, je te suggère la fabrication d’une conque en ciment armé. Elle devra avoir au moins 4 centimètres d’épaisseur et le métal d’armement solidement refermé sur toute sa longueur.

 

La longévité pourra être améliorée en utilisant un ciment de haute densité ou un revêtement intérieur en résine de synthèse. La conception du nez ayant une grande influence sur la performance finale, je te recommande que le nez soit détachable au moyen d’une bague de raccordement rapide, qui ne brisera pas la cadence de l’eau. Ainsi, les 8 derniers centimètres de la corne seront une partie conçue à part et raccordée ensuite, ce qui facilitera les ajustements de performances sans avoir à enlever la conque de son support.

 

Puisque le jet d’eau alimentera une petite turbine à la base, il n’y a pas lieu de rondir la conque sur sa longueur. Avec une telle dimension de conque et de gorge, les canaux hélicoïdaux pourront être plus finement taillés et il serait possible de passer de 4 à 8, ou même à 12 canaux, dans la mesure où la forme des arches est respectée sur toute la longueur de la conque.

 

À vue de nez, lorsque l’appareil est bien engagé, l’eau de la conque sera renouvelée toutes les 5 secondes. Prends des mesures pour te prémunir contre les bris possibles, 100 litres d’eau font passablement de dégâts.

 

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« ..devons-nous en conclure que c’est cette force qui alimente la rotation de la planète sur elle-même? »

 

Précisément. Et en ceci je rejoins mes travaux précédents sur l’impact que cette force a eu sur la conception de la planète puisqu’il est possible de constater à de multiples endroits de la surface, les conséquences d’un effort de torsion existant entre les deux pôles et les deux hémisphères.

 

 

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Comme sur cette représentation à gauche qui montre l’océan atlantique, où il est possible de constater la sinuosité de la dorsale atlantique, une chaîne de montagnes située en son centre qui possède les mêmes contours que les côtes. Ou encore celle de droite, qui montre à l’extrémité de la pointe sud de l’Amérique du Sud, une importante perturbation de la croûte de la planète, où elle semble avoir été étirée dans une direction.

 

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Je désirais ajouter qu’il y a aussi une autre façon de tourner l’eau en utilisant un bol possédant un fond ayant la forme du gros bout d’un oeuf, similaire au saladier maudit. On percera ensuite un orifice d’un centimètre de diamètre au centre. Remplir d’eau très froide et laisser couler le temps que le vortex prenne vie en direction inverse des aiguilles d’une montre. Ne prenez ni le premier quart, ni le dernier quart de cette eau.

 

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« Ce n’est pas clair, avez-vous produit une turbine qui fonctionne sans apport d’énergie extérieure? »

 

En tenant compte de la quantité de médium de récupération d’énergie libre possible et de la simplicité du principe en plus de l’histoire derrière, va falloir auparavant s’expliquer pour quelle raison ça n’existe pas partout. La réponse facile est que ce concept n’existe pas.

 

Mais il y a une seconde réponse qui est beaucoup moins évidente.

 

La même qui expliquerait pourquoi j’ai travaillé dans le mutisme complet depuis le début de l’année, pour livrer publiquement ensuite, quelque chose d’inédit. C’est pour cette raison même que j’ai choisi d’expliquer publiquement le principe et de l’encadrer avec une expérimentation simple qui pouvait être reproduite par tous. Ainsi, lorsqu’on parle « vortex », le langage est établi. On parle tous de la même chose, prélude à la mise en savoir en commun.

 

Quelque part très bientôt, un étudiant aura fabriqué un quadrhyton et il en mettra plein la gueule à son professeur de physique ou de philosophie. Quelque part très bientôt, les bricoleurs du dimanche amalgameront les morceaux et produiront leur propre façon de la terminer.

 

Plus d’obligation de réaliser une machinerie complexe et coûteuse sur les plans et prétentions d’un hurluberlu pour découvrir que le strict respect des plans ne fonctionne simplement pas. Ceci permet de comprendre le principe de fonctionnement utilisé par beaucoup d’inventeurs, ignoré du fil de la science populaire et de réaliser les plans en connaissance de cause, de ce que sera le résultat obtenu.

 

+++   L’eau est expulsée par le quadrhyton avec une vélocité plus importante que celle nécessaire à la ramener à sa gorge.   +++

 

Maintenant que vous êtes fort du principe décrit dans ce texte, relisez Schauberger d’un oeil nouveau et comprenez ce que lui a écrit. Votre doute ne provient pas de ce que je vous apprends ou de ce que Schauberger vous a appris, mais de ce que vous saviez déjà.

 

Il y a un moment pour tout et ce qu’il me reste à dire sur ce sujet sera dit en son temps. En douteriez-vous encore?

 

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« ...si vous ne le protégez pas, un industriel mettra les pieds dans ça et vous allez vous faire voler »

 

C’est leur échiquier, leurs pièces, leur table, leurs règlements, leurs chaises. Soyons réalistes, un n’a jamais empêché l’autre.

 

Comme tous pourront le constater à la lecture de mon site, il y a longtemps que j’ai cessé de me faire des illusions à propos de notre système social et une telle considération ne fait pas partie de mes préoccupations. Eux profitent comme toujours et ils ne construisent rien, une bien maigre compensation. Mes objectifs de vie sont tout autre.

 

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Schauberger père et fils, l’ensemble de ses patentes en langue originale. Merci à Gab de ce précieux lien.

 

http://www.implosion-ev.de/html/online-patente.html

 

 

 

 

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Il ne manque que celle-ci

 

 

 

 

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Une photo très intéressante, prise en relation avec celle-ci n’est-ce pas? N’est-ce pas?

 

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« ...il a réalisé une turbine d’après Schauberger... »

 

 

 

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Oui je connais bien les prétentions de Hasslberger. J’ai eu l’occasion d’analyser sa patente alors que j’entreprenais cette recherche. La construction d’une telle turbine permettait à Hasslberger de tirer parti d’une source d’eau située sur ses terres, ce qu’il n’aurait pu faire autrement, car les turbines à basse vitesse, seule façon d’harnacher une source d’eau à faible débit, sont pratiquement absente du marché. Bonne idée et belle réalisation.

 

Ceci dit, cette turbine basse vitesse n’est pas autre chose qu’un saladier maudit gros format, avec une roue à aubes en son centre. Hasslberger ne reprend pas les principes de Schauberger car il ne les comprends pas. Il les a copiés en croyant obtenir le résultat de Schauberger. Incomparable, puisqu’il n’y a pas d’équivalent sur le marché, la démonstration économique de l’investissement n’a rien de très éloquente.

 

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« Si vous avez découvert le quadrhyton au tout début de vos recherches, sur quoi avez-vous travaillé pendant les 4 mois?... Pourriez-vous dire où vous en êtes rendu? »

 

 

 

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J’ai travaillé sur ceci!

 

Et si vous êtes brillant, vous allez comprendre les raisons pour lesquelles je ne souhaite pas aborder plus à fond ce sujet.

 

Ou j’en suis : Comme je l’ai dit plus haut, le principe vortex s’applique à tout ce qui bouge de façon coordonnée, incluant le magnétisme. La forme est capitale. Un aimant possédant la forme adéquate est, à un aimant carré, ce qu’un bidon d’eau est au quadrhyton. Il n’y a simplement aucune comparaison possible et il faut réenvisager cette physique en fonction de deux sortes de magnétismes différents, statique et dynamique.

 

Le magnétisme statique est celui des aimants et de ses pôles. Une curiosité.

 

Le magnétisme dynamique implique qu’un aimant est un vortex en mouvement dans lequel s’applique aussi le principe amour- résistance tel un vortex d’eau. Si le vortex d’eau déroulé dans une corne nous fournit un filet d’eau possédant une vélocité supplémentaire, un vortex magnétique déroulé sur une forme appropriée donnera aussi un filet à haute vélocité, mais qui ne sera plus du magnétisme, ou qui sera plutôt un magnétisme aux propriétés différentes. Si différentes que je n’en ai pas encore fait le tour.

 

Les expérimentations sur le magnéto dynamique dans l’histoire, peuvent être grossièrement encadrées autour de ce qui était appelé la transmutation de la matière et l’antigravitation. Au contraire de ce qui nous a été enseigné, la transmutation de la matière ne visait pas à changer le fer en or. Cette fixation de la dernière génération des alchimistes, dont seuls des rois pouvaient se payer les services, était surtout une démonstration des intérêts de l’époque.

 

 

 

De Châtillon        autre@incapabledesetaire.com

http://www.incapabledesetaire.com/rebelog.htm
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J’ajoute à la fin du document les réponses aux questions, ce qui permettra éventuellement de mettre sur pied un FAC.

 

Salut à tous.

 

Ne soyez plus dupe.

 

La voici encore une fois.

 

Ne les laissez plus jamais vous l’enlever.

 

Chapitre #1 : Énergie libre – énergie potentielle

Chapitre #2 : Une découverte insolite

Chapitre #3 : Les deux énergies

Chapitre #4 : Le bout que la science moderne ne montre pas

Chapitre #5 : Énergie libre, la vraie histoire.

Chapitre #6 : Techniques de capture

Chapitre #7 : Réalisation de l’accélérateur : Quadrhyton

 

Pour le chapitre #8, ne manquez surtout pas l’annuelle De Châtillon

 

Bien à vous, avec ma plus profonde amitié

 

Pierre De Châtillon  3 septembre 2008
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L’annuelle De Châtillon est une rencontre qui aura lieu à Beauport en octobre 2008. Plusieurs sujets d’une très grande importance pour tout le monde, et même ceux qui n’y seront pas, y seront discutés.

 

Réservez votre siège dès maintenant, le train démarre!


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